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je crois, une certaine harmonie générale dans le
récit
et le ton, surtout dans la première partie, qui est confuse. Non pas
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à-propos et perd connaissance chaque fois que le
récit
doit sauter quelques semaines. Qu’on veuille bien ne voir autre chose
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nutile et vain ? Je cite ces phrases, tirées d’un
récit
d’ailleurs admirable4, de Louis Aragon, pour marquer l’aboutissement
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le-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)s C’est le
récit
de la découverte de Dieu par une jeune fille élevée dans l’athéisme.
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i ce qui me paraît le meilleur de son œuvre : ses
récits
de critique et d’esthétique (Le Coq et l’Arlequin, la Noce massacrée,
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ouveau tome des mémoires de Montherlant : dans ce
récit
plus encore que dans les œuvres précédentes, on voit beaucoup moins l
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son art est justement de voiler les intentions du
récit
et de les exprimer seulement par un geste, une nuance du paysage, une
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us que des visions où se condense le sentiment du
récit
. Dans le Cœur gros, c’était un parc avant l’orage, le rose sombre d’u
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ce me semble, d’insister sur ce qui forme dans le
récit
de cette vie comme une arrière-pensée inquiète et un peu hautaine. Qu
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ent ! Je les vois régner. Je salue leur Loi. » Le
récit
grassement pittoresque dans la description du milieu juif, prend une
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aimé tous deux (L’Amie du Mort.) Ou bien c’est le
récit
d’un été de vacances, quand les premières inquiétudes du désir vienne
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écrit, sur commande, une Promenade dans le Midi.
Récit
alerte et familier (un brin pédant et un brin vulgaire par endroits,
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Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)au Ce
récit
de la révolution cantonaise en 1925 nous place au nœud du monde moder
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il ne se borne pas à des effets pittoresques : ce
récit
coloré et précis, admirablement objectif, est aussi, mais à coups de
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8)aw Au hasard d’une rencontre, l’auteur de ce
récit
se lie avec un inconnu qui se dit prince russe et entretient autour d
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e sent désarmé et légèrement absurde en face d’un
récit
comme celui d’Anderson : voici un homme qui raconte sa vie avec une é
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’Anderson est étonnant d’apparente simplicité. Le
récit
s’avance à une allure libre et tranquille, anglo-saxonne et peu à peu
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ndré Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)bf Ce
récit
d’une élégante minceur décrit la passion d’une jeune fille de la gran
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u contraire, aggraver le cas ?) Or l’intérêt d’un
récit
de voyage ne réside pas dans sa vérité générale, mais bien se réfugie