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n commence par définir les termes d’un débat, ici
Écologie
et Politique. Nous savons tous la vanité de ces définitions : trop fa
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a malveillance. La définition la plus facile de l’
écologie
, et donc la plus courante, consiste à dire que c’est « une mode », ou
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que d’écologistes ! » (Je l’ai lu hier encore.) L’
Écologie
serait « une douce manie de rousseauistes épris d’idylle et entretena
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rnement russe. En ce point, l’on s’aperçoit que l’
écologie
n’est pas jugée sur son mérite, mais sur les visées politiques qu’ell
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n est contre, on fait de la politique. En fait, l’
écologie
est un terme créé par le biologiste Ernst Haeckel en 1882, au moment
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sse, répond ce terme, qui passe alors inaperçu, d’
écologie
, désignant les « rapports des êtres vivants avec leur milieu naturel
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des êtres vivants avec leur milieu naturel ». «
Écologie
» va reparaître après la Deuxième Guerre mondiale, signifiant alors b
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s HLM, etc. Aux yeux des politiciens de droite, l’
écologie
est un complot contre « la société existante », aux yeux des politici
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hénomène dans son ensemble, c’est très simple : l’
Écologie
est une réaction de défense (peut-être de rejet) contre la civilisati
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la Nature et en elle19. 3. Plutôt donc que de l’
écologie
comme science, nous considérons ici le souci écologique, qui s’est ma
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ue nous sommes ici en présence d’une révolte de l’
écologie
contre l’économie (ou de la volonté de vivre contre la volonté de pro
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éaction contre l’agression industrielle s’appelle
Écologie
. La réaction contre l’agression stato-nationale s’appelle région. Voi
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es. a) C’est au niveau régional que les mesures d’
écologie
concrètes peuvent et doivent être élaborées et appliquées : rivières,
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« label écologiste »… i. Rougemont Denis de, «
Écologie
, régions, Europe fédérée : même avenir », Cadmos, Genève, printemps 1