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moins deux grands artistes : Aragon, Éluard. Sans
oublier
Breton, enchanteur des images qui peuplent les ténèbres. b. Rougem
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trop polis. Une fois fermé le livre de Barbey, on
oublie
la justesse de son analyse pour n’évoquer plus que des visions où se
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plus ridicule. Pourtant, qu’elle ne laisse point
oublier
que ce livre d’une résonance si humaine, est mieux que charmant, — do
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re ajoute : « Notre sang sera vainqueur… Qu’ils m’
oublient
, qu’ils me méprisent ! Je les vois régner. Je salue leur Loi. » Le ré
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aisserons-nous Jules Verne aux enfants ? J’allais
oublier
que la littérature enfantine est le dernier bateau. Pour ce coup, voi
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lite l’étrangeté de son éclat. Alors je m’en vais
oublier
le But de mon voyage, — qui est sa cause. Je vais feindre de prendre
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table des huit reflets de leur dignité. Mais je n’
oublierai
pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personne
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ntre dans l’atelier du peintre. Je ne tarde pas à
oublier
ce qui est lent ou fixe ou pas-à-pas. Tout s’épanouit dans un monde r
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e mon être véritable. Seul au milieu des miens, j’
oubliais
ma race, j’avais l’illusion de n’être rien que… moi-même. Identique à