1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
1 t un peu aigres et les couleurs fluides. Toute la tendresse que ranime un soleil lointain va tourner en cruelle mélancolie. Pourq
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
2 seau, Nerval Musset : mais voyez un Rousseau sans tendresse , un Nerval sans pudeur, un Musset ivre non plus de vin de France, mai
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
3 riez lui plaire, maintenant qu’une si triomphante tendresse vous possède ! Justement, voici Pierre Girard : lui seul connaît l’ad
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
4 parler de sa mère avec cette virile et religieuse tendresse  ? C’est un Chinois, c’est un Américain qui viennent nous rapprendre q
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
5 paraît pas de taille à le concevoir au-delà de sa tendresse pour les adolescents. Ce qui le caractérise le plus fortement, c’est
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
6 es lumières d’avant le soir, — et cette espèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appelle, je crois bien, jeunesse… Je m
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
7 i sait si tu ne l’as pas reçue ? Une qualité, une tendresse , quelque similitude… Oh ! bien peu ! Mais qu’est-ce que ce voyage, si