1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
1 uvreté d’un art purement formel. Car c’est ici le tragique de cette mystification : la plupart des surréalistes n’ont rien à dir
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 toire de passion mystique et de crime, intense et tragique comme un couchant d’automne, émouvante encore après tant d’autres, co
3 ouvent valent les meilleurs poèmes de l’auteur de Tragiques et de Vous êtes des hommes. p. Rougemont Denis de, « [Compte rendu
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
4 pris, et peut-être, un quiproquo de destinées… Le tragique du peut-être ; (comme dans l’une des dernières phrases de Sylvie : « 
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
5 i 1927)ai Le jeu de tout dire est une des plus tragiques inventions de l’inquiétude actuelle. Sous couleur de démasquer l’huma
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
6 acile et c’est heureux. » Il y a aussi un certain tragique , mais au filet si acéré qu’on ne sent presque pas sa blessure. Mais c
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
7 t le sens de l’époque, une vision si claire et si tragique de la civilisation d’Occident. Les questions capitales posées ailleur
7 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
8 ertains milieux d’avant-garde une confusion assez tragique , parce qu’elle constitue une tentation pour tous les poètes. Le désir
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
9 effleure un autre problème de non moindre valeur tragique  : le conflit de la jeunesse d’après-guerre et des parents. Encore un
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
10 rlin écrit de nombreux essais philosophiques.) Le tragique de Hölderlin, c’est qu’il parviendra de moins en moins à « réfléchir 
11 ment rare et grandiose que j’appellerais celui du tragique de la pensée. « Insensé, — penses-tu de figure en figure — voir l’âme
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
12 au visage mongol. Il jouait des phrases simples, tragiques , à peine modulées, qui donnent le vertige, et dont soudain se cabre l
13 re moi et Moi qui est la seule réalité absolument tragique … Une chose ? Un être ? L’Objet ? — Est-ce que je dors dans mes pensée