1
tant ici encore transparaît un doute, parfois : «
On
craint d’être injuste en décidant si… cette absence de haine ; cette
2
vite, frappe du pied et repart. Vers quels buts ?
On
verra plus tard. L’urgent c’est d’avancer. Et l’on atteindra peut-êtr
3
n verra plus tard. L’urgent c’est d’avancer. Et l’
on
atteindra peut-être ces régions élevées où les éléments contraires s’
4
unèbre. Ce mot de grandeur revient souvent lorsqu’
on
parle de cette œuvre : je ne sais s’il faut en voir la raison dans la
5
alisme, n.m. Automatisme psychique pur par lequel
on
se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de tout
6
uis Freud — dont ils se réclament imprudemment, —
on
sait ce que c’est que la « liberté » d’un esprit pur de tout finalism
7
laissent pressentir des révolutions plus réelles.
On
souhaite qu’après faillite faite, les surréalistes trouvent à montrer
8
ue nous le peint Paul Colin, est peu intéressant.
On
en a connu bien d’autres de ces jeunes gens prétentieux et sincères q
9
eur motif à l’admiration que tout le lyrisme dont
on
a voulu charger la « vie héroïque » de Vincent. M. Colin n’a pas cher
10
Einstein, des articles sur Valéry, St John Perse.
On
le vit naguère en province liquider des stocks américains. Et ses rom
11
ons traitées est rapide, elle est complète aussi.
On
s’étonne de ce que Fabre, disciple de Valéry, puisse rédiger des roma
12
, mais il s’en permet d’autres qui le sont moins.
On
n’écrit pas un roman en trois volumes sans y laisser des maladresses
13
laisser des maladresses et des négligences. Mais
on
ne demande pas non plus au puissant boxeur sur le ring d’être bien pe
14
belle richesse psychologique. En fermant le livre
on
a presque l’impression qu’il a réussi ce grand roman… Qu’y manque-t-i
15
e pour provoquer cette confrontation seulement qu’
on
a imaginé un péril oriental, car il semble bien que dans le domaine d
16
e la culture le péril n’existe que pour autant qu’
on
en parle, la vraie « question asiatique » étant une question politiqu
17
uestion asiatique » étant une question politique.
On
peut prévoir que si le bouddhisme jouit un jour d’un renouveau, c’est
18
servir d’antidote à sa fièvre et à sa logique. »
On
confond Japon et Arabie, Indes et Chine sous une dénomination qui n’a
19
d’édition Fischer passait pour « la centrale où l’
on
avait concentré la dynamite internationale qu’Ibsen voulait placer so
20
Zola et Ibsen, Tolstoï, Hauptmann et Maeterlinck.
On
trouve au tableau des auteurs édités depuis lors les grands noms de l
21
i a gardé son bon sens et son sang-froid. Et si l’
on
a pu reprocher à ses tableaux de l’Europe qu’il vient de parcourir qu
22
ue dans sa discrétion à louer une grande œuvre qu’
on
trouvera la mesure de son admiration et le gage de sa légitimité. Nul
23
ore et uniquement par leur obsédante volonté. Car
on
imagine difficilement un art plus dépouillé de détail extérieur ou d’
24
? Mais ces réserves sont de peu d’importance si l’
on
songe au service que M. Seillière nous rend en réintroduisant dans l’
25
nts et aux morts : Mère, je sais très mal comme l’
on
cherche les morts… « … Cette chose haute à la voix grave qu’on appell
26
s morts… « … Cette chose haute à la voix grave qu’
on
appelle un père dans les maisons. » Comme Valéry, ce poète sait « des
27
aviter me trouble mieux que son lyrisme cosmique.
On
est plus près de l’infini au fond de soi qu’au fond du ciel. l. Ro
28
n’éclate le sinistre, et s’arrête au moment où l’
on
est sûr que ça brûle bien. Quel sujet plus riche pouvait-on rêver pou
29
que ça brûle bien. Quel sujet plus riche pouvait-
on
rêver pour un psychologue de la puissance de Walpole, que l’âme russe
30
is que le récit doit sauter quelques semaines. Qu’
on
veuille bien ne voir autre chose dans ces « procédés », d’ailleurs as
31
éthode simplifiée pour l’exploitation des ruines.
On
sait le reste. Tout cela, Walpole ne le dit pas. Mais ses personnages
32
… (mars 1926)o L’époque s’en va très vite vers
on
ne sait quoi. On a mis le bonheur devant soi, dans un progrès mal déf
33
L’époque s’en va très vite vers on ne sait quoi.
On
a mis le bonheur devant soi, dans un progrès mal défini, et l’on cour
34
heur devant soi, dans un progrès mal défini, et l’
on
court après sans fin. Même ceux qui ont perdu la croyance en un bonhe
35
mes, excessives lassitudes ou faim de violences —
on
sent l’approche de quelque chose, catastrophe ou révélation, brusque
36
triels. Il y a encore les hommes politiques, mais
on
a si souvent l’impression qu’ils battent la mesure devant un orchestr
37
parmi les plus conscients de ce temps ; mais si l’
on
songe aux bataillons de pâles opportunistes sans culture qui se charg
38
u pain quotidien de la bêtise de tous les partis,
on
comprendra ce que je veux dire. Il faudrait balayer, — et mettre qui
39
le que l’époque réclame 1. C’est aussi pourquoi l’
on
ne saurait accorder trop d’importance à leurs tentatives morales, si
40
heure, c’est la seule façon efficace de servir. ⁂
On
se complaît à répéter que nous vivons dans le chaos des idées et des
41
rs déjà reconnaissent ne pas pouvoir les séparer.
On
n’écrit plus pour s’amuser : ni pour amuser un public. Un livre est u
42
ne expérience. Et, le plus souvent, sur soi-même.
On
écrit pour cultiver son moi, pour l’éprouver et le prémunir, pour y d
43
ût, parce que tout a été essayé. Dégoût, parce qu’
on
se connaît trop, et que plus rien ne retient. (Or on ne crée que cont
44
se connaît trop, et que plus rien ne retient. (Or
on
ne crée que contre quelque chose, contre soi, contre une difficulté.)
45
ût de la vie, dégoût du bonheur, dégoût de soi, —
on
l’étend vite à la société entière. Dégoût d’une civilisation qui abou
46
, Aragon, de ne plus rien attendre du monde, mais
on
voudrait que de moins de gloriole s’accompagnât votre ultimatum à Die
47
que de penser qui les ont amenés aux positions qu’
on
vient d’esquisser. Mais on trouve tout dans les livres des jeunes, di
48
menés aux positions qu’on vient d’esquisser. Mais
on
trouve tout dans les livres des jeunes, dites-vous, le pire et le mei
49
ant de se laisser glisser que de construire. Et l’
on
y prend vite goût. Cela tourne alors en passion de détruire, en hain
50
uger du dehors n’était pas ce qu’il y a vingt ans
on
nommait blasé. Rien n’était émoussé en nous, mais pouvions-nous faire
51
r à vous, désirs, et d’être vaincu sans bataille.
On
voit assez à quel genre de sophismes conduit ce mouvement de l’esprit
52
ur sauter plus loin. Ainsi, c’est par humilité qu’
on
renoncera à la vertu, sous prétexte qu’elle pousse à l’orgueil ; c’es
53
’elle pousse à l’orgueil ; c’est par sincérité qu’
on
mentira, puisque parfois nous sommes spontanément portés à mentir. On
54
parfois nous sommes spontanément portés à mentir.
On
en vient naturellement à considérer un certain immoralisme comme la s
55
ère jusqu’à ses dernières conséquences suppose qu’
on
ait perdu le sens des ensembles rationnels. Nous ne pensons plus par
56
ent de construire et de nous construire. Jamais l’
on
ne fut plus loin de l’idéal goethéen : au lieu de tout composer en so
57
idéal goethéen : au lieu de tout composer en soi,
on
veut tout cultiver, et en fait l’on se contente d’une violence, d’un
58
poser en soi, on veut tout cultiver, et en fait l’
on
se contente d’une violence, d’un vice, d’une inquiétude. 8. « Certai
59
ns la liberté ! crieront les surréalistes. Voire.
On
est moins libre à Moscou qu’à Montparnasse. D’ailleurs leurs théories
60
s alternés ou confondus du désir et de la prière.
On
sort lentement d’une chambre bleue qui est le mystère même, pour suiv
61
de grand peintre. Pourtant, malgré des longueurs,
on
ne lira pas sans plaisir ce livre où l’on voit un homme appeler en va
62
gueurs, on ne lira pas sans plaisir ce livre où l’
on
voit un homme appeler en vain le vent du large, parmi des gens qui cr
63
parce que c’est dimanche, parce qu’il pleut et qu’
on
s’ennuie. Si la vie est bête à pleurer, sourire est moins fatigant. «
64
n peu frileuse et se permet de bâiller en public.
On
connaît le danger… r. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Wilfred
65
eu théorique mais intelligent d’un problème que l’
on
pressent trop complètement résolu dès les premières pages, mais qu’il
66
dans le grabuge, qu’il aime pour les matériaux qu’
on
en peut tirer. L[e] malheur de Cocteau est qu’il se veuille poète. Il
67
d’une verve puissante jusque dans la statistique.
On
en sort convaincu ou bouleversé, enthousiasmé d’avoir trouvé la formu
68
, Pater et Stendhal. Certes, il était temps que l’
on
dénonce la confusion romantique de l’art avec la vie, qui empoisonne
69
’œuvre d’art, il ne s’en suit pas forcément que l’
on
doit nier toute communication directe entre l’œuvre et le moi, comme
70
’auteur dans cet essai me paraît encore ambiguë :
on
peut se demander s’il nie vraiment l’interaction de la vie et de l’ar
71
e théorie de la « garantie des sentiments », où l’
on
est en droit de voir le germe d’un moralisme nouveau qui se fonderait
72
raire, et qu’il serait bien utile d’adopter, si l’
on
veut éviter les confusions qui sont en train d’ôter sa valeur littéra
73
genre le plus encombré et le plus impur qui soit.
On
n’a pas ménagé les critiques à cette œuvre. Cela tient surtout à sa f
74
érilleuse situation que la sienne, en effet, où l’
on
court le double risque de paraître trop littéraire aux philosophes, e
75
rnandez un certain recul par rapport à ses idées,
on
le sent un peu gauche encore dans les positions conquises. Il n’empêc
76
écit plus encore que dans les œuvres précédentes,
on
voit beaucoup moins l’œuvre d’art que l’auteur ; dans ce portrait de
77
16 ans, c’est surtout le Montherlant actuel que l’
on
sent. C’est dire que le livre vaut par son allure plus que par des qu
78
vidu. C’est pour traiter ce sujet pirandellien qu’
on
s’embarque dans une croisière de vacances, qui finit par un naufrage
79
s petits héros. M. Spitz cherche à faire sourire,
on
le sent ; pourtant l’on sourit : il faut bien croire qu’il y a là un
80
cherche à faire sourire, on le sent ; pourtant l’
on
sourit : il faut bien croire qu’il y a là un talent, charmant, glacé,
81
insupportable : « Orpha ne comprenait pas comment
on
pouvait tant souffrir et ne plus aimer ». Closain se tue pour finir l
82
nçais riposte sans conviction, et sous sa défense
on
devine une détresse. C’est encore une vision de l’Occident qui naît d
83
de Paris (janvier 1927)ab « Je n’admets pas qu’
on
reprenne mes paroles, qu’on me les oppose. Ce ne sont pas les termes
84
« Je n’admets pas qu’on reprenne mes paroles, qu’
on
me les oppose. Ce ne sont pas les termes d’un traité de paix. Entre m
85
e mélange de fanfaronnade et d’intense désespoir,
on
songe au Frank de La Coupe et les Lèvres, à qui ses compagnons criaie
86
ez-vous des douleurs, la mort ou des chansons ? »
On
a l’hallucination du décor des capitales, créatrice d’un merveilleux
87
sation progressive et réciproque des conjoints. »
On
sait que Beyle appelait cristallisation une fièvre d’imagination qui
88
dans leur isolement, inexplicable et mal avoué. L’
on
songe à une fatalité intérieure qui les ferait se meurtrir l’un l’aut
89
ste, soient possibles. C’est d’Armande surtout qu’
on
les attendrait, plus franche d’allure. On ne sait ce qui la retient :
90
tout qu’on les attendrait, plus franche d’allure.
On
ne sait ce qui la retient : son amour ? son manque d’amour ? Pour Jac
91
par un geste, une nuance du paysage, une image qu’
on
garde comme un pressentiment. Ce n’est qu’à force de discrétion dans
92
rs trop polis. Une fois fermé le livre de Barbey,
on
oublie la justesse de son analyse pour n’évoquer plus que des visions
93
Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)ad L’
on
aime que, pour certains hommes, écrire ne soit que le recensement pas
94
vers de jeunesse auxquels il ne tient guère, et l’
on
comprend que ce journal bientôt les rejoindra dans l’armoire aux souv
95
nois que naturel s’il parle de choses d’art comme
on
fait dans Proust, si les passions qu’il nous peint sont ici tant soit
96
s. Il se connaît avec une sorte de froideur que l’
on
dirait désintéressée si elle n’avait pour effet de souligner, plus qu
97
line, un amour se noue, qui commence où souvent l’
on
finit. Et peut-être l’amour n’est-il possible qu’entre deux cœurs que
98
tte réminiscence soit assez facile et « artiste »
on
hésite à en faire reproche à l’auteur. Cette espèce de modestie de l’
99
n René Dubardeau pour cette ambassade). Parfois l’
on
se demande si l’Auber de Jean Cassou ne va pas s’attabler au café en
100
rra jamais. Il aime encore sa femme, « mais comme
on
aime une petite maison de province quand on a failli hériter de Cheno
101
comme on aime une petite maison de province quand
on
a failli hériter de Chenonceaux ». Peu à peu l’image d’Irène Rezzovit
102
ppent, des amours impossibles, des histoires dont
on
ne sait pas la fin ni le sens véritable, mais seulement qu’elles ont
103
s son avidité de puissance. C’est par l’argent qu’
on
domine notre âge : il devient grand industriel, assure sa fortune au
104
e vieux père s’effondre de honte et de douleur. «
On
vend de l’étoffe… eux ils se vendent ! » Mais Jacob a renié ses paren
105
rapidité avec l’ascension de Jacob et ses luttes.
On
pardonne bon nombre de platitudes et de vulgarités pour les derniers
106
Mais oui, je ne nie rien, je suis sans scrupules,
on
connaît mon orgueil : osez donc me condamner d’être plus fort que cet
107
asquer l’humain, et par l’acharnement angoissé qu’
on
y apporte, l’on en vient à une conception de la sincérité qui me para
108
et par l’acharnement angoissé qu’on y apporte, l’
on
en vient à une conception de la sincérité qui me paraît proprement in
109
t du malheur ? Le sujet profond de ce roman, où l’
on
voit comment Pierre en vient à sacrifier Diane, son apaisement, pour
110
tant et mesquin de certain milieu bourgeois, et l’
on
voit bien que l’auteur n’est pas encore détaché de la matière pour en
111
si un certain tragique, mais au filet si acéré qu’
on
ne sent presque pas sa blessure. Mais c’est ici qu’il s’agit de ne pa
112
à mal » (Calvin). Le tableau n’est pas beau, mais
on
y sent une « patte » qui révèle encore dans le fond quelque chose de
113
e qui la rend sympathique. Et puis, tout de même,
on
est bien heureux de rencontrer chez les jeunes écrivains français un
114
n devoir de ce plaisir. Un devoir !… Car hélas, l’
on
n’est pas impunément concitoyen de cet oncle Abraham qui interdit à P
115
ets, un ton qui permet le tact dans la hardiesse.
On
reste ravi de tant d’adresse sous un air de facilité qui serait presq
116
ienne en sa nostalgie, de la jeune étrangère dont
on
rêve à 15 ans ; et voici ce je ne sais quoi, ce délice furtif, ce que
117
c eux ce goût du rêve préféré à la vie, — à ce qu’
on
appelle la vie. Jaloux, qui a rencontré plusieurs fois Rilke, trace d
118
plusieurs fois Rilke, trace de lui un portrait qu’
on
dirait, en peinture, très « interprété ». Non pas une photographie mo
119
une de ces âmes mystiques et raffinées telles qu’
on
en découvre chez certaines femmes et l’on y voit une préciosité senti
120
lles qu’on en découvre chez certaines femmes et l’
on
y voit une préciosité sentimentale qui touche à la névrose ou bien si
121
nt une clairvoyance exceptionnelle, suivant que l’
on
juge au nom d’une science ou au nom de l’esprit. « Pour moi qui aime
122
des réalités sur lesquelles s’opère l’expérience.
On
ne prouve la religion qu’aux convertis — qui n’ont plus besoin de pre
123
me dis qu’il n’en saurait être autrement tant qu’
on
se tient à cette attitude scientifique, vis-à-vis du phénomène littér
124
est pas si fréquente dans la production actuelle.
On
retrouve aux premiers chapitres de Catherine-Paris cette magie des se
125
faciles mais cela même ne manque pas de naturel…
On
peut regretter que ce livre ne réalise pas une synthèse plus organiqu
126
tres, divertissant et spirituel. Pourquoi ne veut-
on
voir en Jules Verne qu’un précurseur ? Jules Verne est un créateur, d
127
véritablement soumis la science à la poésie. Et l’
on
ne veut voir que jolis livres d’étrennes dans les œuvres du plus gran
128
, à coups d’exemples qui méritent de l’être. Et l’
on
voit bien ici qu’Aragon dépasse ces surréalistes, ces orthodoxes de l
129
ute son rôle. Il le tient magnifiquement. Mais qu’
on
nous laisse chercher plus loin, dans ce silence où l’on accède à des
130
s laisse chercher plus loin, dans ce silence où l’
on
accède à des objets qui enfin valent le respect. as. Rougemont Den
131
ise en 1925 nous place au nœud du monde moderne :
on
y voit s’affronter en quelques hommes d’action les forces caractérist
132
et la démolition, l’organisation et le sabotage.
On
y découvre le jeu des tempéraments qui fait opter ces chefs pour l’un
133
met aux prises l’Europe et le monde du Pacifique.
On
retrouvera ici beaucoup des idées que la Tentation de l’Occident expr
134
’un art du détail où se révèle le vrai romancier.
On
serait parfois tenté de le rapprocher de Morand, mais il est plus ner
135
toire de Louis II exalte et déçoit l’imagination.
On
comprend que ce doux-amer ait séduit Barrès, mais ne l’ait point trom
136
nt trompé : « Avec son beau regard de rêve, — lit-
on
dans l’Ennemi des Lois — son expression amoureuse du silence et cet e
137
rit Louis II n’est ni aussi pure ni aussi rare qu’
on
voudrait l’imaginer. Il reste qu’il a voulu la vivre et qu’il l’a pu,
138
ution : il a été condamné à mort, il s’est évadé,
on
le traque à Paris même… Il subjugue le jeune Français par ces évocati
139
logique. Il y a dans ce culte de la mythomanie qu’
on
a vu sévir parmi certains milieux d’avant-garde une confusion assez t
140
l écrit la vie d’un homme de lettres. En réalité,
on
ne le voit pas encore apparaître sous cet aspect dans ces deux premie
141
comme une revanche de la poésie — mais à Chicago
on
doit appeler ça du bluff — fait de lui sans doute le plus méridional
142
e reste, nous amusant comme des fous ». Mais non,
on
ne le secouera pas, ce cauchemar, ce monde moderne, ce monde de fous
143
ous qui n’ont plus que leur raison, ce monde où l’
on
ne sait plus créer avec joie des formes belles, ce monde qui devient
144
que ? Rendre impuissant c’est à coup sûr tuer. Or
on
parle de l’élever à la présidence de la République. Qu’un tel acte se
145
ui apaise le vain débat de notre esprit : « Car l’
on
pense beaucoup trop haut, et cela fait un vacarme terrible. » ay.
146
l’année dernière — un livre assez troublant et qu’
on
a trop peu remarqué —, Jean Cassou revient à son romantisme, à notre
147
— puis tous se perdent, comme des souvenirs, et l’
on
retrouve un peu plus loin d’autres souvenirs attristés par le temps,
148
ement aux dernières pages du livre, un peu amers…
On
voudrait un livre de Cassou qui ne serait fait que de ces intermèdes
149
upanishads et la tentative poétique de Rimbaud, l’
on
s’étonne qu’il ait fallu plus d’un demi-siècle pour qu’une telle inte
150
plus une question aussi centrale — qui est, si l’
on
veut, la question d’Orient-Occident. Et pourquoi cette hostilité de s
151
essé. C’est un extrême, un pic trop élevé pour qu’
on
y puisse vivre, c’est l’impossible. Mais justement, la gloire de M. B
152
a sera d’avoir soutenu que l’humanité a besoin qu’
on
lui demande l’impossible. Et quand bien même elle croirait n’en avoir
153
lles qu’il fallait attendre de ces auteurs. Ce qu’
on
ne viendra pas disputer à M. Benda, c’est son dur amour de la vérité
154
oup d’œil, assez dénuées de ces effets faciles qu’
on
aime à ménager dans un jardin à la française. Mais vous ne tarderez p
155
pinceau « fait du poil de novembre des chamois ».
On
s’émerveille de le voir, dans sa main rapide et minutieuse, décrire l
156
ui eût pensé qu’avec un jeu de noirs et de gris l’
on
pût recréer toute la ferveur d’un coucher de soleil. Des formes purif
157
atelier. Autour de cet incident, assez émouvant,
on
entrevoit la famille indignée, une mère qui souffre, un jeune frère q
158
as mal de littérature. Et c’est à un tel amour qu’
on
va demander sa revanche contre la mesquinerie morale du milieu… Étran
159
omte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)bg
On
ne sait presque rien de Lautréamont, sinon qu’il s’appelait Isidore D
160
. M. Pierre-Quint vient d’écrire sur ce poète, qu’
on
a traité de fou et d’ange, un essai remarquable de netteté et souvent
161
aux thèmes de l’œuvre avec une intelligence que l’
on
rencontre bien rarement dans les essais consacrés jusqu’ici à Ducasse
162
athique, certes, mais plus réellement dangereuse.
On
sent bien ici que le critique a dominé son sujet. Mais pourquoi se re
163
et de ministres en retraite que de fauteuils. Et
on
me regarde. J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce châ
164
chumann ; sans avoir pu retrouver le nom de qui l’
on
a reconduit à sa villa, vers cinq heures à travers ces quartiers si c
165
res, au long d’un quai tout fleuri de terrasses ;
on
nous déverse dans cette foule et ces musiques, deux visages amis me s
166
s de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (
on
n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobée, des coups d’
167
ses nationales (on n’a pas bien compris les noms,
on
échange, à la dérobée, des coups d’œil, dans le léger étourdissement
168
e espèce de tendresse pour tous les possibles, qu’
on
appelle, je crois bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande
169
s qu’êtes-vous venu chercher jusque chez nous ? »
On
me demandera donc toujours des passeports ? Dussè-je les inventer… Ah
170
n’est rien auprès de celui d’expliquer pourquoi l’
on
est parti. Cependant, mes regards errant sur une bibliothèque, je cro
171
e indulgente et cette pitié à peine jalouse que l’
on
réserve aux égarements d’une jeunesse démodée se peignirent sur les t
172
les traits de mes auditeurs. — Vous êtes, me dit-
on
, un amateur de troubles distingués. Peu de sens du réel. Mais nous vo
173
e, ou tout au moins ce qu’il en reste. Sur quoi l’
on
m’entraîna dans un musée sans sièges. Le Musée de Budapest enferme qu
174
e chemin du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-
on
dit, qu’une paire de babouches dans une mosquée vide que personne n’a
175
r de mon pèlerinage au Temple de l’Objet inconnu.
On
passe une barrière, une cour vide ; on prend le sentier qui monte en
176
t inconnu. On passe une barrière, une cour vide ;
on
prend le sentier qui monte en zigzag à travers des jardins dont les a
177
ne peu solide, rongé de petites roses cramoisies.
On
longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier compliqué : c’
178
roses cramoisies. On longe une galerie couverte,
on
tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et de
179
avec du linge dans des courettes poussiéreuses.)
On
aboutit à une plate-forme dallée, surchauffée, entre des murs assez h
180
is la porte est fermée. Par une ouverture étroite
on
passe ensuite à une seconde terrasse plus vaste, où il y a quelques a
181
er dans l’ensemble des constructions. C’est là qu’
on
entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un trè
182
façon de certains regards lucides qu’il arrive qu’
on
porte sur la vie, tout d’un coup, à trois heures de l’après-midi par
183
sans angoisse… 4. De midi à quatorze heures
On
voyage de nos jours d’une façon « rationnelle », c’est-à-dire que les
184
Cook’s tickets remplacent l’exigence intérieure.
On
n’avoue que des désirs archéologiques, d’ailleurs mensongers. Alors q
185
bien inquiétant : c’est à la sensibilité même qu’
on
impose une livrée. — « Je comprends, me dit-on. Vous êtes pour la fan
186
qu’on impose une livrée. — « Je comprends, me dit-
on
. Vous êtes pour la fantaisie, c’est bien joli !… » — Non, Monsieur, c
187
s déjà bien malade. Il perd le sentiment, disait-
on
, du temps que l’on parlait français. J’expliquais donc que je ne voya
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Il perd le sentiment, disait-on, du temps que l’
on
parlait français. J’expliquais donc que je ne voyage qu’au hasard, et
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t leur morale qui ne parle que d’obligations dont
on
ne saurait à la légère se débarrasser sans courir les risques12 les p
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deux séries d’heures de travail consacrées, si l’
on
ose dire, à assurer cette mastication. Mais je m’égare, laissons-là c
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s-là ces moutons. 5. Café amer En Hongrie l’
on
est assailli par le pittoresque, mais il s’agit de le déjouer au moye
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dont le plus simple consiste à traduire ce que l’
on
voit. Cette banque à la façade violette, or et bleue, aux grandes lig
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les peinturlurées — elle n’a rien d’étrange, si l’
on
songe que nous sommes en Hongrie. Et ce n’est pas que je trouve ce ra
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n’est qu’amour jaloux du merveilleux, avec quoi l’
on
est trop souvent tenté de confondre le bizarre. C’est le faux merveil
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après coup des transitions, et c’est alors que l’
on
est tenté de mentir, si fort tenté que l’on cède à coup sûr, en se pe
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que l’on est tenté de mentir, si fort tenté que l’
on
cède à coup sûr, en se persuadant que c’est pour des raisons techniqu
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mbler, ne fût-ce que de loin, — c’est alors ce qu’
on
appelait un paradoxe, du temps des petites manières. Cependant, la ré
198
t infiniment baroque, à peine compréhensible, car
on
ne choisit pas un sujet : on est sujet. Et tout ceci n’est rien que l
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compréhensible, car on ne choisit pas un sujet :
on
est sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la recher
200
s conseille de n’y plus penser quelque temps… Car
on
ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver sur l’he
201
uelque temps… Car on ne trouve vraiment que ce qu’
on
a consenti de ne pas trouver sur l’heure. (En petit et intéressé, ce
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ficace. Voici le Prince Primat, les doigts levés.
On
se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul, un a
203
ied de son palais proche, tout seul, un archiduc.
On
salue profondément, en silence (cliquetis des rangées de décorations
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mule en revendications d’hommes d’affaires. Ce qu’
on
prétend défendre, c’est son droit, ses intérêts. Mais, en Hongrie, le
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toute nue, qui exprime l’être profond de la race.
On
ne discute pas cet amour, on ne réfute pas cette haine. Ici, la sympa
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profond de la race. On ne discute pas cet amour,
on
ne réfute pas cette haine. Ici, la sympathie est un devoir de polites
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lle.) La liqueur de pêche rend démonstratif, dont
on
vide trois verres d’un trait en guise de salut. C’est alors que se dé
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rtes de « la Hongrie mutilée ». — « Savez-vous qu’
on
nous a volé les deux tiers de notre patrie ? » Ah ! ce n’est pas vous
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a supériorité de race — sa véritable légitimité —
on
comprend que le Hongrois n’ait point conservé une extrême sensibilité
210
ie car l’orgueil hongrois n’est point de ce que l’
on
gagne sur autrui, mais de ce que l’on est ; non point d’un parvenu, m
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de ce que l’on gagne sur autrui, mais de ce que l’
on
est ; non point d’un parvenu, mais d’un aristocrate. Tous dangers éga
212
ls sont en scandale au monde moderne. Voilà ce qu’
on
ne dit pas dans les dépêches d’agence : les journalistes, une fois de
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par le monde. C’est dans l’ordre des choses, et l’
on
sait qu’il suffit de très peu de sel pour rendre mangeables beaucoup
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dans l’air. Espoir sans doute chimérique, mais qu’
on
peut croire bien près d’être comblé dans ce pays où les courtiers ne
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us vieille capitale de la Hongrie. Attila, me dit-
on
, y régna. Aujourd’hui c’est la résidence du Prince Primat. Au-dessus
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bres boisées entourées d’une large galerie d’où l’
on
voit le Danube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite ville just
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fait beau temps, l’horizon est aussi lointain qu’
on
l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il
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qui me paraissent être la grandeur de la Hongrie,
on
m’expliquera que je suis pour la guerre, puisque enfin cet état d’esp
219
s Poèmes de la folie ont paru simultanément, et l’
on
annonce Hypérion. Il ne manquera plus que les longs poèmes de la matu
220
es plus mystérieux génies poétiques de notre ère.
On
doit beaucoup de reconnaissance à M. André Babelon pour avoir traduit
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s de lui-même, s’élever aussi loin qu’il le veut.
On
peut tomber dans la hauteur tout comme dans la profondeur ». Comment
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demande s’il était bien légitime de les traduire.
On
a respecté scrupuleusement les « blancs » que Hölderlin indiquait ave
223
a traduction de tels fragments est illusoire, car
on
ne peut songer à remplacer ces mots-notes par des syllabes de valeur
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aux replis si doucement intimes qu’à cette heure
on
sent bien que poursuivre est une sorte d’enivrant péché. — Nous aurio
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ne sais plus. — Le train s’attarde dans sa fumée,
on
respire une lourde obscurité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’ «
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eurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’
on
les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de plaine, comme les aut
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je n’observe rien. Il y a des femmes si belles qu’
on
en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici
228
l style dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’
on
aime l’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’on
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s qu’ici qu’on aime l’ivresse comme un art. Et qu’
on
soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, on la
230
omme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène, qu’
on
sauvegarde sa qualité. Ailleurs, on la laisse traîner dans la sciure
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en scène, qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs,
on
la laisse traîner dans la sciure ou dans le gâtisme. On trouve que ça
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laisse traîner dans la sciure ou dans le gâtisme.
On
trouve que ça n’est pas distingué, et en effet, que serait un lyrisme
233
ec le corps entier — non pas avec les bras, comme
on
chante du Verdi, — elles ont des mouvements vifs du buste, et des mai
234
ec une bonne ou une mauvaise conscience. À Vienne
on
voit des couples qui savent être à la fois cocasses et fades. En Ital
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uits par le noir Duc d’Égypte ; aussi les nomma-t-
on
gipsys. Pour leur nom allemand, c’est : Zigeuner ; hongrois : cigány
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u prix de tout ce qu’à Debrecen je viens admirer.
On
aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or le rêve de l’enfant, c
237
ecen je viens admirer. On aime les Hongrois comme
on
aime l’enfance : or le rêve de l’enfant, c’est de devenir une grande
238
e l’enfant, c’est de devenir une grande personne.
On
me l’a dit, c’est vrai : cette ville historique est aussi l’autre « R
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t se perd avec lui vers le désert et ses mirages.
On
ne sait d’où tu viens, tu ne sais où tu vas, peuple de perdition, Peu
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mme ils égarent tout d’un monde où si peu vaut qu’
on
le conserve, au long d’un chemin effacé par le vent sur la plaine… Il
241
eur musique seule s’en souvient. Trésor si pur qu’
on
ne doit même pas savoir qu’on le possède… Tout près d’ici, peut-être,
242
t. Trésor si pur qu’on ne doit même pas savoir qu’
on
le possède… Tout près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève-toi, par
243
rs — vais-je pour vous m’arrêter quelques jours ?
On
ferait connaissance à table d’hôte, on irait ensemble à Tihany — elle
244
es jours ? On ferait connaissance à table d’hôte,
on
irait ensemble à Tihany — elle a l’air d’être en Italie sur sa presqu
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rendait compagnon d’une momie bleuâtre, mais peut-
on
se reposer vraiment à cent à l’heure. Par-dessous le store, je voyais
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se… Il s’agit toujours d’autre chose que de ce qu’
on
dit. (L’imprudence de penser dans l’insomnie ! Cela tourne tout de su
247
ner ce qui se produirait, si par quelque Décret l’
on
élevait la Morale du domaine des actions à celui de la pensée, de l’A
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on pas une question de transport. Un vrai voyage,
on
ne sait jamais où cela mène, c’est une aventure qui relève de la méta
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ment… (Encore un qui se réveille dans ma tête.) —
On
ne voyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut voyager po
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vie est presque partout la même… — Mais en voyage
on
la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar de la pensée, qui
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ne peut plus s’arrêter de penser). Se peut-il qu’
on
cherche le sens de la vie ! Je sais seulement que ma vie a un but. M’
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né. Et c’est le voyage qui me fixe. Je rayonnais,
on
me dessine. Mais en même temps, j’ai découvert mes puissances d’évasi
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te est obstruée par un douanier, tant qu’à la fin
on
me refoule dans mon compartiment. Est-ce encore un rêve ? Je comprend
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semaines de voyage ? Cela va paraître improbable.
On
a dû voir sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’œil est implaca
255
n, rien à déclarer, quelle tristesse. Mais qu’a-t-
on
jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais plus parler en vers e
256
rêves, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’
on
connaît depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent
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que l’on connaît depuis toujours ce qu’une fois l’
on
aimera. Et les uns disent qu’il faut connaître pour aimer ; les autre
258
i-je aimée d’un amour égoïste, comme un être dont
on
a besoin et en qui l’on chérit surtout ce dont on manque : touchantes
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oïste, comme un être dont on a besoin et en qui l’
on
chérit surtout ce dont on manque : touchantes annexions, pieux menson
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on a besoin et en qui l’on chérit surtout ce dont
on
manque : touchantes annexions, pieux mensonges du cœur qui traduisent
261
é du monde, effacer ta dernière différence, — car
on
ne voit que ce qui est de soi-même, et conscient… C’est à cause d’un
262
s ceux qui quittent ce monde vont à la Lune — lit-
on
dans les upanishads. — Or si un homme n’est pas satisfait dans la lun
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f de son tempérament critique. Le style d’abord :
on
y retrouve, appliqué aux mots, ce même sens à la fois scrupuleux et a
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assuré de la qualité, qui est ce qu’avant tout l’
on
doit admirer chez M. Du Bos. Et dans l’allure des phrases, le rythme
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êné par la lenteur de certains méandres, aimerait-
on
les sentir moins insistants, moins concertés. Mais n’est-ce pas là un
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bien plus précieux que l’élégance à bon marché qu’
on
nous prodigue dans la presse. Les sujets : Walter Pater, Tolstoï, Har
267
s conteste dans une classe internationale — comme
on
dirait en style sportif — c’est l’aisance avec laquelle il aborde un
268
uung correspondante en profondeur. Il la possède.
On
peut dire de sa critique qu’elle pose le problème de l’homme dans sa
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et la dignité qui tout ensemble lui conviennent.
On
le conçoit, ce n’est pas là se rendre la tâche facile. Cernant de tou
270
ment spécifique des génies qu’elle « approche » :
on
pourrait l’appeler une critique des obstacles. Je veux dire par là qu