1 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
1 d, mais aussi l’Europe des régions vilipendée par M. Debré , cependant que J. Chirac départageait… Oui, « pour parler d’Europe,
2 Mitterrand, entre ces deux-là et Marchais, entre Debré et Giscard, ou Lecanuet et Chirac, l’Europe ne serait même pas mentio
3 i va traiter des vrais problèmes ? S’avance alors M. Michel Debré . III. Sur un « livre infâme » Depuis trente ans, M. Debré a bea
4 II. Sur un « livre infâme » Depuis trente ans, M. Debré a beaucoup parlé de l’Europe, il a même écrit un ouvrage proposant de
5 sa vraie nature de « complot contre la France ». M. Debré est fermement persuadé que les fédéralistes européens ne pensent qu’à
6 sérieux les propos de l’ancien Premier ministre.) M. Debré poursuit : « Son dernier livre est dédicacé (sic) à tous les peuples
7 plus, comme tout serait simple ! » On notera que M. Debré n’a pas cité le titre du livre qu’il se borne à désigner comme mon « 
8 ignifiant ». Mais il est clair qu’il y avait chez Debré tout autre chose que l’intention d’insulter un auteur mal pensant : c
9 nts) la Bretagne, l’Occitanie, la Provence, etc., Debré et ses amis s’imaginent, c’est normal, que l’Europe va faire de même
10 29. 14. Nous citons ici les notes du discours de M. Debré , distribuées aux journalistes lors du congrès du RPR à Paris, le 12 n
2 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
11 orges Pompidou à Jacques Chirac et de Lipkowski à Debré , ils n’ont cessé de clamer, depuis dix ans, leur rejet indigné des ré
12 e que les principaux ténors de la doctrine — dont M. Debré est le plus souvent et le plus volontiers cité par Jouve — n’ont cess
3 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
13  ». On croirait entendre Marchais… ou Chirac ; ou Debré … aujourd’hui78. Le terme de « Souveraineté » évoquait sous l’Ancien R
14 ies. » (Discours de Bourges, 8 mai 1979). Le même Debré écrit encore : « Ou bien la nation française existe une et souveraine