1 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
1 l’Europe qui ne soit pas l’Europe française. Pour Michel Debré , les choses sont simples, insupportablement simples, comme elles le s
2 lisme donc, ne cesse d’être utopique, aux yeux de Michel Debré , que lorsqu’il révèle ou plutôt trahit sa vraie nature de « complot c
3 ssuraient que « L’Avenir, c’est notre affaire ! » Michel Debré ne pouvait tout de même pas leur révéler que ce titre était celui d’u
4 eligions abrahamiques.) Quelle est la religion de Michel Debré  ? C’est celle de la France déifiée, de la Puissance divine, donc sans
5 la victime d’une Europe fédérée, si l’on en croit Michel Debré . La réponse est gênante. Pour lui. La France des jacobins et de Napol
6 Le Nouvel Observateur, 13 novembre 1978. 12. Cf. Michel Debré , Projet de Pacte pour une Union d’États européens, Éd. Nagel. Paris,
7 Le Figaro , 19 novembre 1978. 18. Cf. Lettré de Michel Debré , n° 14, octobre 1978. h. Rougemont Denis de, « La chronique europée
2 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
8 te ». Bruère était le pseudonyme de résistance de Michel Debré . À qui se fier ? IV. De Gaulle et les régions S’il est un sujet
3 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
9 ministre, haut-commissaire à l’énergie atomique, Michel Debré , sénateur, membre du Mouvement européen, Jean Sarrailh, recteur de l’
4 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
10 ins l’union de l’Europe : ils nous répètent comme Michel Debré qu’un « bon Européen » est celui qui — comme eux — « veut, en fonctio
11 . » Jacquier était le pseudonyme de Résistance de Michel Debré . 79. D. de Rougemont, passim ; Ferdinand Kinsky, L’Europe en formati