2
e l’esprit pénètre dans la poésie, vous lirez Mes
Propriétés
. Il se peut que vous les trouviez médiocrement riantes, au premier co
3
ry Michaux, en se cantonnant franchement dans ses
propriétés
, y découvre sans cesse de nouvelles sources. Il défriche et il fabriq
4
ont Denis de, « [Compte rendu] Henri Michaux, Mes
propriétés
», Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1930, p