1 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Contribution à une recherche éventuelle sur les sources de la notion d’engagement de l’écrivain (printemps 1978)
1 hiques, politiques et sociales que la poésie de l’ avenir aura à assumer, Lamartine esquisse, dès 1837, le portrait d’un poète
2 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
2 ssimisme des sages au sujet de l’Europe et de son avenir , va-t-il se nourrir aux mêmes sources dont les colonialistes puis les
3 lointain ni dans le temps des origines, ni dans l’ avenir , l’image fantasmatique d’un bon sauvage ou d’un homme régénéré. Il s’
3 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
4 milliers d’affiches bleu foncé assuraient que « L’ Avenir , c’est notre affaire ! » Michel Debré ne pouvait tout de même pas leu
5 ns sa dernière Lettre mensuelle, il concède que l’ avenir du Monde en l’an 2000, et même l’avenir de l’Europe puissent intéress
6 ède que l’avenir du Monde en l’an 2000, et même l’ avenir de l’Europe puissent intéresser VGE. Mais c’est pour souligner aussit
7 GE. Mais c’est pour souligner aussitôt que seul l’ avenir de la France de l’an 2000 importe véritablement : car celui du Monde
8 lques mois auparavant, affichait dans Paris : « L’ Avenir est votre affaire », pour annoncer son colloque « d’expérimentateurs
4 1979, Cadmos, articles (1978–1986). Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (printemps 1979)
9 Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir (printemps 1979)i Nous ne sommes pas réunis pour ébaucher un progr
10 ée des « réussites » d’hier et l’aménagement de l’ avenir désirable — expression qui définit une politique, traduisant des impé
11 . Je n’ai pas dit : même combat, mais bien : même avenir . Un combat peut être perdu et c’est fini. Un avenir adviendra certain
12 enir. Un combat peut être perdu et c’est fini. Un avenir adviendra certainement. Ce qu’il m’importait de souligner, c’est que
13 xigeantes ne peut se réaliser seule ; c’est que l’ avenir de chacune d’elle est celui des deux autres, et qu’en cette trinité r
14 is de, « Écologie, régions, Europe fédérée : même avenir  », Cadmos, Genève, printemps 1979, p. 5-12. j. Préciser de quel col
5 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
15 sons les plus raisonnables de faire confiance à l’ avenir européen. Je le montrerai par quelques preuves chiffrées. Et je ferai
16 core cette description proprement déchirante de l’ avenir de la France dans une Europe unie : Nous risquons de voir sous nos y
17 histoire, qui est le seul plan qui me concerne, l’ avenir dira que j’ai été renversé sur un projet qui était essentiel pour le
18 tion du pays sur la participation essentielle à l’ avenir de la France. » (p. 53) Nos lecteurs savent assez à quel point, pour
19 emplaire, et la meilleure annonciatrice du proche avenir européen. Contre toute attente des sceptiques et des réalistes du res
6 1980, Cadmos, articles (1978–1986). L’Université par l’Europe et vice versa (hiver 1979)
20 i est la formule de notre grand passé et de notre avenir fédératif, le seul possible. L’Europe, c’est très peu de chose plus u
7 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Utopie, technique, État-nation (printemps 1980)
21 de Campanella, de Fourier, est projection dans un avenir et dans un espace donnés d’un modèle déduit d’aujourd’hui si ce n’est
22 de l’Esprit toujours instant, dynamisme pur de l’ avenir et du futurum aeternum ; du dieu qui vient sans fin vers nous — Dieu
8 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)
23 rit. L’homme n’entreprend jamais qu’à partir de l’ avenir . Sa liberté est toujours en avant. Tout cela se lit ou se relit en f
9 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
24 seules capables, à l’évidence, d’ouvrir un nouvel avenir , et qui sont la fédération européennne au-delà des États-nations et l
25 erne les prédécesseurs de Louis XIV. 71. Voir L’ Avenir est notre affaire , 1977, et plus anciennement Vingt-huit siècles d’
26 re est repris des pages 101 à 110 de mon livre L’ Avenir est notre affaire , paru en 1977. 75. Le titre de sa revue qui parut
10 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Chronique européenne : La préparation des élections européennes (printemps 1984)
27 études sur l’Europe et les régions 84 et dans L’ Avenir est notre affaire . « Jeunes giscardiens » : on se croirait à droite.
11 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
28 lic, suprême chance de la paix et gage d’un grand avenir pour cette génération et celles qui la suivront. L’ovation qui suivi
29 d’essayer de sauver ce qui s’en va, au prix de l’ avenir de ce qui est. La question n’est pas de renoncer à des souverainetés
30 ésumer celui de tous nos peuples aux écoutes de l’ avenir , un vœu mêlé d’angoisse et d’espérance : méritez votre nom, faites-vo
31 Pour tous ceux qui avaient mis leur espoir dans l’ avenir du Conseil de l’Europe, il y avait là un très sérieux avertissement.
32 ens encore par les espoirs qu’ils mettent dans un avenir d’union qui traduirait en libertés proprement politiques les principe
33 ciper à la définition des choix qui déterminent l’ avenir  » — je pense notamment au choix du nucléaire civil et militaire, que
12 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
34 ébutant. Voilà pour mon engagement européen. Quel avenir  ? Denis de Rougemont nous laisse un dernier livre : L’Avenir est not
35 is de Rougemont nous laisse un dernier livre : L’ Avenir est notre affaire , un livre courageux, percutant, critiquant violemm
36 voir pour fin l’homme ; c’est à nous d’inventer l’ avenir  », nous confiant que l’œuvre à laquelle il est attelé avec passion au
37 ue des finalités. Une œuvre presque achevée. Quel avenir , Monsieur de Rougemont ? Je dirais que le premier problème, c’est d’é