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ent, mais d’une telle manière que des conclusions
critiques
s’en dégagent avec évidence. Van Gogh fut une proie du génie. L’homme
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onde par l’Europe intellectuelle. Grand siècle de
critique
pour lequel nos contemporains accumulent les documents. La littératur
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, Indes et Chine sous une dénomination qui n’a de
sens
que par rapport à l’Europe. Il serait vain de tenter un classement pa
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e jugements contradictoires, et de termes dont le
sens
change avec l’échelle de valeurs de l’écrivain. Énumérons pourtant qu
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notation suggestive, telles sont les vertus de sa
critique
. Ce n’est que dans sa discrétion à louer une grande œuvre qu’on trouv
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peine à l’annexer à son propre corps de doctrines
critiques
. Dirai-je pourtant que je crains qu’il n’ait été incité parfois, et p
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ment, tout ce qui semble viable et humain dans la
critique
moderne du romantisme, Vinet l’avait trouvé. Mais sa position puremen
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place ? Nos penseurs, nos écrivains ont perdu le
sens
social. Cela devient frappant dans les générations nouvelles. Toute l
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nce3. Ingénieux équilibres entre la raison et les
sens
, entre le moi et le monde : l’ennui est venu avant l’épuisement des c
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re leur déséquilibre. Il serait temps de faire la
critique
des méthodes et des façons de vivre autant que de penser qui les ont
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s niions toute vérité, nous étions dominés par le
sens
d’une réalité morale absolue que certains d’entre nous eussent acheté
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dernières conséquences suppose qu’on ait perdu le
sens
des ensembles rationnels. Nous ne pensons plus par ensembles7 : sympt
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ecréer une conscience individuelle ; retrouver le
sens
social, le sens des ensembles et des proportions ; rééduquer les inst
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ience individuelle ; retrouver le sens social, le
sens
des ensembles et des proportions ; rééduquer les instincts du corps e
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eu aidée par l’auteur — lui révèlera peu à peu le
sens
divin de la destinée. Ce livre à thèse est plutôt une argumentation à
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e paraît le meilleur de son œuvre : ses récits de
critique
et d’esthétique (Le Coq et l’Arlequin, la Noce massacrée, le Secret p
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ites de cette école, et qu’il eut le tort à notre
sens
de vouloir illustrer de pédants exercices poétiques. Mais quelle inte
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ine chez les jeunes écrivains d’aujourd’hui. La «
critique
philosophique » qu’il voudrait inaugurer « ne se contenterait pas d’é
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lui faire acquérir droit de cité. Voici enfin un
critique
qui sait tirer une leçon constructive des expériences entreprises par
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te couronne une série d’expériences négatives. La
critique
de ces expériences négatives est contenue surtout dans ses essais sur
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intermittences du cœur » dont Fernandez donne une
critique
décisive. Et c’est justement par opposition à la conception proustien
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et le plus impur qui soit. On n’a pas ménagé les
critiques
à cette œuvre. Cela tient surtout à sa forme : il est parfois agaçant
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e inhérent, dans une certaine mesure, au genre de
critique
pratiqué par Fernandez. Périlleuse situation que la sienne, en effet,
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le Chinois s’étonne non sans quelque aigreur, et
critique
avec un mépris tranquille ; le Français riposte sans conviction, et s
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intelligence européenne libre peut souscrire aux
critiques
du Chinois et sympathiser avec son idéal de culture. Il n’y a pas là
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re moi et vous, c’est la guerre. » Voilà pour les
critiques
, « punaises glabres et poux barbus », qui perdraient leur temps à rec
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orains, et qu’il vient appuyer de son autorité de
critique
et surtout de son expérience déjà riche de romancier. Son regard se p
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aujourd’hui un réalisme discret mais précis et le
sens
de ce qu’il y a en nous d’essentiel, de ce qui détermine nos actes av
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s, des histoires dont on ne sait pas la fin ni le
sens
véritable, mais seulement qu’elles ont fait souffrir. Rendez-vous man
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nouvelle » avec une intelligente sympathie et un
sens
rare des directions générales. « Hamlétisme », pouvoir aigu d’analyse
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âtive. Mais il y a dans l’œuvre de René Crevel un
sens
de la douleur et un sérieux humain qui forcent la sympathie. ai. R
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écrivains français un homme qui ait à ce point le
sens
de l’époque, une vision si claire et si tragique de la civilisation d
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e qu’ils possèdent déjà, au moins obscurément, le
sens
des réalités sur lesquelles s’opère l’expérience. On ne prouve la rel
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les favorisent par leurs écrits. Aragon, qui a le
sens
de l’amour, a dit conséquemment beaucoup de choses vraies (belles). I
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ne le croient. Certes il était urgent de faire la
critique
de « cette réalité de premier plan qui nous empêche de bouger », comm
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et moi et Je suis un homme (janvier 1929)ax Le
critique
se sent désarmé et légèrement absurde en face d’un récit comme celui
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qu’il nous propose. Une telle poésie n’offre aux
sens
que peu d’images (à peine quelques « motifs », objets usuels et usés,
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perceptions de l’âme plus que de l’esprit ou des
sens
. « Reste immobile et sache attendre que ton cœur se détache de toi co
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ur le plan philosophique en particulier, où je me
sens
bien plus près de M. Gabriel Marcel, qu’il attaque. (M. Benda trahit
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nre de livres — ils se multiplient — vient, à mon
sens
, de quelque chose qu’ils expriment sans doute inconsciemment et qui n
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lques obsessions sexuelles. Qui viendra rendre le
sens
de l’amour idéal — celui qui transfigure ? Le roman de M. Jullien de
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us réellement dangereuse. On sent bien ici que le
critique
a dominé son sujet. Mais pourquoi se refuse-t-il à tirer de ces remar
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dit-on, un amateur de troubles distingués. Peu de
sens
du réel. Mais nous vous montrerons notre Hongrie, ou tout au moins ce
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t pas à la vertu des noms reste prisonnier de ses
sens
; mais celui-là est véritablement voyageur qui n’a pas renoncé à conv
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ut mon temps, si toutefois perdre conserve ici le
sens
qu’il a pris dans ce monde, — j’entends : leur monde, avec leurs « pr
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e crois et voudrais l’établir plus longuement, le
sens
des poèmes de la maturité de Hölderlin est à chercher dans leur rythm
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lonner, pousser de grands cris ; tourbillonner en
sens
inverse ; frapper des talons toujours plus vite, mains à la nuque, ma
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e son épigramme, jette son petit caillou. Ici, le
sens
des mots et des choses est celui d’un courant musical qui domine l’en
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ssion, et c’est là son miracle. Si tu n’as pas le
sens
de la musique, conserve quelque espoir de t’en tirer. Sinon… je t’env
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t de même a quelque chose de « moderne », dans un
sens
vaste et mystique, elle le doit au charme égyptien du peuple errant q
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ue la ligne est droite. Je ne sais plus dans quel
sens
je roule. J’aime ces heures désorientées ; le sentiment du « non-sens
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tête.) — On ne voyage jamais que dans son propre
sens
! — Mais il faut voyager pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que t
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e sens ! — Mais il faut voyager pour découvrir ce
sens
! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? — Mais il fallait aller
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s’arrêter de penser). Se peut-il qu’on cherche le
sens
de la vie ! Je sais seulement que ma vie a un but. M’approcher de mon
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le livre le plus significatif de son tempérament
critique
. Le style d’abord : on y retrouve, appliqué aux mots, ce même sens à
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abord : on y retrouve, appliqué aux mots, ce même
sens
à la fois scrupuleux et assuré de la qualité, qui est ce qu’avant tou
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défaut qui relève de la nature même d’un esprit «
critique
» dans l’exercice de sa probité ? Défaut combien plus précieux que l’
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érite aujourd’hui l’un des premiers rangs dans la
critique
européenne, l’ampleur du champ qui lui est naturellement nécessaire s
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en profondeur. Il la possède. On peut dire de sa
critique
qu’elle pose le problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je cro
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e par des voies si subtiles qu’il ne doit qu’à un
sens
exceptionnel de l’orientation dans le monde de l’esprit la sécurité d
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qu’elle « approche » : on pourrait l’appeler une
critique
des obstacles. Je veux dire par là que M. Du Bos parvient à recréer c
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créateur. Car une telle conscience appartient au
critique
avant tout, et c’est pourquoi il fait de la critique en présence des
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tique avant tout, et c’est pourquoi il fait de la
critique
en présence des obstacles qu’il rencontre, là où le créateur, supposa
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ifier jamais l’éthique à l’esthétique, et dans ce
sens
chez tant d’autres émoussé, et qu’il exerce avec une intelligence et
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ce et une autorité aujourd’hui sans secondes : le
sens
de la responsabilité de l’écrivain. bk. Rougemont Denis de, « [Com