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umont. Puis la vie l’exalte de nouveau d’un large
vent
de joie. a. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Henry de Montherl
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ce livre où l’on voit un homme appeler en vain le
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du large, parmi des gens qui craignent de s’enrhumer. q. Rougemont
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ose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le
vent
. Et dans la Maladère, un arbre coupé découvrant le manoir perdu, des
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ine détachée du flanc de la colline, pour que les
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ne l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nous buvons des vins do
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vants, entre des collines basses grattées par les
vents
, aux arbres rares, mais aux replis si doucement intimes qu’à cette he
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hantent, les moires et l’ondulation des rubans de
vents
chauds sur la plaine, avec des éloignements et des retours, des enrou
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tes choses, cette atmosphère de nomadisme, et ces
vents
vastes ; et cette passion de vivre au-dessus de ses moyens — c’est-à-
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e vient d’ailleurs, entraînée par je ne sais quel
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sonore qui l’étire et l’égare, et l’enroule et d’un coup la subtilise
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on le conserve, au long d’un chemin effacé par le
vent
sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au matin s’élude, — et l