1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Almanach 1925 (septembre 1925)
1 tre un peu embourgeoisée… Disons plutôt que voici venu le temps de la moisson, — le temps des éditions d’œuvres complètes.
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
2 net de M. Seillière, de ce nouveau chapitre qu’il vient d’ajouter à sa grande étude sur les rapports du christianisme et du r
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
3 nt de fuir l’inquiétude où ils baignent. Celui-ci vient à peine de quitter l’air dur des pampas. « Le voilà qui s’avance, fou
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 les sens, entre le moi et le monde : l’ennui est venu avant l’épuisement des combinaisons possibles. Exaltation méthodique
5 d’une mystique. Et pour finir, l’un des derniers venus , Marcel Arland, — plus jeune, il n’a pas fait la guerre — c’est le mê
6 de penser qui les ont amenés aux positions qu’on vient d’esquisser. Mais on trouve tout dans les livres des jeunes, dites-vo
7 s nous sommes spontanément portés à mentir. On en vient naturellement à considérer un certain immoralisme comme la seule vert
8 tre une foi nouvelle ; mais qu’ils sachent, quand viendra le moment, détourner les yeux de leur recherche pour contempler un ab
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
9 s indices chez ses jeunes contemporains, et qu’il vient appuyer de son autorité de critique et surtout de son expérience déjà
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
10 uine notre angoisse qu’en y substituant ce qui ne vient que de Dieu : la Foi ». Acculée à la rigueur d’un choix presque impos
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
11 r l’acharnement angoissé qu’on y apporte, l’on en vient à une conception de la sincérité qui me paraît proprement inhumaine.
12 ofond de ce roman, où l’on voit comment Pierre en vient à sacrifier Diane, son apaisement, pour Arthur, sa « maladie », c’est
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
13 acances, quand les premières inquiétudes du désir viennent troubler de ravissantes amours d’adolescents. Et c’est Un vieil été.
9 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
14 dresse ? C’est un Chinois, c’est un Américain qui viennent nous rapprendre que les sources de la poésie sont dans notre maison.
10 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
15 nel (novembre 1929)bc Ce n’est plus l’heure de venir prendre position dans un débat où les voix les mieux écoutées ont dit
16 en apparaît que plus pur. « Noms de clowns qui me viennent l’esprit : Julien Benda… », écrit Aragon. Et Daudet nous apprend que
17 u’il fallait attendre de ces auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disputer à M. Benda, c’est son dur amour de la vérité tout court.
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
18 aisons suisses (mars 1930)be Peut-être faut-il venir du Japon pour accueillir du premier regard, dans un matin plein de mo
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
19 érêt de ce genre de livres — ils se multiplient — vient , à mon sens, de quelque chose qu’ils expriment sans doute inconsciemm
20 ue l’abandon à quelques obsessions sexuelles. Qui viendra rendre le sens de l’amour idéal — celui qui transfigure ? Le roman de
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
21 et l’auteur-tabou du surréalisme. M. Pierre-Quint vient d’écrire sur ce poète, qu’on a traité de fou et d’ange, un essai rema
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
22 , cadeau annonciateur d’une miraculeuse et royale Venue . Dans le silence de l’adoration comblée, j’en sortirais de ces objets
23 le, tout de suite : « Mais qui, mais qu’êtes-vous venu chercher jusque chez nous ? » On me demandera donc toujours des passe
24 e Primat, les doigts levés. On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul, un archiduc. On salue profond
25 dans son costume noir et or. Si le comte Bethlen venait à la SDN en tenue de magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa
26 eu roi de Hongrie. Bonjour, citoyens ! Si vous ne venez pas tous vous présenter au roi, vous perdrez la tête. Donné à Bude. L
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
27 bien j’aime ces sœurs des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le noir Duc d’Égypte ; aussi les nomma-t-on gi
28 igány ; mien : cigognes. D’ailleurs ces Égyptiens venaient des Indes, qui nous apportèrent le tarot et la roulotte, dont descend
29 us n’avons qu’au prix de tout ce qu’à Debrecen je viens admirer. On aime les Hongrois comme on aime l’enfance : or le rêve de
30 car aussitôt donnée la phrase, voici qu’une autre vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel vent sonore qui l’étire et
31 vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu viens , tu ne sais où tu vas, peuple de perdition, Peuple inconnu, — mais c’
32 i des sentiers dans les champs de maïs, épiant la venue d’une joie inconnue. Joie d’être n’importe où… évadé ? Mais soudain,
33 au retour. « Il revient de loin » signifie qu’il vient d’être très malade. Si dans ta chambre, en plein jour, tu t’endors, e
34 e » invisible. J’attends, j’appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la main. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout
35 ine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard, en flânant ; je me suis sans doute perdu et pourtant je n