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ne et la morale et l’esthétique modernes. Et à ce
propos
, il faut souhaiter que M. Fernandez aborde par ce biais l’œuvre de Gi
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igue ; que c’est une vraie manie de nommer à tout
propos
d’Annunzio, Pola Negri, Charly Clerc, Mrs. Balfour. Vous parlez de «
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ons mêmes et non de dissertations lyriques à leur
propos
. Mais dans ce roman, il n’y a plus seulement la femme, avec le miracl