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rtaine harmonie générale dans le récit et le ton,
surtout
dans la première partie, qui est confuse. Non pas que le roman soit m
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a France interrogeant l’Europe du xviiie prenait
surtout
conscience de son propre génie, l’Europe d’aujourd’hui semble cherche
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ritique de ces expériences négatives est contenue
surtout
dans ses essais sur Proust, Pater et Stendhal. Certes, il était temps
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as ménagé les critiques à cette œuvre. Cela tient
surtout
à sa forme : il est parfois agaçant de pressentir sous l’expression t
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portrait de Montherlant toréador, à 16 ans, c’est
surtout
le Montherlant actuel que l’on sent. C’est dire que le livre vaut par
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mot, ce geste, soient possibles. C’est d’Armande
surtout
qu’on les attendrait, plus franche d’allure. On ne sait ce qui la ret
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u’il vient appuyer de son autorité de critique et
surtout
de son expérience déjà riche de romancier. Son regard se promène sur
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à coups de faits, une discussion d’idées. Il est
surtout
la description d’une angoisse que le nihilisme de M. Malraux veut san
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n en mourant, une fille qui chante et des enfants
surtout
, dès le début, puis plus tard encore, dans les songes des grandes per
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me un être dont on a besoin et en qui l’on chérit
surtout
ce dont on manque : touchantes annexions, pieux mensonges du cœur qui