1 ue du terme, mais bien du christianisme et de son anthropologie , c’est-à-dire du modèle de la personne. À l’anthropologie évangélique

2 logie, c’est-à-dire du modèle de la personne. À l’ anthropologie évangélique, paulinienne et conciliaire, Lévi-Strauss avec une belle

3 s réserve cette position du problème. Pour moi, l’ anthropologie évangélique est tout simplement la christologie — je vais dire pourqu

4 Eddington vers « la mort tiède de l’univers ». L’ anthropologie évangélique et paulinienne a été la première à parler de la « mort de

5 d’Aquin, par Calvin, et il domine encore toute l’ anthropologie chrétienne. Rejoignant le sujet de ce colloque, je voudrais rappeler

6 ocial et dans le Gouvernement de la Pologne). Une anthropologie personnaliste conduit donc à l’Europe des régions fédérées. Je pense