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r et que l’Europe des États absolutistes puis des
États-nations
de type napoléonien, enfin des États totalitaires taxe d’utopie, non
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à influencer si peu que ce soit la politique des
États-nations
n’en apparaît que plus décourageante. La génération suivante, que l’o
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on la plus rapide par un Centre. Aujourd’hui, 160
États-nations
qui l’ont copié siègent à l’ONU. Nous sommes ici en présence d’une ut
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e et Technique préparent donc à la guerre que les
États-nations
appellent, par leur formule même, et souvent consciemment. Dans un pr
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développais ce thème : Regardons maintenant ces
États-nations
unitaires tels qu’ils sont dans leur être et leur agir concret, non p
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du monde […]. Parce qu’ils sont trop petits, les
États-nations
devraient se fédérer à l’échelle continentale ; et parce qu’ils sont
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ion plus détaillée des déficits accumulés par les
États-nations
européens et dont l’addition devrait suffire à les déclarer en failli
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Dans l’état actuel de division de l’Europe en 30
États-nations
souverains qui, pour mieux affirmer leur souveraineté, refusent de se
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aute d’institutions communes de type fédéral, nos
États-nations
, retranchés dans leurs souverainetés nationales, ne pourront échapper
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et qui sont la fédération européennne au-delà des
États-nations
et l’autonomie des régions à l’intérieur des frontières étatiques — e
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de position soit pour l’Europe « impossible » des
États-nations
, soit pour l’Europe vitalement nécessaire de la souveraineté fédérale
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unies d’Europe : le blocage institutionnel dû aux
États-nations
est dépassé des deux côtés ; des régions politiquement adultes, une E
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hands et des technocrates ». « La prééminence des
États-nations
est un frein au développement des régions de l’Europe. » Signe des te
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là ce que ne peuvent se permettre d’envisager nos
États-nations
, parvenus non sans peine à ce qu’ils considèrent comme leur « souvera
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fient difficilement, s’agissant d’un groupement d’
États-nations
qui ne représente, par ses statuts et sa vocation spécifique, que les
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tions en train de voir la guerre des nations, des
États-nations
, se préparer ; les totalitaires, qu’ils soient de gauche ou de droite
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e sa liberté parce que, dans ce monde immense des
États-nations
, il perd sa responsabilité. Il ne peut plus être un citoyen libre et
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nent tous de la même cause, car dans le monde des
États-nations
, dans ce monde dont le seul but est la puissance, on oublie l’essenti
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ous ne sommes pas faits pour vivre dans de grands
États-nations
centralisés, sous la direction de l’État et de ses fonctionnaires. No
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es peuvent intervenir pour contrôler la folie des
États-nations
, des industries, qui veulent tout de suite tirer des milliards de déc
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n véritable. Si on veut être mangé à la sauce des
États-nations
, on ne s’unira jamais. Regardez les difficultés actuelles dans le Mar