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de M. de Voguë sur l’âme slave pour deux ou trois
scènes
de La Cité secrète. Pour celle-ci par exemple (caché dans un réduit,
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d mystère. Cependant il aime à raconter certaines
scènes
terrifiantes de la révolution : il a été condamné à mort, il s’est év
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ct dans ces deux premiers tomes, où il décrit des
scènes
de son enfance et de sa jeunesse comme ouvrier. L’art d’Anderson est
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voir.) Je vais cependant dire quelque chose d’une
scène
pittoresque. Mais c’est une autre fois que je l’ai vue, à Pest, lors
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’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en
scène
, qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, on la laisse traîner dans la