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ptation, mais elle peut se muer instantanément en
révolte
. Aucun cadre logique ne détermine l’avenir le plus proche. Il n’y a p
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s, le salut n’est nulle part… » « Je comprends la
révolte
des autres et quelles prières cela fait à Dieu », disait Drieu la Roc
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r tous les chaînons d’inquiétude, de malaises, de
révoltes
plus ou moins complètes au gré des tempéraments. Le geste de Lafcadio
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Rousseau surréaliste. Devant cette ostentation de
révolte
, ce mélange de fanfaronnade et d’intense désespoir, on songe au Frank
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d’ambition que pour ses enfants. Jacob, l’aîné se
révolte
. Sensualité, intelligence, brutalité : les caractères se résument dan
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rie. Un scientisme assez insolent et les joyeuses
révoltes
de sa verve « interfèrent » en lui. Et aussi (presque imperceptible,
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dégage le sujet de l’épopée qu’est Maldoror — la
révolte
de l’homme contre son Créateur — et il analyse les principaux thèmes
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qui le caractérise le plus fortement, c’est sa «
révolte
absolue », forcenée, jusqu’au rire dément, — ses injures de Caliban l
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les autres, M. Pierre-Quint montre en quoi cette
révolte
est puérile et insuffisante. Une fois de plus, l’intelligence apporte
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gence apporte la solution d’une hypocrisie que la
révolte
rend moins sympathique, certes, mais plus réellement dangereuse. On s
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ôt de la grandiloquence « antilittéraire » et des
révoltes
au hasard d’un Maldoror. Elle demande une pensée forte et orientée pl