1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 e joindre ce que je désire ; ni rien — rien que l’ orgueil , sachant une chose si forte, de me sentir plus fort encore et de la v
2 cera à la vertu, sous prétexte qu’elle pousse à l’ orgueil  ; c’est par sincérité qu’on mentira, puisque parfois nous sommes spon
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
3 nie rien, je suis sans scrupules, on connaît mon orgueil  : osez donc me condamner d’être plus fort que cette bourgeoisie fatig
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
4 des statistiques — et sa douleur aussi, douleur d’ orgueil blessé, mais qui emporte la sympathie car l’orgueil hongrois n’est po
5 gueil blessé, mais qui emporte la sympathie car l’ orgueil hongrois n’est point de ce que l’on gagne sur autrui, mais de ce que
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
6 mesures de l’esprit humain, parle aux dieux avec orgueil , et finit par succomber à son « hybris » : il se jette dans l’Etna po
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
7 de la puissance. Soir de voyage, tout enfiévré d’ orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout ce qui est de la terre renonce à s’