1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
1 e ronde de l’Europe que je présidai à Rome puis à Strasbourg , en 1954 je croise. Légèrement agacé par les déclarations des délégué
2 1980, Cadmos, articles (1978–1986). L’Université par l’Europe et vice versa (hiver 1979)
2 » Je viens de citer Georges Gusdorf, professeur à Strasbourg et son petit livre admirable, L’Université en question 42 dont je déd
3 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Chronique européenne : La préparation des élections européennes (printemps 1984)
3 es peuples et des régions au sein du Parlement de Strasbourg  ; — l’adoption de l’ECU comme monnaie commune utilisable par tous ; —
4 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
4 ent prises ici. Et il ajoutait un peu plus tard à Strasbourg , devant le Parlement européen : « Lorsqu’en mai 1948, trois ans exact
5 le congrès de La Haye, s’ouvrit le 10 août 1949 à Strasbourg . Faute d’un siège propre qui ne devait être inauguré que l’année suiv
6 je suis le directeur désigné, nous débarquions à Strasbourg en août 1949, pour la première session de l’Assemblée consultative du
7 r l’Assemblée ; d’un projet de nouveau Serment de Strasbourg lancé par un manifeste de Daniel Villey ; du Conseil de vigilance qui
8 de l’Assemblée du CE ; et enfin de la Marche sur Strasbourg , qui fit converger sur le Palais de l’Europe 6000 jeunes gens venus d
9 st à vous de l’élaborer. Cet été, en septembre, à Strasbourg […]. Si vous me dites que c’est prématuré, je vous supplierai de décl
10 dant qu’il en est temps. Cet été, en septembre, à Strasbourg . Dans les Lettres que je viens de citer, qui firent du bruit88, j
11 Constitution fédérale. 2. Le nouveau Serment de Strasbourg . Pendant l’entracte d’un concert donné pour l’Assemblée dans la cour
12 er d’un projet mystérieux de nouveau « serment de Strasbourg  ». Je ne sais pas encore de quoi il s’agit, mais des députés m’averti
13 de Paume » européen, par lequel les « délégués à Strasbourg  » s’engageraient à rester en session jusqu’à ce qu’une Constitution f
14  ? Si les délégués des peuples européens réunis à Strasbourg ne font pas l’Europe cette année, qu’y seront-ils donc venus faire, s
15 ope ? Seul un acte révolutionnaire des délégués à Strasbourg peut réveiller la volonté de vivre dans notre Europe aujourd’hui para
16 re de ses populations. Il faut que les délégués à Strasbourg rompent avec leur ordre du jour et avec leur statut, qu’ils renouvell
17 les par voie de référendum. Un premier serment de Strasbourg , en 842, a préludé au partage de l’Europe entre les fils de Charlemag
18 s approuvera et les soutiendra […]. Nous sommes à Strasbourg un groupe qui avec des moyens sérieux tente de lancer et de pousser l
19 mon journal : « Le document peut-être capital de Strasbourg est écrit. Dodo. » Le 24 août : « À 11 h, Carlo Schmid, Retinger et d
20 l contestataire. Tous les fédéralistes présents à Strasbourg en ce mois de novembre 1950, et beaucoup de jeunes, mais aussi des re
21 quel les députés vigilants jureraient de siéger à Strasbourg aussi longtemps qu’il le faudrait pour faire voter par l’Assemblée la
22 nserait de prendre les risques. 4. La Marche sur Strasbourg . Mais l’odyssée des 6000 jeunes venus de toute l’Europe en autocars à
23 , mise au point de ce qu’il appelle la Marche sur Strasbourg , idée qui lui est venue et que nous discutons en déjeunant avec Brugm
24 Silva. Je l’y encourage vivement. » Nous sommes à Strasbourg de nouveau, Silva, Dadelsen et moi le 17 novembre, pour assister à tr
25 . Aujourd’hui, nous voici six-mille accourus vers Strasbourg de tous les horizons du continent. Sortis des milieux sociaux les plu
26 issement d’une Constitution fédérale. Délégués de Strasbourg , dès que vous aurez eu le courage de cet acte simple, vous sentirez m
27 is surtout, ce que je retiens de cette Marche sur Strasbourg , c’est qu’elle serait aujourd’hui simplement impensable : ils exigera
28 tion européenne que nous avions en vain espéré de Strasbourg . Mais il naquit d’une décision prise, à Luxembourg, par les ministres
29 antissant à la base. L’Assemblée ad hoc, réunie à Strasbourg au Palais de l’Europe, adopta le 10 mars 1953 le « projet de traité p
30 d’études prirent la suite de cette table ronde, à Strasbourg , en mars 1956, chargés de tirer les conclusions des travaux de Rome.
31 ns plutôt le prudent idéal de certains délégués à Strasbourg  : l’enlèvement d’Europe par un escargot. Avouons que les choses ont
32 notes de mon journal datées de ce séjour d’août à Strasbourg . Le premier jour, 21 août, à l’université, L. Benvenuti, député itali
33 eu, les séances de l’Assemblée ad hoc se tenant à Strasbourg , au Palais de l’Europe, et le jeu des ministres des Six passant inape