1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
1 issance : notre ambition la plus haute échoue. La tristesse règne sur nos villes. (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
2 masque d’une aimable mélancolie. C’est la sourde tristesse des choses qui vous échappent, des amours impossibles, des histoires
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
3 r le malaise que m’infligent les lieux faciles. Ô tristesse des crèmeries et des jardins ! C’est devant une glace panachée qu’il
4 ur et puis s’en va. Rien, rien à déclarer, quelle tristesse . Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais plus