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rs ; jusqu’au soir où la douleur nette d’un amour
réveillé
l’envahit. Et Closain rencontre, dans l’inévitable bar, le couple de
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est encombré de jambes de dormeuses ; il faudrait
réveiller
tant de beautés redoutables pour atteindre la dernière chaise libre.
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soudain, c’est au silence que je me heurte, comme
réveillé
dans l’absurdité d’être n’importe où. Une panique balaye la nuit dése
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dites ! — Vous, naturellement… (Encore un qui se
réveille
dans ma tête.) — On ne voyage jamais que dans son propre sens ! — Mai