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t ces carnages inévitables, avec un bref soupir s’
y
résignent, puis tablent sur eux, et d’autres qui tiennent qu’une tell
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à sa défense de la poésie pure. Les beautés que j’
y
vois ne me seraient-elles perceptibles que par le fait d’une fortuite
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érigent donc en doctrine leur impuissance. « Il n’
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a pas de pensée hors les mots » (Aragon). Aussi se paient-ils de méta
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ommage pour les lettres françaises qui risquent d’
y
perdre au moins deux grands artistes : Aragon, Éluard. Sans oublier B
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romans, c’est aussi une liquidation : les faits s’
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pressent et s’y bousculent ; de temps à autre une notation d’artiste
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ssi une liquidation : les faits s’y pressent et s’
y
bousculent ; de temps à autre une notation d’artiste ou de psychologu
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ns. On n’écrit pas un roman en trois volumes sans
y
laisser des maladresses et des négligences. Mais on ne demande pas no
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ue l’impression qu’il a réussi ce grand roman… Qu’
y
manque-t-il ? Un style ? L’absence de style, n’est-ce pas le meilleur
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nt gréco-latin retournera vers ses sources pour s’
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retremper. Les appels de l’Orient, ce sont les Keyserling, les Guénon
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lmanach du 25e anniversaire. Les révolutionnaires
y
faisaient pourtant bon ménage avec les derniers champions du naturali
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ession de grandeur désolée qu’un Greco. Mais il n’
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a pas les couleurs, ni l’amère volupté des formes. Une sensation de b
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sme l’ont enrichie d’images…). Je cite des noms :
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a-t-il influence ou seulement co-génération ? Pour peu qu’ils sortent
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ogique ne détermine l’avenir le plus proche. Il n’
y
a pas même des forces endormies dans l’âme russe : mais des possibili
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’action, c’est encore pour cultiver leur moi. Ils
y
cherchent un fortifiant, je ne sais quelle excitation, quelle révélat
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udre, une conscience individuelle à recréer. Nous
y
employer, pour l’heure, c’est la seule façon efficace de servir. ⁂ On
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ver son moi, pour l’éprouver et le prémunir, pour
y
découvrir des possibilités neuves, — pour le libérer. Il n’est pas qu
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blèmes modernes en littérature. Jacques Rivière s’
y
appliqua dans un de ses derniers articles2. Il rendait responsable de
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st complu dans son dégoût ; mais jusqu’au point d’
y
percevoir comme un appel du Dieu perdu. Il avoue enfin la cause secrè
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de se laisser glisser que de construire. Et l’on
y
prend vite goût. Cela tourne alors en passion de détruire, en haine
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justement de quoi se glorifient ses tenants, ils
y
voient la suprême liberté. Le désir se précisait en moi de commettre
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ès toute chose, au-delà de toutes limites. « Il n’
y
a que les excès qui méritent notre enthousiasme ». Mais « cette fureu
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qui résiste le mieux à l’analyse. Seulement nous
y
perdons graduellement l’intelligence de nos instincts, la conscience
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dériver vers un Orient d’oubli — (mais avant de s’
y
perdre, quelles révolutions, quelles anarchies, quels Niagaras 9 !)
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aîtres de leurs corps exercés, ils savent qu’il n’
y
a de pensée valable qu’assujettie à son objet, qu’il n’y a de liberté
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pensée valable qu’assujettie à son objet, qu’il n’
y
a de liberté que dans la soumission aux lois naturelles ; et leur eff
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naissance personnelle. Après quoi il écrit : « II
y
a, en fait, deux manières de se connaître, à savoir se concevoir et s
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la condamne plutôt, à cause des confusions qu’il
y
décèle. Le meilleur morceau du livre est l’essai sur Proust et sa thé
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cques Spitz, La Croisière indécise (décembre 1926)
y
L’auteur veut amuser en nous quelques idées graves en leur présent
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charmant, glacé, spirituellement « poétique ».
y
. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Jacques Spitz, La Croisière in
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is et sympathiser avec son idéal de culture. Il n’
y
a pas là deux points de vue irréductibles, du moins M. Malraux a fait
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ns l’armoire aux souvenirs. Cette façon de ne pas
y
tenir, qu’il manifeste en toute occasion de sa vie est peut-être ce q
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es bijoux sont taillés comme ceux de Giraudoux, j’
y
vois un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus jeune, lequel envoi
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andis que l’autre « ne ruine notre angoisse qu’en
y
substituant ce qui ne vient que de Dieu : la Foi ». Acculée à la rigu
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uer l’humain, et par l’acharnement angoissé qu’on
y
apporte, l’on en vient à une conception de la sincérité qui me paraît
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amine. Encore un ? Non, enfin un. Tous les autres
y
ont apporté de secrètes complaisances, ou une arrière-pensée d’apolog
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al » (Calvin). Le tableau n’est pas beau, mais on
y
sent une « patte » qui révèle encore dans le fond quelque chose de so
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veux dire, plus rilkienne que ne fut Rilke. Rilke
y
apparaît comme une de ces âmes mystiques et raffinées telles qu’on en
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s qu’on en découvre chez certaines femmes et l’on
y
voit une préciosité sentimentale qui touche à la névrose ou bien simp
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ales ! Mais il a su mettre plus de choses qu’il n’
y
paraît d’abord dans ces 50 pages. Beaucoup sont excellentes et leur f
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lyriques à leur propos. Mais dans ce roman, il n’
y
a plus seulement la femme, avec le miracle perpétuel de sa sensibilit
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gne, est plutôt d’un mémorialiste. Madame Bibesco
y
montre beaucoup de liberté d’esprit, une pénétration de jugement et u
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cieuses ou poétiques ; et ce n’est pas qu’il ne s’
y
glisse quelque préciosité ou quelques « pointes » faciles mais cela m
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eau. Pour ce coup, voilà qui ne m’empêchera pas d’
y
monter, il suffit que cet obsédant capitaine Nemo soit à bord, je sou
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en 1925 nous place au nœud du monde moderne : on
y
voit s’affronter en quelques hommes d’action les forces caractéristiq
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la démolition, l’organisation et le sabotage. On
y
découvre le jeu des tempéraments qui fait opter ces chefs pour l’une
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is par ces évocations et l’espèce de fièvre qu’il
y
apporte. Mais plusieurs incidents éveillent les soupçons du « petit-b
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t ici descendu plus profond en soi-même ; son art
y
gagne en densité, en émotion. Des mots simples, mais chacun dans sa m
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é. C’est un extrême, un pic trop élevé pour qu’on
y
puisse vivre, c’est l’impossible. Mais justement, la gloire de M. Ben
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en se cantonnant franchement dans ses propriétés,
y
découvre sans cesse de nouvelles sources. Il défriche et il fabrique,
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s roseaux d’une baie ses poules d’eaux noires. Il
y
fallait cette féminité ingénue et précieuse, toujours prête à épouser
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er tout le sensible d’un paysage pour peu qu’elle
y
découvre une secrète parenté de l’âme. Kikou Yamata peint la Suisse a
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es et imitateurs du « comte ». D’autres que lui s’
y
sont trompés. M. Gide déclarait naguère qu’il fallait voir en Lautréa
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jamais vu, et dont nous savons seulement que tout
y
a son écho le plus pur. Le voyage trompe un temps cette angoisse. J’i
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mes regards errant sur une bibliothèque, je crois
y
trouver mon salut : « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, vou
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elles qui sentent encore le Turc. Tandis que nous
y
rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs br
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que je recherche le chemin du Rozsadomb. « Vous n’
y
verrez, m’avait-on dit, qu’une paire de babouches dans une mosquée vi
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opulaire et regardent tristement les lumières. Il
y
en a aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-là ne c
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vrai cadeau. Si le conteur ment, — pendant qu’il
y
est, il ferait mieux de choisir un autre pays que la Hongrie archi-co
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passant par la Hongrie. — Mais puisqu’enfin nous
y
voici, en cette Hongrie… Le tombeau de Gül Baba est symboliquement vi
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vous avez sous la langue ; je vous conseille de n’
y
plus penser quelque temps… Car on ne trouve vraiment que ce qu’on a c
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ucs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’
y
ai vu défiler la Chambre des Magnats, le jour de l’élection d’un des
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llogènes infiltrés dans certaines régions jusqu’à
y
former la majorité. Pourtant, vous les obligeriez à vous répondre que
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ité roumaines ou slovaques, la minorité hongroise
y
comptait cependant pour plus ; elle était seule active et créatrice.
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t des rôles, l’oppresseur devenant l’opprimé sans
y
perdre le sentiment de sa supériorité de race — sa véritable légitimi
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ieille capitale de la Hongrie. Attila, me dit-on,
y
régna. Aujourd’hui c’est la résidence du Prince Primat. Au-dessus du
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i fouille la plaine à la longue-vue et rêve qu’il
y
est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison, un peintre to
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on des passions sont disciples d’Origène. Il doit
y
avoir d’autres solutions… bh. Rougemont Denis de, « Voyage en Hongr
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ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’
y
a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa m
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erre vierge, je veux dire que la bourgeoisie ne s’
y
est pas encore répandue. Il y a peu de bourgeois en Hongrie. Il y a d
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dans des jardins luisants ne m’empêchera pas de m’
y
sentir au bout d’un monde, au bord extrême de l’Europe. Le hasard a v
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bord extrême de l’Europe. Le hasard a voulu que j’
y
entende, un soir, une présentation de musiques hongroises, turques et
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e. Lève-toi, pars, et sans vider ton verre — il n’
y
a pure ivresse que de l’abandon —, car voici qu’à son tour il s’égare
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re. Mais pour connaître un lac, il faut d’abord s’
y
plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en faire le tour, mais v
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oilà qui est affaire de pur caprice, tandis que s’
y
baigner est une règle de savoir-vivre avec la Nature. Lac doré, horiz
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nde Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’
y
suis venu par hasard, en flânant ; je me suis sans doute perdu et pou
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on t’attirait donc ici, sinon l’espoir bien fou d’
y
retrouver l’émotion d’un miracle imminent… ou moins encore : l’image,
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’arrêter à Vienne à cause des serrures… Peut-être
y
passer une nuit — rôder à la recherche de Gérard par les rues noires
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(le laisse aller chez Brahma) ; mais si un homme
y
est satisfait, la Lune le renvoie sur Terre en forme de pluie. » Si j
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e son tempérament critique. Le style d’abord : on
y
retrouve, appliqué aux mots, ce même sens à la fois scrupuleux et ass
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parvient à recréer comme pour son compte, tant il
y
apporte de pressante intuition, les « problèmes » qui contraignirent
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e résoudre ses antinomies (Goethe) ; que si elles
y
échouent, il restera du moins des personnages ! Mais la grandeur d’un