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par le fait dominant du xve siècle : la chute de
Byzance
, qui a précédé de cinq ans l’élection d’Æneas Sylvius au pontificat.
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s de l’être européen, selon qu’il a été formé par
Byzance
à l’Est ou par Rome à l’Ouest, et plus tard, brochant sur l’héritage
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de Rome, par Wittenberg ou par Genève. Au binôme
Byzance
à l’Est, Rome à l’Ouest, jusqu’à 1453, répond dès le xvie le binôme
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la seigneurie de Venise, pour résister au Turc. (
Byzance
est tombée quatre ans plus tôt.) L’ouvrage est offert en 1463 à Louis
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le, de ce que Pie II, au lendemain de la chute de
Byzance
, sera le premier à nommer « l’Europe, notre patrie » : la conscience
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fait une communication trop modestement intitulée
Byzance
, ville d’art, et nous a projeté ensuite une série de diapositives d’u
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la différence de l’Europe morcelée du Moyen Âge,
Byzance
est restée une monarchie centralisée où les doctrines politiques de l
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entale. Ce qui, selon vous, définit l’héritage de
Byzance
est devenu, de toute évidence, celui de la Russie, non seulement au M
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enait en majorité de l’Asie centrale, mais pas de
Byzance
, il s’agit donc d’une transmission purement culturelle comme on dit a