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hui semble chercher dans une confrontation avec l’
Orient
, plutôt qu’une réelle connaissance de l’Orient, une conscience d’elle
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l’Orient, plutôt qu’une réelle connaissance de l’
Orient
, une conscience d’elle-même. C’est peut-être pour provoquer cette con
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s ses sources pour s’y retremper. Les appels de l’
Orient
, ce sont les Keyserling, les Guénon, qui les font entendre, autant et
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culier). Car la plupart des enquêtés se font de l’
Orient
une représentation vague et poétique. « Orient…, toi qui n’as qu’une
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l’Orient une représentation vague et poétique. «
Orient
…, toi qui n’as qu’une valeur de symbole », a dit A. Breton. C’est de
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aleur de symbole », a dit A. Breton. C’est de cet
Orient
qu’il s’agit, et Jean Schlumberger le définit encore : « … tout ce qu
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par des faits et des documents. Pour beaucoup, l’
Orient
n’est qu’un prétexte à variations sur le thème favori. M. Massis, par
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définit ce que les autres entendent vaguement par
Orient
: l’Asie est le subconscient du monde, formule qui, je pense, réunira
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acun d’en tirer de nouvelles raisons de maudire l’
Orient
ou chercher la guérison de nos fièvres. Mais nous aurons entrevu peut
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gemont Denis de, « [Compte rendu] Les Appels de l’
Orient
(n° 9-10 des Cahiers du Mois) », Bibliothèque universelle et Revue de