1
d’une fatigue immense. Nous voyons se fausser le
rythme
des jours et des nuits à mesure que se développe une civilisation méc
2
ranscrite en brèves notations lyriques suivant le
rythme
d’un songe, sans cesse brisé par les élans alternés ou confondus du d
3
et qu’il trouve une sorte d’unité vivante dans le
rythme
des désirs jamais simultanés de ses petits héros. M. Spitz cherche à
4
la maturité de Hölderlin est à chercher dans leur
rythme
seulement, — si ces mots séparés par des suites de points ne lui serv
5
gestes sont gouvernées par la seule logique d’un
rythme
constamment imprévu. Il s’agit moins de comprendre que de s’abandonne
6
i donnent le vertige, et dont soudain se cabre le
rythme
, avant la chute stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-là,
7
ndée de nuit. J’essayais de penser par-dessous le
rythme
obstiné de cette hurlante bousculade sur place qu’est un voyage en ex
8
chez M. Du Bos. Et dans l’allure des phrases, le
rythme
même de sa pensée. Parfois certes, un peu gêné par la lenteur de cert