1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 e, c’est une paix que travaillerait le levain des vertus guerrières. « Il faut que la paix, ce soit vivre. » Par tout un livre
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
2 umour léger, notation suggestive, telles sont les vertus de sa critique. Ce n’est que dans sa discrétion à louer une grande œu
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Simone Téry, L’Île des bardes (décembre 1925)
3 mentaires parfois un peu copieux ; mais elle a la vertu de rendre contagieuse la curiosité de l’auteur à l’endroit de cette â
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 stes. Égoïstes avec une profonde conviction ; par vertu . Ce qui n’a rien d’étonnant : ils ne sont que les projections du moi
5 ections du moi de leurs auteurs. Or l’égoïsme est vertu cardinale pour le créateur. Mais quel est ce besoin si général de s’i
6 légitime à leurs yeux, mais « tabou » ; et c’est vertu que de favoriser son expansion. — Mais je trouve en moi ordre et déso
7 et qui consiste à pousser à l’extrême certaines «  vertus  », les pousser jusqu’à l’absurde. Surenchère morale dont le début de
8 n. Ainsi, c’est par humilité qu’on renoncera à la vertu , sous prétexte qu’elle pousse à l’orgueil ; c’est par sincérité qu’on
9 considérer un certain immoralisme comme la seule vertu digne d’une élite. Tel est l’état d’esprit de la plupart de nos jeune
10 intérêt6… » c’est proprement la perversion d’une vertu qui se brûle elle-même. Je ne vais point nier la fécondité psychologi
11 si proche de certain mysticisme. Mais pousser une vertu particulière jusqu’à ses dernières conséquences suppose qu’on ait per
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
12 s. (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre vertu suprême, aussi, est douloureuse : le sacrifice. Sans doute, cette « a
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 même extraordinaire. Celui qui ne croit pas à la vertu des noms reste prisonnier de ses sens ; mais celui-là est véritableme
14 is bien se réfugie dans sa particulière véracité, vertu décevante comme ce qui ne ressemble à rien, gênante comme un cadeau d