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s de montrer sérieusement soit les raisons de son
échec
relatif, soit en quoi et pourquoi l’institution aurait fait faillite
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nous pouvions espérer, il y a dix ans, lors de l’
échec
du référendum gaullien. Rappelons d’abord que l’Allemagne fédérale a
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n Espagne, Italie, Belgique, Grande-Bretagne, ses
échecs
pathétiques en Corse et en Bretagne. Je constate qu’il nous mène inex
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taire des ouvriers de l’été 1980. Il semble que l’
échec
final de la Réforme en Pologne ait été le fait des luttes entre luthé
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ier article qui provoqua la colère de Pie II et l’
échec
du Plan de Podiebrad. Deux siècles plus tard, exactement, l’idée sera
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dans la revue Europe (1/2 1984) au lendemain de l’
échec
d’Athènes : Les citoyens ne peuvent comprendre que les États membres
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uerre, la peur et la misère n’auront été mises en
échec
par un plus formidable adversaire. Entre ce grand péril et cette gran
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ité, ces derniers temps — et surtout depuis les «
échecs
» subis par la CEE à Athènes et à Bruxelles — le mot un peu désabusé
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ent du souci culturel au sein de la CEE après les
échecs
subis dans son domaine propre, qui est l’économique. Car on sent bien