1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 moins de santé ». À maintes reprises, dans cette œuvre d’affirmation, une telle inquiétude, un amer « à quoi bon » percèrent
2 Rome ou la Grèce, revivre sa tradition. Toute son œuvre pourrait se définir : la lutte d’un tempérament avec la réalité. Tant
3 grandeur revient souvent lorsqu’on parle de cette œuvre  : je ne sais s’il faut en voir la raison dans la force de la personna
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
4 es qui se croient une vocation, végètent dans des œuvres d’évangélisation, fondent des groupes dissidents. Le miracle, c’est q
5 laisse à notre émotion devant le spectacle d’une œuvre qui ne dut rien à l’homme, d’une œuvre de pur génie. Vincent Van Gogh
6 acle d’une œuvre qui ne dut rien à l’homme, d’une œuvre de pur génie. Vincent Van Gogh, génie sans talent. c. Rougemont De
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
7 ’entraîne au-delà du but. Le Tarramagnou voit son œuvre sabotée par des meneurs ; il tente en vain de ressaisir les foules :
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Almanach 1925 (septembre 1925)
8 le temps de la moisson, — le temps des éditions d’ œuvres complètes. g. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] S. Fischer Verl
5 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
9 t esprit. Pour présenter au public français cette œuvre « d’importance européenne », croyez-vous qu’il aille s’abandonner à l
10 e n’est que dans sa discrétion à louer une grande œuvre qu’on trouvera la mesure de son admiration et le gage de sa légitimit
6 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
11 t. Et j’imagine son étonnement à découvrir dans l’ œuvre du penseur vaudois la substance originale de la plupart des idées don
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
12 le héros de son roman, de se voir vivre, dans son œuvre  ? C’est ici la conception même de la littérature, telle qu’elle appar
13 issement d’une évolution qui a son origine dans l’ œuvre de Gide. Entre les Nourritures terrestres, les Caves du Vatican et Da
8 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
14 oderne.) Si nous reconnaissons à la base de cette œuvre inégale des idées vieilles comme Rousseau sur les droits de la passio
9 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
15 cteau a réuni ce qui me paraît le meilleur de son œuvre  : ses récits de critique et d’esthétique (Le Coq et l’Arlequin, la No
10 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
16 ecueil d’essais, M. Fernandez a donné la première œuvre importante du mouvement de construction et de synthèse qui se dessine
17 inaugurer « ne se contenterait pas d’étudier les œuvres pour elles-mêmes dans leur signification historique ou technique, mai
18 e sa synthèse, qui se trouve ainsi continuer leur œuvre , comme une découverte couronne une série d’expériences négatives. La
19 souhaiter que M. Fernandez aborde par ce biais l’ œuvre de Gide, qui plus qu’aucune autre me paraît liée à cette confusion. M
20 ’on doit nier toute communication directe entre l’ œuvre et le moi, comme le fait M. Fernandez dans un essai sur l’Autobiograp
21 ir se concevoir et s’essayer. » Fort bien, mais l’ œuvre n’est-elle pas une façon particulière de s’essayer ? Je ne puis amorc
22 qui soit. On n’a pas ménagé les critiques à cette œuvre . Cela tient surtout à sa forme : il est parfois agaçant de pressentir
23 ques directions très nettes de synthèse. Avec une œuvre comme Plaisir des Sports de Jean Prévost, et les essais politiques de
11 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
24 therlant : dans ce récit plus encore que dans les œuvres précédentes, on voit beaucoup moins l’œuvre d’art que l’auteur ; dans
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
25 t la pivoine, l’orange et l’ananas… »). Une telle œuvre , dense, sans obscurité, riche et décantée, profonde et délicieuse, ga
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
26 as encore détaché de la matière pour en tirer une œuvre d’art. La sincérité audacieuse mais sans bravade qui donne à ce livre
27 rahissent une écriture hâtive. Mais il y a dans l’ œuvre de René Crevel un sens de la douleur et un sérieux humain qui forcent
14 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
28 rte de synthèse de l’homme et de l’homme dans son œuvre , qui est peut-être plus vraie que le vrai, je veux dire, plus rilkien
15 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
29 te. Et quand son bonhomme se plaint de ce que son œuvre lui apparaît en même temps que « fatale », « si arbitraire et si facu
16 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
30 et Vert ne restera pas une réussite isolée dans l’ œuvre purement romanesque de la princesse Bibesco, Catherine-Paris annonce
17 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
31 rite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)ar Livre passionnant pour tous ceux que Jules Verne pas
32 ne veut voir que jolis livres d’étrennes dans les œuvres du plus grand créateur de mythes modernes, du seul écrivain dont l’in
33 rite Allotte de La Fuÿe, Jules Verne, sa vie, son œuvre  », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juin 1928, p
18 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
34 l’air bête à ceux qui le sont en créant une belle œuvre serait, par exemple, plus efficace. Aragon se retourne sans cesse pou
19 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
35 ’est pas un cas désespéré. Mais voici déjà dans l’ œuvre de Jean Cassou, et singulièrement dans ce livre, beaucoup de ces peti
20 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
36 inspiré par cet enthousiasme sacré que requiert l’ œuvre de Rimbaud. Regrettons seulement qu’il n’élargisse pas plus une quest
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
37 éateur — et il analyse les principaux thèmes de l’ œuvre avec une intelligence que l’on rencontre bien rarement dans les essai
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
38 our que nous puissions contempler l’ensemble de l’ œuvre de Hölderlin : l’inspirateur de Schelling et de Hegel, le précurseur
39 te tragédie difficile, trois fois remise à pied d’ œuvre et jamais achevée, donne moins que les Poèmes cette impression bizarr
23 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
40 f qui annonçait le désert, je traçais des plans d’ œuvres sablonneuses. Je composais un traité des voyages : les titres en étai
41 8  de ceux qui ne désespèrent pas encore du Grand Œuvre  ? Cela seul est certain : qu’il existe des signes. Peut-être faut-il
42 érudits. 17. La fameuse marche de Rakoczy est l’ œuvre d’une Tzigane. 18. L’or n’était qu’un prétexte. Déjà une blague de p
24 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
43 rit la sécurité de sa marche vers le centre d’une œuvre . La méthode de M. Du Bos est la plus propre à dégager l’élément spéci
44 mes » qui contraignirent tel génie à produire son œuvre . Le danger de cette méthode, c’est que, donnant un nom à chaque probl
45 , supposant le problème résolu (Racine), fait une œuvre d’art. Ou bien encore, l’artiste, usant de cette sorte de désinvoltur