1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
1 ns sans trêve notre sensibilité au profit de ce «  mythe cohérent » vers quoi tend notre esprit. La passion apparaît dans notr
2 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
2 trennes dans les œuvres du plus grand créateur de mythes modernes, du seul écrivain dont l’influence soit comparable à celle d
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de mythes sentimentaux qui gouverne les arguments. Ici je rentre dans mes chass
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
4 Nietzsche qui en fut obsédé. Empédocle est de ces mythes tels qu’il n’est peut-être pas donné à une race d’en créer plus d’un,
5 ’Etna pour mieux communier avec la divine Nature. Mythe grec, mais devenu, par excellence, germanique ; mythe païen, mais il
6 e grec, mais devenu, par excellence, germanique ; mythe païen, mais il est bien troublant de le voir se mêler, dans la troisi
7 est la vibration même d’une pensée en travail de mythes , sur lesquels, bientôt après, s’exercera la réflexion consciente. (Ve