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urs assez peu choquants, que le revers de grandes
qualités
de réalisation d’idées en faits ou en situations dramatiques. Je donn
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que le livre vaut par son allure plus que par des
qualités
de composition ou de perfection formelle. Pour quelques-uns de ces tr
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s intéressants, un écrivain qui s’impose avec des
qualités
et des défauts pareillement énormes. Il faut remonter loin dans notre
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r ailleurs ce livre sait bien le laisser voir. La
qualité
de l’illusion dont se nourrit Louis II n’est ni aussi pure ni aussi r
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u’on soigne sa mise en scène, qu’on sauvegarde sa
qualité
. Ailleurs, on la laisse traîner dans la sciure ou dans le gâtisme. On
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ce temps… Qui sait si tu ne l’as pas reçue ? Une
qualité
, une tendresse, quelque similitude… Oh ! bien peu ! Mais qu’est-ce qu
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ence le jugement implicite que, sur le plan de la
qualité
pure, je persiste à tenir pour le plus efficace. Ce n’est peut-être p
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ce même sens à la fois scrupuleux et assuré de la
qualité
, qui est ce qu’avant tout l’on doit admirer chez M. Du Bos. Et dans l