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moins de santé ». À maintes reprises, dans cette
œuvre
d’affirmation, une telle inquiétude, un amer « à quoi bon » percèrent
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Rome ou la Grèce, revivre sa tradition. Toute son
œuvre
pourrait se définir : la lutte d’un tempérament avec la réalité. Tant
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grandeur revient souvent lorsqu’on parle de cette
œuvre
: je ne sais s’il faut en voir la raison dans la force de la personna
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es qui se croient une vocation, végètent dans des
œuvres
d’évangélisation, fondent des groupes dissidents. Le miracle, c’est q
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laisse à notre émotion devant le spectacle d’une
œuvre
qui ne dut rien à l’homme, d’une œuvre de pur génie. Vincent Van Gogh
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acle d’une œuvre qui ne dut rien à l’homme, d’une
œuvre
de pur génie. Vincent Van Gogh, génie sans talent. c. Rougemont De
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’entraîne au-delà du but. Le Tarramagnou voit son
œuvre
sabotée par des meneurs ; il tente en vain de ressaisir les foules :
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le temps de la moisson, — le temps des éditions d’
œuvres
complètes. g. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] S. Fischer Verl
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t esprit. Pour présenter au public français cette
œuvre
« d’importance européenne », croyez-vous qu’il aille s’abandonner à l
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e n’est que dans sa discrétion à louer une grande
œuvre
qu’on trouvera la mesure de son admiration et le gage de sa légitimit
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t. Et j’imagine son étonnement à découvrir dans l’
œuvre
du penseur vaudois la substance originale de la plupart des idées don
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le héros de son roman, de se voir vivre, dans son
œuvre
? C’est ici la conception même de la littérature, telle qu’elle appar
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issement d’une évolution qui a son origine dans l’
œuvre
de Gide. Entre les Nourritures terrestres, les Caves du Vatican et Da
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oderne.) Si nous reconnaissons à la base de cette
œuvre
inégale des idées vieilles comme Rousseau sur les droits de la passio
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cteau a réuni ce qui me paraît le meilleur de son
œuvre
: ses récits de critique et d’esthétique (Le Coq et l’Arlequin, la No
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ecueil d’essais, M. Fernandez a donné la première
œuvre
importante du mouvement de construction et de synthèse qui se dessine
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inaugurer « ne se contenterait pas d’étudier les
œuvres
pour elles-mêmes dans leur signification historique ou technique, mai
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e sa synthèse, qui se trouve ainsi continuer leur
œuvre
, comme une découverte couronne une série d’expériences négatives. La
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souhaiter que M. Fernandez aborde par ce biais l’
œuvre
de Gide, qui plus qu’aucune autre me paraît liée à cette confusion. M
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’on doit nier toute communication directe entre l’
œuvre
et le moi, comme le fait M. Fernandez dans un essai sur l’Autobiograp
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ir se concevoir et s’essayer. » Fort bien, mais l’
œuvre
n’est-elle pas une façon particulière de s’essayer ? Je ne puis amorc
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qui soit. On n’a pas ménagé les critiques à cette
œuvre
. Cela tient surtout à sa forme : il est parfois agaçant de pressentir
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ques directions très nettes de synthèse. Avec une
œuvre
comme Plaisir des Sports de Jean Prévost, et les essais politiques de
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therlant : dans ce récit plus encore que dans les
œuvres
précédentes, on voit beaucoup moins l’œuvre d’art que l’auteur ; dans
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t la pivoine, l’orange et l’ananas… »). Une telle
œuvre
, dense, sans obscurité, riche et décantée, profonde et délicieuse, ga
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as encore détaché de la matière pour en tirer une
œuvre
d’art. La sincérité audacieuse mais sans bravade qui donne à ce livre
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rahissent une écriture hâtive. Mais il y a dans l’
œuvre
de René Crevel un sens de la douleur et un sérieux humain qui forcent
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rte de synthèse de l’homme et de l’homme dans son
œuvre
, qui est peut-être plus vraie que le vrai, je veux dire, plus rilkien
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te. Et quand son bonhomme se plaint de ce que son
œuvre
lui apparaît en même temps que « fatale », « si arbitraire et si facu
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et Vert ne restera pas une réussite isolée dans l’
œuvre
purement romanesque de la princesse Bibesco, Catherine-Paris annonce
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rite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son
œuvre
(juin 1928)ar Livre passionnant pour tous ceux que Jules Verne pas
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ne veut voir que jolis livres d’étrennes dans les
œuvres
du plus grand créateur de mythes modernes, du seul écrivain dont l’in
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rite Allotte de La Fuÿe, Jules Verne, sa vie, son
œuvre
», Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juin 1928, p
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l’air bête à ceux qui le sont en créant une belle
œuvre
serait, par exemple, plus efficace. Aragon se retourne sans cesse pou
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’est pas un cas désespéré. Mais voici déjà dans l’
œuvre
de Jean Cassou, et singulièrement dans ce livre, beaucoup de ces peti
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inspiré par cet enthousiasme sacré que requiert l’
œuvre
de Rimbaud. Regrettons seulement qu’il n’élargisse pas plus une quest
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éateur — et il analyse les principaux thèmes de l’
œuvre
avec une intelligence que l’on rencontre bien rarement dans les essai
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our que nous puissions contempler l’ensemble de l’
œuvre
de Hölderlin : l’inspirateur de Schelling et de Hegel, le précurseur
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te tragédie difficile, trois fois remise à pied d’
œuvre
et jamais achevée, donne moins que les Poèmes cette impression bizarr
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f qui annonçait le désert, je traçais des plans d’
œuvres
sablonneuses. Je composais un traité des voyages : les titres en étai
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8 de ceux qui ne désespèrent pas encore du Grand
Œuvre
? Cela seul est certain : qu’il existe des signes. Peut-être faut-il
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érudits. 17. La fameuse marche de Rakoczy est l’
œuvre
d’une Tzigane. 18. L’or n’était qu’un prétexte. Déjà une blague de p
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rit la sécurité de sa marche vers le centre d’une
œuvre
. La méthode de M. Du Bos est la plus propre à dégager l’élément spéci
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mes » qui contraignirent tel génie à produire son
œuvre
. Le danger de cette méthode, c’est que, donnant un nom à chaque probl
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, supposant le problème résolu (Racine), fait une
œuvre
d’art. Ou bien encore, l’artiste, usant de cette sorte de désinvoltur