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que qui tend à devenir notre poncif moderne, — si
propre
à égarer dans d’ingénieuses métaphores quiconque chercherait une idée
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rope du xviiie prenait surtout conscience de son
propre
génie, l’Europe d’aujourd’hui semble chercher dans une confrontation
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es, il n’a pas eu trop de peine à l’annexer à son
propre
corps de doctrines critiques. Dirai-je pourtant que je crains qu’il n
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emplant avec une lucidité parfois douloureuse ses
propres
actes dont il s’étonne mais qu’il se garde de juger5. Il y a véritabl
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ait contre lui-même, qui lui faisait mépriser son
propre
intérêt6… » c’est proprement la perversion d’une vertu qui se brûle e
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le « ne semble avoir rien d’autre à faire que son
propre
procès », une intelligence qui se dégoûte, tel est le spectacle que
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isme anarchique. Tirer des lignes droites, est le
propre
de l’homme. Toutes les civilisations fortes l’ont osé. Créer un espac
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ue de sensations juxtaposées » — qu’il définit sa
propre
théorie de la « garantie des sentiments », où l’on est en droit de vo
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mpagnons criaient : « Te fais-tu le bouffon de ta
propre
détresse ? » Tant d’insistance dans le mauvais goût ne m’empêchera pa
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n maladroitement son rôle d’homme… « Captif de sa
propre
jeunesse. » C’est ici un autre sujet du roman, qui se mêle étroitemen
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se. — Livre un peu didactique, trop attentif à sa
propre
démarche, mais inspiré par cet enthousiasme sacré que requiert l’œuvr
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dans ma tête.) — On ne voyage jamais que dans son
propre
sens ! — Mais il faut voyager pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu
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d’une œuvre. La méthode de M. Du Bos est la plus
propre
à dégager l’élément spécifique des génies qu’elle « approche » : on p
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laisser l’image d’un auteur plus conscient de ses
propres
difficultés que ne saurait l’être le créateur. Car une telle conscien