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lets par quoi il se raccroche au monde. Mais il a
touché
certains bas-fonds de l’âme où s’éveille un désenchantement qui l’amè
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ton reste si léger, spirituel, fantaisiste (cette
touche
pour peindre un personnage épisodique : « Il confondait la rose et la
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Diane, les gestes d’Arthur, le roman vit et nous
touche
par la force de ce tourment ou de ce sauvage égoïsme ; mais qu’elle s
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es et l’on y voit une préciosité sentimentale qui
touche
à la névrose ou bien simplement une clairvoyance exceptionnelle, suiv