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aérodrome-gare circulaire, prismes perdus dans le
silence
de l’azur au-dessus des rumeurs de la ville. Puis s’étendent les quar
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enfin Orpha, sa maîtresse, le fuit, parce que son
silence
devient insupportable : « Orpha ne comprenait pas comment on pouvait
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ais qu’on nous laisse chercher plus loin, dans ce
silence
où l’on accède à des objets qui enfin valent le respect. as. Rouge
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n de savoir s’ils vont se taire ou non. Mais leur
silence
ne doit pas entraîner, à leur point de vue, celui d’autrui sur eux-mê
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s l’Ennemi des Lois — son expression amoureuse du
silence
et cet ensemble idéal d’étudiant assidu aux sociétés de musique… » Ba
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petit livre de poèmes est comme une initiation au
silence
. Il faut s’en approcher avec une douceur patiente, et le laisser crée
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douceur patiente, et le laisser créer en nous son
silence
particulier avant d’entendre les signes qu’il nous propose. Une telle
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e l’âme quitte, redevient minéral, statue dans le
silence
« aux yeux gelés de rêverie », il se confond avec l’ombre du monde. E
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Mais le plus émouvant, c’est ici l’approche d’un
silence
partout pressenti, qui s’impose, qui apaise le vain débat de notre es
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iateur d’une miraculeuse et royale Venue. Dans le
silence
de l’adoration comblée, j’en sortirais de ces objets sans nom, inutil
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banquette, quelques bougres isolés produisent en
silence
cette fumée, les yeux à terre, dans l’attente. Nous sommes assis auto
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tout seul, un archiduc. On salue profondément, en
silence
(cliquetis des rangées de décorations sur l’uniforme kaki, et du sabr
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e aux gestes ! Vous voici, longs coups d’ailes en
silence
au-dessus du gouffre. Je vole sur place, mais tout se met à fuir, alo
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un coup la subtilise, ne laissant plus qu’un long
silence
soutenu, comme un appel à la rafale dont l’approche déjà fait grésill
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être n’importe où… évadé ? Mais soudain, c’est au
silence
que je me heurte, comme réveillé dans l’absurdité d’être n’importe où