1 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
1 par le fait dominant du xve siècle : la chute de Byzance , qui a précédé de cinq ans l’élection d’Æneas Sylvius au pontificat.
2 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
2 s de l’être européen, selon qu’il a été formé par Byzance à l’Est ou par Rome à l’Ouest, et plus tard, brochant sur l’héritage
3 de Rome, par Wittenberg ou par Genève. Au binôme Byzance à l’Est, Rome à l’Ouest, jusqu’à 1453, répond dès le xvie le binôme
4 la seigneurie de Venise, pour résister au Turc. ( Byzance est tombée quatre ans plus tôt.) L’ouvrage est offert en 1463 à Louis
3 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
5 le, de ce que Pie II, au lendemain de la chute de Byzance , sera le premier à nommer « l’Europe, notre patrie » : la conscience
4 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Conclusions (été-automne 1984)
6 fait une communication trop modestement intitulée Byzance , ville d’art, et nous a projeté ensuite une série de diapositives d’u
7 la différence de l’Europe morcelée du Moyen Âge, Byzance est restée une monarchie centralisée où les doctrines politiques de l
8 entale. Ce qui, selon vous, définit l’héritage de Byzance est devenu, de toute évidence, celui de la Russie, non seulement au M
9 enait en majorité de l’Asie centrale, mais pas de Byzance , il s’agit donc d’une transmission purement culturelle comme on dit a