1 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
1 pauvre gentilhomme tchèque qui s’est battu avec l’ armée des hussites, est élu roi de Bohême en 1457 — l’année même où Æneas S
2 d’une procédure d’arbitrage international ; d’une armée commune et d’une assistance mutuelle « sans même qu’il l’ait requise
2 1981, Cadmos, articles (1978–1986). Un falsificateur vu de près (été 1981)
3 se ; et moi, officier à l’état-major général de l’ armée suisse, organisant en juin 1940 le premier mouvement de résistance à
3 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
4 de l’État, selon Chaunu, sont les finances et les armées . « Entre 1600 et 1760, l’État classique voit ses moyens accrus dans u
5 mment. » Voilà pour les finances. Et voici pour l’ armée  : « Entre 1600 et 1760, les armées de l’Europe classique quintuplent
6 Et voici pour l’armée : « Entre 1600 et 1760, les armées de l’Europe classique quintuplent en nombre, connaissent une multipli
7 . » Certes, le coût des armes décuple, mais « les armées renforcent la cohésion des États et sont un facteur décisif de progrè
8 s une uniformisation sans cesse plus marquée de l’ armée . Ce puissant instrument de la force de l’État a contribué un peu part
9 les premières et dernières justifications de ces armées dont on vient d’exalter les bienfaits ? Soyons sérieux. La première d
10 lorifie cette identification de la nation et de l’ armée  : « La conscription est le palladium de notre indépendance, parce que
11 indépendance, parce que mettant la nation dans l’ armée et l’armée dans la nation, elle fournit à la défense des ressources i
12 ce, parce que mettant la nation dans l’armée et l’ armée dans la nation, elle fournit à la défense des ressources inépuisables
13 pensées par l’apport du très gros client qu’est l’ armée , et par la protection de la police, si généreusement accordée contre
14 ministration d’abord, non du commerce ; puis de l’ armée , non de la culture, et moins encore de ce qu’on nommera tourisme au x
15 age de l’Afrique entre les « Puissances ». École, Armée , Presse et Technique préparent donc à la guerre que les États-nations
16 ie Bonaparte, avait commandé l’arrière-garde de l’ armée de Paoli, battue par les Français, avant de se rallier aux vainqueurs
4 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
17 uine à bref délai, les trois-cents divisions de l’ Armée rouge […]. Messieurs les députés européens, je vous salue d’un vœu qu
5 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
18 e mobilisé en Suisse où j’étais lieutenant dans l’ armée . J’étais d’abord en campagne dans mon canton de Neuchâtel, puis je fu
19 appelé à Berne à l’état-major, dans la section «  Armée et foyer », qui s’occupait des liaisons entre l’armée et la populatio
20 e et foyer », qui s’occupait des liaisons entre l’ armée et la population et aussi du moral des troupes. Je m’y suis senti à l
21 à l’époque. Finalement le chef de la Justice de l’ armée a déclaré que je ne tombais sous le coup d’aucune loi militaire, qu’i
22 ne punition personnelle, ce que seul le chef de l’ armée a le droit de faire. Cela m’a été annoncé par un gros colonel bernois
23 e qu’elle comptait des membres clandestins dans l’ armée . Si bien que quand la Fondation Pro Helvetia a proposé que j’aille en
24 s’agit d’un livre qui s’appelle La France et son armée . » L’auteur s’appelait le colonel de Gaulle. Alors j’ai répondu par u