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une si subtile convenance avec son objet qu’il en
saisit
sans mièvrerie ni vulgarité la grâce un peu trouble et l’insidieuse m
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fond avec l’ombre du monde. Et l’âme peut enfin «
saisir
» dans leur réalité les choses dont elle s’est dégagée et qu’elle voi
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une voix douce et virile ; et quel beau titre ! «
Saisir
» n’est-ce point l’acte essentiel de la poésie ? Toute poésie véritab
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ont Denis de, « [Compte rendu] Jules Supervielle,
Saisir
», Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, juin 1929, p
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er le sol de l’autre talon en changeant de main ;
saisir
la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les épaules
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veau frapper le sol des talons, alternativement ;
saisir
la danseuse, tourbillonner, pousser de grands cris ; tourbillonner en