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treprise bien téméraire de nos jours : un roman à
thèse
aussi intelligent que vivant. d. Rougemont Denis de, « [Compte ren
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eu à peu le sens divin de la destinée. Ce livre à
thèse
est plutôt une argumentation à coups d’exemples vivants qu’un véritab
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nt pour ma part je suis loin d’admettre plusieurs
thèses
beaucoup trop absolues. M. Fernandez tente de prouver par exemple que
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er ? Je ne puis amorcer ici une discussion de ces
thèses
subtiles, d’autant que la position de l’auteur dans cet essai me para
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is presque inhumaine ; secrètement attiré par les
thèses
extrémistes mais non dépourvues d’une sombre grandeur, des surréalist
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s la littérature la plus spirituelle du monde. La
thèse
que défend l’auteur de cet essai — la voyance de Rimbaud — est une de
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part, les lecteurs de cette revue connaissent la
thèse
de la Trahison des Clercs 11, thèse dont la Fin de l’Éternel ne fait
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onnaissent la thèse de la Trahison des Clercs 11,
thèse
dont la Fin de l’Éternel ne fait que reprendre la défense contre ses
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ahit à son tour quand il tire argument contre une
thèse
de M. Marcel de ce qu’elle « mène loin… dans l’ordre moral ». Et quan