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l’Europe qui ne soit pas l’Europe française. Pour
Michel Debré
, les choses sont simples, insupportablement simples, comme elles le s
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lisme donc, ne cesse d’être utopique, aux yeux de
Michel Debré
, que lorsqu’il révèle ou plutôt trahit sa vraie nature de « complot c
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ssuraient que « L’Avenir, c’est notre affaire ! »
Michel Debré
ne pouvait tout de même pas leur révéler que ce titre était celui d’u
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eligions abrahamiques.) Quelle est la religion de
Michel Debré
? C’est celle de la France déifiée, de la Puissance divine, donc sans
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la victime d’une Europe fédérée, si l’on en croit
Michel Debré
. La réponse est gênante. Pour lui. La France des jacobins et de Napol
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Le Nouvel Observateur, 13 novembre 1978. 12. Cf.
Michel Debré
, Projet de Pacte pour une Union d’États européens, Éd. Nagel. Paris,
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Le Figaro , 19 novembre 1978. 18. Cf. Lettré de
Michel Debré
, n° 14, octobre 1978. h. Rougemont Denis de, « La chronique europée