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s belliqueuses. Il nous montre « des Français qui
pensent
ces carnages inévitables, avec un bref soupir s’y résignent, puis tab
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ussent une Asie ignorante du thomisme et ceux qui
pensent
inévitable le choc de deux mondes, et que seule une intime connaissan
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sie est le subconscient du monde, formule qui, je
pense
, réunira tous les suffrages. Et chacun d’en tirer de nouvelles raison
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des méthodes et des façons de vivre autant que de
penser
qui les ont amenés aux positions qu’on vient d’esquisser. Mais on tro
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t perdu le sens des ensembles rationnels. Nous ne
pensons
plus par ensembles7 : symptôme de fatigue. Mais tout cela : dégoût un
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que tous les jeunes écrivains — se souviennent de
penser
en fonction du temps présent, soit qu’ils veuillent en améliorer les
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tout ce qui est constructif et créateur, voilà je
pense
le véritable désordre. Une intelligence parvenue au point où elle « n
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ples d’un Meredith et d’un Stendhal, qui ont su «
penser
dans le train de l’action, faire de la psychologie à la volée », et d
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édés lassants ». Pierre Girard n’écoute plus : il
pense
à des Vénézuéliennes ou à Gérard de Nerval. Bientôt vous vous calmez.
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chefs (c’est lui qui parle au nom de l’auteur, je
pense
) : « Il me semble que je lutte contre l’absurde humain, en faisant ce
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apaise le vain débat de notre esprit : « Car l’on
pense
beaucoup trop haut, et cela fait un vacarme terrible. » ay. Rougem
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e admirable maîtrise de sa technique ! Et qui eût
pensé
qu’avec un jeu de noirs et de gris l’on pût recréer toute la ferveur
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rient et je grimpais gravement comme je ferai, je
pense
, au jour de mon pèlerinage au Temple de l’Objet inconnu. On passe une
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lité vivante à une duperie commerciale. Mais vous
pensez
que tant de mots pour une simple question de sentiment… C’est que vou
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ez sous la langue ; je vous conseille de n’y plus
penser
quelque temps… Car on ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de n
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rais celui du tragique de la pensée. « Insensé, —
penses
-tu de figure en figure — voir l’âme ? — Tu iras dans les flammes. » Q
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leu de mon obsession. L’Objet Inconnu, — quand je
pense
à ce qu’en imagineraient les autres, si je leur en parlais… Il leur s
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pire une lourde obscurité qui sent l’enfer. Je ne
pense
plus qu’ « au souffle »… Mais alors tout s’allume et voici la nuit de
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urts sur la plaine inondée de nuit. J’essayais de
penser
par-dessous le rythme obstiné de cette hurlante bousculade sur place
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autre chose que de ce qu’on dit. (L’imprudence de
penser
dans l’insomnie ! Cela tourne tout de suite à la débauche. Notre libe
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rne tout de suite à la débauche. Notre liberté de
penser
est absurde au regard des contraintes que subissent nos gestes. Imagi
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hemar de la pensée, qui ne peut plus s’arrêter de
penser
). Se peut-il qu’on cherche le sens de la vie ! Je sais seulement que