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ajors des partis est la suivante : l’élection à l’
assemblée
européenne verra-t-elle ou non la confirmation de la poussée socialis
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usse « qui a rédigé le projet d’élection de cette
assemblée
au suffrage universel », mais il réitère ses conseils de prudence, en
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mporte d’abord d’étendre les compétences de cette
assemblée
. C’est précisément ce que le communiqué de Bad-Godesberg a décidé, et
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disent les Anglais, « il est ridicule d’avoir des
assemblées
pour les Écossais et pour les Gallois, et non pour les régions anglai
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tive, et nous l’avions voulue législative ; cette
assemblée
était formée de délégués représentant les parlements, non pas de dépu
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l’université qui conduit à la salle où se tient l’
assemblée
, le premier rencontré se trouve être Coudenhove-Kalergi, que je n’ava
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pitre de « délégué » à l’ouverture de la première
assemblée
de 1950. Voici quelques extraits de ces Lettres , qui en diront plus
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initiative, si bien conduite par les membres des
assemblées
et si bien tuée par les représentants des souverainetés nationales —
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le tout, ni de législatif digne du nom, mais deux
assemblées
sans nuls liens et dont les vœux n’ont guère de poids au regard des i
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’Europe unie pour faire élire en 1979 la première
assemblée
européenne de la CEE, bientôt appelée — par excès d’optimisme — le Pa
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de. D’ailleurs, Bidault vous a déjà cité hier à l’
assemblée
. » Maurice Schumann : « Vos lettres, mon cher, je les sais par cœur !