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s quiconque chercherait une idée là-dessous, — ne
réussit
pas toujours chez Breton à masquer la banalité de la pensée. D’autant
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ermant le livre on a presque l’impression qu’il a
réussi
ce grand roman… Qu’y manque-t-il ? Un style ? L’absence de style, n’e
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. Il reste que Lucien Fabre a tenté, et en somme,
réussi
, une entreprise bien téméraire de nos jours : un roman à thèse aussi
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M. Ford expose victorieusement sa méthode pour «
réussir
» — à quoi, grands dieux ? — nous prenons chaque jour une conscience
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pas la moindre habileté du biographe. D’ailleurs,
réussir
un livre attrayant sur une vie manquée n’était pas un problème aisé :