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e, c’est une paix que travaillerait le levain des
vertus
guerrières. « Il faut que la paix, ce soit vivre. » Par tout un livre
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umour léger, notation suggestive, telles sont les
vertus
de sa critique. Ce n’est que dans sa discrétion à louer une grande œu
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mentaires parfois un peu copieux ; mais elle a la
vertu
de rendre contagieuse la curiosité de l’auteur à l’endroit de cette â
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stes. Égoïstes avec une profonde conviction ; par
vertu
. Ce qui n’a rien d’étonnant : ils ne sont que les projections du moi
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ections du moi de leurs auteurs. Or l’égoïsme est
vertu
cardinale pour le créateur. Mais quel est ce besoin si général de s’i
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légitime à leurs yeux, mais « tabou » ; et c’est
vertu
que de favoriser son expansion. — Mais je trouve en moi ordre et déso
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et qui consiste à pousser à l’extrême certaines «
vertus
», les pousser jusqu’à l’absurde. Surenchère morale dont le début de
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n. Ainsi, c’est par humilité qu’on renoncera à la
vertu
, sous prétexte qu’elle pousse à l’orgueil ; c’est par sincérité qu’on
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considérer un certain immoralisme comme la seule
vertu
digne d’une élite. Tel est l’état d’esprit de la plupart de nos jeune
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intérêt6… » c’est proprement la perversion d’une
vertu
qui se brûle elle-même. Je ne vais point nier la fécondité psychologi
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si proche de certain mysticisme. Mais pousser une
vertu
particulière jusqu’à ses dernières conséquences suppose qu’on ait per
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s. (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre
vertu
suprême, aussi, est douloureuse : le sacrifice. Sans doute, cette « a
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même extraordinaire. Celui qui ne croit pas à la
vertu
des noms reste prisonnier de ses sens ; mais celui-là est véritableme
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is bien se réfugie dans sa particulière véracité,
vertu
décevante comme ce qui ne ressemble à rien, gênante comme un cadeau d