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hiques, politiques et sociales que la poésie de l’
avenir
aura à assumer, Lamartine esquisse, dès 1837, le portrait d’un poète
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ssimisme des sages au sujet de l’Europe et de son
avenir
, va-t-il se nourrir aux mêmes sources dont les colonialistes puis les
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lointain ni dans le temps des origines, ni dans l’
avenir
, l’image fantasmatique d’un bon sauvage ou d’un homme régénéré. Il s’
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milliers d’affiches bleu foncé assuraient que « L’
Avenir
, c’est notre affaire ! » Michel Debré ne pouvait tout de même pas leu
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ns sa dernière Lettre mensuelle, il concède que l’
avenir
du Monde en l’an 2000, et même l’avenir de l’Europe puissent intéress
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ède que l’avenir du Monde en l’an 2000, et même l’
avenir
de l’Europe puissent intéresser VGE. Mais c’est pour souligner aussit
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GE. Mais c’est pour souligner aussitôt que seul l’
avenir
de la France de l’an 2000 importe véritablement : car celui du Monde
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lques mois auparavant, affichait dans Paris : « L’
Avenir
est votre affaire », pour annoncer son colloque « d’expérimentateurs
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Écologie, régions, Europe fédérée : même
avenir
(printemps 1979)i Nous ne sommes pas réunis pour ébaucher un progr
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ée des « réussites » d’hier et l’aménagement de l’
avenir
désirable — expression qui définit une politique, traduisant des impé
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. Je n’ai pas dit : même combat, mais bien : même
avenir
. Un combat peut être perdu et c’est fini. Un avenir adviendra certain
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enir. Un combat peut être perdu et c’est fini. Un
avenir
adviendra certainement. Ce qu’il m’importait de souligner, c’est que
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xigeantes ne peut se réaliser seule ; c’est que l’
avenir
de chacune d’elle est celui des deux autres, et qu’en cette trinité r
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is de, « Écologie, régions, Europe fédérée : même
avenir
», Cadmos, Genève, printemps 1979, p. 5-12. j. Préciser de quel col
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sons les plus raisonnables de faire confiance à l’
avenir
européen. Je le montrerai par quelques preuves chiffrées. Et je ferai
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core cette description proprement déchirante de l’
avenir
de la France dans une Europe unie : Nous risquons de voir sous nos y
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histoire, qui est le seul plan qui me concerne, l’
avenir
dira que j’ai été renversé sur un projet qui était essentiel pour le
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tion du pays sur la participation essentielle à l’
avenir
de la France. » (p. 53) Nos lecteurs savent assez à quel point, pour
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emplaire, et la meilleure annonciatrice du proche
avenir
européen. Contre toute attente des sceptiques et des réalistes du res
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i est la formule de notre grand passé et de notre
avenir
fédératif, le seul possible. L’Europe, c’est très peu de chose plus u
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de Campanella, de Fourier, est projection dans un
avenir
et dans un espace donnés d’un modèle déduit d’aujourd’hui si ce n’est
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de l’Esprit toujours instant, dynamisme pur de l’
avenir
et du futurum aeternum ; du dieu qui vient sans fin vers nous — Dieu
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rit. L’homme n’entreprend jamais qu’à partir de l’
avenir
. Sa liberté est toujours en avant. Tout cela se lit ou se relit en f
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seules capables, à l’évidence, d’ouvrir un nouvel
avenir
, et qui sont la fédération européennne au-delà des États-nations et l
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erne les prédécesseurs de Louis XIV. 71. Voir L’
Avenir
est notre affaire , 1977, et plus anciennement Vingt-huit siècles d’
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re est repris des pages 101 à 110 de mon livre L’
Avenir
est notre affaire , paru en 1977. 75. Le titre de sa revue qui parut
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études sur l’Europe et les régions 84 et dans L’
Avenir
est notre affaire . « Jeunes giscardiens » : on se croirait à droite.
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lic, suprême chance de la paix et gage d’un grand
avenir
pour cette génération et celles qui la suivront. L’ovation qui suivi
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d’essayer de sauver ce qui s’en va, au prix de l’
avenir
de ce qui est. La question n’est pas de renoncer à des souverainetés
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ésumer celui de tous nos peuples aux écoutes de l’
avenir
, un vœu mêlé d’angoisse et d’espérance : méritez votre nom, faites-vo
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Pour tous ceux qui avaient mis leur espoir dans l’
avenir
du Conseil de l’Europe, il y avait là un très sérieux avertissement.
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ens encore par les espoirs qu’ils mettent dans un
avenir
d’union qui traduirait en libertés proprement politiques les principe
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ciper à la définition des choix qui déterminent l’
avenir
» — je pense notamment au choix du nucléaire civil et militaire, que
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ébutant. Voilà pour mon engagement européen. Quel
avenir
? Denis de Rougemont nous laisse un dernier livre : L’Avenir est not
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is de Rougemont nous laisse un dernier livre : L’
Avenir
est notre affaire , un livre courageux, percutant, critiquant violemm
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voir pour fin l’homme ; c’est à nous d’inventer l’
avenir
», nous confiant que l’œuvre à laquelle il est attelé avec passion au
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ue des finalités. Une œuvre presque achevée. Quel
avenir
, Monsieur de Rougemont ? Je dirais que le premier problème, c’est d’é