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mme d’une pureté si rare en notre siècle, qu’elle
paraît
parfois, lorsque la tourmente humaine ne la moleste ni ne l’avive plu
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thode des textes généralisée ? Point du tout ! Il
paraît
qu’il est la seule attitude littéraire aujourd’hui concevable. Mais p
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avant-garde entre 1900 et 1910. Depuis, la maison
paraît
s’être un peu embourgeoisée… Disons plutôt que voici venu le temps de
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al, c’est-à-dire rationnel, dit M. Seillière — me
paraît
infiniment plus forte que celle d’un Maurras ou que celle d’un Marita
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es adonnés à la culture et à la libération du moi
paraissent
bien les ancêtres des nouvelles générations de héros de roman, lesque
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commenté par ceux qui le portent en eux qu’il en
paraît
plus incurable. Ces jeunes gens n’en finissent pas de peindre leur dé
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out cela est sublimé dans un monde poétique où il
paraît
inconvenant d’introduire le jargon de la science moderne.) Si nous re
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u’en commentaires. Le talent de Mme de Watteville
paraît
mieux à l’aise dans la description du milieu patricien que dans la cr
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qu’il ait trouvé, Jean Cocteau a réuni ce qui me
paraît
le meilleur de son œuvre : ses récits de critique et d’esthétique (Le
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iais l’œuvre de Gide, qui plus qu’aucune autre me
paraît
liée à cette confusion. Mais s’il est bien établi que les lois de la
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ant que la position de l’auteur dans cet essai me
paraît
encore ambiguë : on peut se demander s’il nie vraiment l’interaction
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enne, en effet, où l’on court le double risque de
paraître
trop littéraire aux philosophes, et trop philosophe aux littérateurs.
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it parler son Chinois de telle façon qu’ils ne le
paraissent
point. Et alors le relativisme angoissant qui semblait devoir résulte
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d’un choix presque impossible, notre incertitude
paraît
sans remède. Mais, ici, M. Daniel-Rops n’a-t-il pas cédé à la tentati
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en vient à une conception de la sincérité qui me
paraît
proprement inhumaine. Tout dire, vraiment ? C’est l’exigence d’une dé
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raire », de gazetiers ; au cœur de ces sujets qui
paraît
-il, ne sont pas d’actualité : la solitude, la maladie, la peur. ao.
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es ! Mais il a su mettre plus de choses qu’il n’y
paraît
d’abord dans ces 50 pages. Beaucoup sont excellentes et leur facilité
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az Après cet austère Pays qui n’est à personne
paru
l’année dernière — un livre assez troublant et qu’on a trop peu remar
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amour de la vérité tout court. Celle-là même qui
paraît
anarchique dans un monde où tout est bon à quelque chose, où rien plu
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certaines pubertés ; quant à l’amour, Maldoror ne
paraît
pas de taille à le concevoir au-delà de sa tendresse pour les adolesc
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. Mais combien votre sort, ô grands empêtrés ! me
paraît
enviable : vous au moins connaissiez ce qui causait votre malheur ; m
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eu élevée, à demi recouverte de rosiers, et qu’il
paraît
impossible de situer dans l’ensemble des constructions. C’est là qu’o
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nt admis que mon sujet soit la Hongrie, ce qui me
paraît
infiniment baroque, à peine compréhensible, car on ne choisit pas un
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« bien hongrois » dans un style académique qui me
paraît
être le contraire du style hongrois. Il y a aussi une extrême gauche,
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plus vivante du génie littéraire de cette race me
paraît
bien avoir été donnée par le groupe important du Nyugât (l’Occident),
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comme le seul Clerc qui n’ait pas trahi — qui me
paraissent
être la grandeur de la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la g
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La Mort d’Empédocle et les Poèmes de la folie ont
paru
simultanément, et l’on annonce Hypérion. Il ne manquera plus que les
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aut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a
paru
beau, en faire le tour, mais voilà qui est affaire de pur caprice, ta
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déclarer » après des semaines de voyage ? Cela va
paraître
improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’