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e, frappe du pied et repart. Vers quels buts ? On
verra
plus tard. L’urgent c’est d’avancer. Et l’on atteindra peut-être ces
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on parle de cette œuvre : je ne sais s’il faut en
voir
la raison dans la force de la personnalité révélée ou dans la nobless
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sa défense de la poésie pure. Les beautés que j’y
vois
ne me seraient-elles perceptibles que par le fait d’une fortuite coïn
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m’être parfaitement impénétrables. Je crois même
voir
que M. Breton serait un très curieux poète s’il ne s’efforçait de don
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in, des articles sur Valéry, St John Perse. On le
vit
naguère en province liquider des stocks américains. Et ses romans, c’
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eiller, l’entraîne au-delà du but. Le Tarramagnou
voit
son œuvre sabotée par des meneurs ; il tente en vain de ressaisir les
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t-il éluder ainsi le protestantisme de Vinet ? Ne
voit
-il pas que rien n’est plus protestant qu’une telle attitude ? Mais ce
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pées d’un brasier. Pour les causes de l’incendie,
voir
Dostoïevski. M. Walpole, lui, commence son roman quelques mois avant
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commençons aujourd’hui un roman bien différent, a
vu
la Révolution sans romantisme, dans le détail de la vie d’une ville.
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t sauter quelques semaines. Qu’on veuille bien ne
voir
autre chose dans ces « procédés », d’ailleurs assez peu choquants, qu
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, les yeux grands ouverts dans le vide, sans rien
voir
. Ainsi le moujik devant le bolchévique violant sa patrie. Une effroy
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qui le gêne. C’est l’empire. Il le renverse, pour
voir
. Pendant qu’il est encore ébahi du fracas, le juif survient avec une
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de s’incarner, dans le héros de son roman, de se
voir
vivre, dans son œuvre ? C’est ici la conception même de la littératur
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ustement de quoi se glorifient ses tenants, ils y
voient
la suprême liberté. Le désir se précisait en moi de commettre enfin l
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vous, désirs, et d’être vaincu sans bataille. On
voit
assez à quel genre de sophismes conduit ce mouvement de l’esprit qui
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la ne dérive-t-il pas d’une fatigue immense. Nous
voyons
se fausser le rythme des jours et des nuits à mesure que se développe
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la lumière. « Il vaut mieux, dit encore Vinet, ne
voir
d’abord que les grands traits de sa nature, ne connaître que les gran
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sociale des écrivains ? Peut-être. En tout cas je
vois
bien le mal qu’ils ont fait et qu’au fond, leur refus d’agir sur l’ép
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es suffirait à restaurer une élite, efficace. (Je
vois
Jean Prévost, deux ou trois de Philosophies, des Cahiers du Mois, et
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urs, on ne lira pas sans plaisir ce livre où l’on
voit
un homme appeler en vain le vent du large, parmi des gens qui craigne
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arantie des sentiments », où l’on est en droit de
voir
le germe d’un moralisme nouveau qui se fonderait solidement sur les d
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t plus encore que dans les œuvres précédentes, on
voit
beaucoup moins l’œuvre d’art que l’auteur ; dans ce portrait de Month
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e petit livre si dense, si inquiétant. Le Chinois
voit
dans l’Europe « une barbarie attentivement ordonnée, où l’idée de la
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ouveau. J’ai nommé Rousseau, Nerval Musset : mais
voyez
un Rousseau sans tendresse, un Nerval sans pudeur, un Musset ivre non
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bijoux sont taillés comme ceux de Giraudoux, j’y
vois
un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus jeune, lequel envoie l’u
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e certitude trop vite atteinte, où sa jeunesse ne
verrait
qu’une abdication. Il décrit la « génération nouvelle » avec une inte
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… Qu’ils m’oublient, qu’ils me méprisent ! Je les
vois
régner. Je salue leur Loi. » Le récit grassement pittoresque dans la
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u malheur ? Le sujet profond de ce roman, où l’on
voit
comment Pierre en vient à sacrifier Diane, son apaisement, pour Arthu
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Pierre ou de Diane, les gestes d’Arthur, le roman
vit
et nous touche par la force de ce tourment ou de ce sauvage égoïsme ;
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t et mesquin de certain milieu bourgeois, et l’on
voit
bien que l’auteur n’est pas encore détaché de la matière pour en tire
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qu’on en découvre chez certaines femmes et l’on y
voit
une préciosité sentimentale qui touche à la névrose ou bien simplemen
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que tout la poésie, écrit Jaloux, aussitôt que je
vis
Rilke, je compris que cet univers dont je rêvais n’était pas un objet
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is il a des façons parfois bien désobligeantes de
voir
juste. Et quand son bonhomme se plaint de ce que son œuvre lui appara
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s, divertissant et spirituel. Pourquoi ne veut-on
voir
en Jules Verne qu’un précurseur ? Jules Verne est un créateur, dont l
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e fut poète avant tout — et ce livre le fera bien
voir
aux sceptiques. Il a aimé la science parce qu’elle ouvre des perspect
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nt soumis la science à la poésie. Et l’on ne veut
voir
que jolis livres d’étrennes dans les œuvres du plus grand créateur de
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coups d’exemples qui méritent de l’être. Et l’on
voit
bien ici qu’Aragon dépasse ces surréalistes, ces orthodoxes de l’absu
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la politique. Or ces ennemis de toute littérature
voient
leurs avances dédaignées par les communistes, gens d’action à jugemen
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n 1925 nous place au nœud du monde moderne : on y
voit
s’affronter en quelques hommes d’action les forces caractéristiques d
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e ; et par ailleurs ce livre sait bien le laisser
voir
. La qualité de l’illusion dont se nourrit Louis II n’est ni aussi pur
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préciser à l’excès dans le caractère. Daniel-Rops
voit
bien que l’épithète de mythomane n’épuise pas une question dont l’imp
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ue. Il y a dans ce culte de la mythomanie qu’on a
vu
sévir parmi certains milieux d’avant-garde une confusion assez tragiq
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a vie d’un homme de lettres. En réalité, on ne le
voit
pas encore apparaître sous cet aspect dans ces deux premiers tomes, o
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ité les choses dont elle s’est dégagée et qu’elle
voit
dans une autre lumière : « Tout semblait vivre au fond d’un insistant
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e « poétique » français… Mais non, nous préférons
voir
ici l’un de ces signes qui de toutes parts annoncent une rentrée de l
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son mépris pour la révélation évangélique. Je ne
vois
là que l’indice d’une confusion bien française, hélas. ba. Rougemo
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té du lac de Neuchâtel. Mlle Kikou Yamata a su le
voir
aussi « gris et ardent sous le soleil caché », ou bien, en un printem
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de novembre des chamois ». On s’émerveille de le
voir
, dans sa main rapide et minutieuse, décrire la vallée du jeune Rhin o
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trompés. M. Gide déclarait naguère qu’il fallait
voir
en Lautréamont « le maître des écluses pour la littérature de demain
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lier pour ce château sur la rive, ils en ont tant
vu
! Ils aiment mieux me faire honte de mon visage gris ; leurs yeux stu
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es poètes essaient de décrire sans l’avoir jamais
vu
, et dont nous savons seulement que tout y a son écho le plus pur. Le
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e je recherche le chemin du Rozsadomb. « Vous n’y
verrez
, m’avait-on dit, qu’une paire de babouches dans une mosquée vide que
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n’a plus l’idée de visiter. » Mais comment ne pas
voir
qu’un lieu qui porte un nom pareil est par là même extraordinaire. Ce
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nus habentes qui me ressemblent. Au risque de les
voir
trépigner, je continuerai à chercher mon bien de midi à quatorze heur
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nt le plus simple consiste à traduire ce que l’on
voit
. Cette banque à la façade violette, or et bleue, aux grandes lignes v
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nte. Nous sommes assis autour d’une table et nous
voyons
, au milieu de la salle, un arbre de Noël aux amples branches rayonnan
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. Je vais feindre de prendre au sérieux ce que je
vois
. Ruse connue : c’est l’histoire du mot que vous avez sous la langue ;
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quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai
vu
défiler la Chambre des Magnats, le jour de l’élection d’un des quatre
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s, à Freudenau, lors du Derby viennois, je les ai
vus
portant cylindre gris à la terrasse du Jockey-Club. Maintenant dans l
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jourd’hui le chef de file. Des amis m’emmènent le
voir
à Esztergóm, où il passe ses étés. Esztergóm est la plus vieille capi
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s boisées entourées d’une large galerie d’où l’on
voit
le Danube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite ville juste au-
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e ; mythe païen, mais il est bien troublant de le
voir
se mêler, dans la troisième version de ce drame, à des symboles nette
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sée. « Insensé, — penses-tu de figure en figure —
voir
l’âme ? — Tu iras dans les flammes. » Quant aux documents sur la foli
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ignement en nous-mêmes. À l’entrée d’un tunnel tu
vois
que la veilleuse brûle toujours — et moi, parmi les reflets fuyants d
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nse, ils incarnent l’allégresse rythmique. Je les
vois
frapper le sol du talon en levant un bras, la main à la nuque ; frapp
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ière mes paupières, dans ce désordre lumineux, le
verrai
-je naître à mon désir ? Rejoindre ! Mais vous, derrière ma tête, Sans
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ication. Je ne sais ce que disent les paroles. Je
vois
des chevauchées sous le soleil, des campements nocturnes où le souven
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une bonne ou une mauvaise conscience. À Vienne on
voit
des couples qui savent être à la fois cocasses et fades. En Italie… M
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on instabilité rythmique. (Trop souvent ce que je
vois
traverse ce que j’entends.) La plaine hongroise n’est pas monotone, p
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répond-il, j’aimerais bien pouvoir vivre comme je
vis
! » Voici les cigognes, dont Andersen assure qu’elles parlent en égyp
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aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir
vu
ses profondes bibliothèques et son quartier universitaire tout rajeun
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me un pan de la nuit fuyante, un songe où j’ai dû
voir
l’objet pour la première fois — ou bien était-ce un être ? 17. Ins
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aiment à cent à l’heure. Par-dessous le store, je
voyais
la Lune faire des bonds courts sur la plaine inondée de nuit. J’essay
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s titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je
voyais
très bien ce qu’en eussent tiré Sterne ou Goethe, mais, semblable à G
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aune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu
vis
, — c’en est fait, toutes choses ont revêtu cet air inaccoutumé qui si
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faut voyager pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu
vu
que tu n’étais prêt à voir ? — Mais il fallait aller le voir ! La vie
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rir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à
voir
? — Mais il fallait aller le voir ! La vie est presque partout la mêm
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n’étais prêt à voir ? — Mais il fallait aller le
voir
! La vie est presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde
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de voyage ? Cela va paraître improbable. On a dû
voir
sur moi que je le cherche, c’est pourquoi l’œil est implacable… Pas d
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ment qu’aux yeux de ceux qui surent désirer de la
voir
, apparaît la « Loge » invisible. J’attends, j’appelle quelqu’un qui v
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et deviendrait plus probable ? Ou bien n’ai-je su
voir
autre chose que la Hongrie de mes rêves, ma Hongrie intérieure ? Il e
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dont tout le monde se réclame et dont personne ne
vit
… Et certes un tel amour est un amour mineur. Mais qui saura jamais la
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ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le
voir
, ce serait mourir dans la totalité du monde, effacer ta dernière diff
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onde, effacer ta dernière différence, — car on ne
voit
que ce qui est de soi-même, et conscient… C’est à cause d’un pari peu
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iments indéfinis, à cause de ce pari dont tu n’as
vu
l’enjeu qu’un seul instant — nos rêves sont instantanés — que tu es p