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ènes, Rome et Jérusalem, bien sûr, mais aussi les
apports
germaniques, celtiques, plus tard arabes, et enfin slaves, partout ag
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e suis ou non… À vrai dire, ce que je connais des
apports
de l’Est, ce qu’ils sont pour moi — au sens où esse est percipi (être
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si leurs gardiens ! p. Rougemont Denis de, « L’
apport
culturel de l’Europe de l’Est », Cadmos, Genève, printemps 1981, p. 1