1 nde étude sur les rapports du christianisme et du romantisme . M. Seillière cherchait dans l’époque romantique un témoin dont le ju

2 mble viable et humain dans la critique moderne du romantisme , Vinet l’avait trouvé. Mais sa position purement chrétienne — un myst

3 beaux exemples du parti que peut tirer le nouveau romantisme de ce chaos. Salmon a même tenté d’en écrire l’épopée dans Prikaz, ce

4 un roman bien différent, a vu la Révolution sans romantisme , dans le détail de la vie d’une ville. Il sait qu’un grand mouvement

5 s2. Il rendait responsable de tout le « mal », le romantisme — et c’est plus que probable. Mais il en tirait une raison nouvelle d

6 . 7. Le « goût du désastre » qui est au fond du romantisme moderne nous empêche secrètement de construire et de nous construire.

7 icet. C’est pourtant un des plus significatifs du romantisme nouveau. J’ai nommé Rousseau, Nerval Musset : mais voyez un Rousseau

8 des jeunes générations, en sorte que l’espèce de romantisme à la Nerval auquel il aboutit coïncide avec un mouvement dont lui-mêm

9 il l’a pu, étant roi. Il offre ainsi l’image d’un romantisme assez morose ; mais à grande échelle. M. de Pourtalès a su rehausser

10 a trop peu remarqué —, Jean Cassou revient à son romantisme , à notre cher romantisme. La Clef des songes est de nouveau une dériv

11 ean Cassou revient à son romantisme, à notre cher romantisme . La Clef des songes est de nouveau une dérive fantaisiste dans ce mon

12 ndre, quitte à les parodier, les grands thèmes du romantisme . Mais il les a poussés à un paroxysme verbal qui induit à croire qu’i

13 à soi-même. Mais les Hongrois ne renient pas leur romantisme . Quelle revanche prendrait la Hongrie, sur une Carte du Tendre d’aprè

14 olie (octobre 1930)bi L’année du centenaire du romantisme sera celle aussi de la découverte de Hölderlin par la France. La Mort