1 extremis de la révolution de 1956, qui a fait ses études en Suisse et professé dans une grande université américaine avant de

2 en de la culture, puis l’Institut universitaire d’ études européennes. Culture littéraire et politique, qui comprend à la fois,

3 no-alpine, étudiée par l’Institut universitaire d’ études européennes de Genève, engloberait la Suisse romande, la Franche-Comt

4 s studii et scientiarum, groupant la totalité des études et des sciences. Quant aux communes politiques ou économiques, elles

5 e, flamande, anglaise, picarde, etc. La durée des études varie entre quatre ans pour obtenir le grade de bachelier, huit ans p

6 t l’on se plaint aujourd’hui de l’allongement des études  !) Les règlements, les us et les coutumes, varient très largement d’u

7 ents d’indianisme, de sinologie, d’islamologie, d’ études des civilisations tropicales, africaines, indaméricaines, etc. Il n’e

8 économiques. Ce qui nous manque encore, c’est une étude quasi ethnographique des caractères spécifiques de notre civilisation

9 st pas telle religion, telle opinion, tel genre d’ études , c’est le culte de la vérité qui les réunit. Tantôt, comme les mineur

10 ducation sera négligée : il ne peut commencer des études latines qu’à 16 ans. Il va étudier la théologie en Allemagne, revient

11 Par ailleurs, on donne une liste de 32 volumes ou études développées consacrées à Comenius, entre 1881 et 1957. On ne saurait

12 d écrit que le problème dont Bodin nous propose l’ étude est « ce que nous appelons l’État, à savoir la nation organisée » (p.

13 aux pages précédentes de l’ouvrage. En réalité, l’ étude de Jean Bodin est bel et bien celle de la souveraineté, de « la puiss

14 propositions défendues dans toute la suite de nos études sur l’Europe et les régions 84 et dans L’Avenir est notre affaire .

15 ctes du colloque de l’Association des instituts d’ études européennes, Genève, 1975 ; « Les politiques régionales en Europe » :

16 ctes du colloque de l’Association des instituts d’ études européennes, 1982, Genève, sous presse. s. Rougemont Denis de, « Ch

17 nos colloques, ou en créant des instituts pour l’ étude de la culture européenne, a été de glorifier la culture européenne de

18 c Raymond Silva, secrétaire général du « Bureau d’ études pour un centre européen de la culture » né, lui aussi, du congrès de

19 n, et l’historien Arnold Toynbee.w Des groupes d’ études prirent la suite de cette table ronde, à Strasbourg, en mars 1956, ch

20 tion culturelle (CDCC) auquel on doit de fécondes études sur l’éducation et la propagation des études européennes dans les éco

21 ndes études sur l’éducation et la propagation des études européennes dans les écoles aux trois degrés. Mais en suivant le Guid

22 nt à quelque session ultérieure. Je lis pas mal d’ études sur la CEE de Bruxelles et ses problèmes. Je suis de près les activit

23 écédent dans l’histoire de l’Europe. L’ensemble d’ études politiques auquel j’apporte ici ma note philosophique, c’est-à-dire d

24 . Je n’ai plus fait que ça depuis lors. Après ses études universitaires en lettres et philosophie, Denis de Rougemont est part

25 46. Il donne des cours à l’École libre des hautes études , puis entre à l’Office of War Information, où il devint le principal

26 hargé de rédiger. Il ouvre à Genève un « Bureau d’ études  » chargé d’organiser la Conférence européenne de la culture qui se ti