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tus et vices selon la religion nationaliste L’
adjectif
m’a d’abord fait penser au mot de Talleyrand : « tout ce qui est exag
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’abord : — dans « le beau nom de totalitaire », l’
adjectif
« beau » est de Lévy, non de moi, et cela change le sens du passage ;
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ut-être l’usage courant et si souvent abusif de l’
adjectif
national qui fait le mieux sentir la nécessité impitoyable de ces con
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est une tradition d’« humanisme laïque » (d’où l’
adjectif
« séculaire », tandis que l’humanisme religieux est deux fois milléna
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s libre et responsable, les deux termes, les deux
adjectifs
étant absolument liés. Je n’en ai jamais démordu, de cette théorie-là