1
olution française. Leur anticapitalisme n’est pas
celui
de la Troisième Internationale. Toutefois, la doctrine marxiste, en d
2
e unité que l’État, et plus d’autres réalités que
celles
qui concernent la moitié inférieure de l’homme. (Pour le cœur et la t
3
a dialectique joyeuse de la personne en acte. Que
celui
qui s’engage dans leur lecture éprouve de tout son être la présence d
4
tons-nous plus un seul maître ? Ce serait oublier
ceux
qui nous ont appris à nous méfier des maîtres. Je viens de nommer Nie
5
mier, substitua délibérément la notion de style à
celle
de correction dans les démarches de l’esprit. Il faudrait en nommer q
6
se de soutenir son grand lyrisme ; Rimbaud enfin,
celui
de la Saison, étreignant la « réalité rugueuse »… « Et allons !… » —
7
. Ce n’est pas passer de l’esclavage d’une mode à
celui
d’une tactique politique. Ce n’est pas du tout devenir esclave d’une
8
ions II que le sort de la littérature était lié à
celui
de la classe ouvrière, écrit p. 316 du même volume : Rien ne nous as
9
fut commune, dans les années 1930 de ce siècle, à
ceux
qui allaient devenir dès 1940 non seulement les premiers résistants,
10
plus loin : « Le sort de la littérature est lié à
celui
de la classe ouvrière » (p. 277). 4. André Reszler, L’Intellectuel c
11
pçon ! L’éloge séculaire du bon sauvage conduit à
celui
du primitivisme dans les arts — de Gauguin aux masques nègres, aux De
12
e les domaines français, allemand et anglo-saxon,
celui
de l’Europe de l’Est, et qui a nourri deux ouvrages marquants sur les
13
bord je voudrais commenter quelques thèses, parmi
celles
qui m’ont retenu, éclairé, ou qui me paraissent plutôt appeler des ob
14
e et d’un Spengler ; à quoi l’on pourrait ajouter
celui
d’un Gobineau, précurseur du Paul Valéry toujours cité sur la mortali
15
, n’est-il tout simplement que le pompier ? Voire
celui
qui entend faire passer le prestige de son État-nation avant toute vé
16
, que je veux opposer au schéma de l’État-nation,
celui
que toute la terre copie au xxe siècle. Et je ne cesserai de dresser
17
e. Et je ne cesserai de dresser cette image comme
celle
du modèle directeur de la vraie tradition européenne, la seule qui pu
18
ique. La véritable anti-Europe ne serait-elle pas
celle
des nationalistes de droite et de gauche qui dénoncent comme utopie o
19
que Lévi-Strauss exprime dans sa Pensée sauvage :
celui
« de réintégrer la culture dans la nature » et finalement la vie dans
20
é empirique livré au déterminisme biologique et à
celui
du péché. Un exemplaire de l’espèce, un individu. Et l’homme nouveau
21
lle. Descartes (évidemment pour cette raison) : «
Celui
qui ne croit pas en Dieu ne peut pas faire de physique ». À toutes le
22
personne se dissout dans les grandes dimensions,
celles
des villes millionnaires par exemple. Mais pour qu’on n’étouffe pas d
23
ort les Européens d’aujourd’hui n’est pas d’abord
celle
de l’économie et du libre-échange commercial, mais bien celle des cha
24
conomie et du libre-échange commercial, mais bien
celle
des chances de la vie, c’est-à-dire des chances de la paix et du main
25
nationale. S’agirait-il enfin de l’Europe réelle,
celle
des Européens vivants, de leurs cultures et de leurs espoirs ? Mais a
26
du que cette chronique parlera de l’Europe vécue,
celle
des Européens, non des États, celle des citoyens, non des fonctionnai
27
Europe vécue, celle des Européens, non des États,
celle
des citoyens, non des fonctionnaires, celle des problèmes vitaux de t
28
tats, celle des citoyens, non des fonctionnaires,
celle
des problèmes vitaux de tous les habitants de notre « cap de l’Asie »
29
de notre « cap de l’Asie », non pas seulement de
ceux
des neuf pays dont les gouvernements se sont associés à Bruxelles en
30
tout de même pas leur révéler que ce titre était
celui
d’un livre « infâme ». IV. Vertus et vices selon la religion natio
31
.) Quelle est la religion de Michel Debré ? C’est
celle
de la France déifiée, de la Puissance divine, donc sans limites, et d
32
a France de l’an 2000 importe véritablement : car
celui
du Monde en dépend18. De cette religion simple, les vertus sont naïve
33
ersités nationales (entendez : stato-nationales),
celles
-là mêmes qui ont uniformisé dans leur sein les diversités régio-natio
34
es lois de l’augmentation matérielle indéfinie et
celles
de la croissance naturelle, autoréglée, entre l’exploitation forcenée
35
ibuer une brochure sur les centrales nucléaires :
celles
-ci, bien sûr, sont « nécessaires », elles sont « sûres », elles sont
36
qu’ils ont d’ailleurs inventé. C’est le souci de
ceux
qui ont déchaîné la Dénature contre la Nature. De ceux qui ont invent
37
qui ont déchaîné la Dénature contre la Nature. De
ceux
qui ont inventé et produit une civilisation qui tend à détruire du mê
38
nos États nationaux — si lié que soit leur sort à
celui
de la croissance industrielle — se sont vus contraints de créer des m
39
ntes, les plus pittoresques, les plus explosives,
celles
aussi dont la cause paraît la plus facile à défendre. Il y a les régi
40
seule ; c’est que l’avenir de chacune d’elle est
celui
des deux autres, et qu’en cette trinité réside l’espoir des Européens
41
es Neuf sont de jeunes nations. L’on comprend que
celles
-ci soient moins attachées à leur identité que nous ne le sommes. Un
42
. Quelques exemples, entre plusieurs centaines de
ceux
que cite Edmond Jouve dans ses deux énormes volumes sur Le Général de
43
âme » et « criminelle ». On sait que le thème est
celui
qui nous a le plus constamment requis et préoccupés ici même, comme e
44
ux de l’Histoire le précurseur de l’ère nouvelle,
celle
des régions. Il gagnait sur tous les tableaux, en perdant son référen
45
nifestait quelquefois une certaine satisfaction :
celle
d’avoir « réussi son départ ». Il disait par exemple : « J’ai pris la
46
s ». Ce qui situe le problème à son niveau réel :
celui
de la communauté civique plus qu’ethnique. L’évolution de l’Espagne v
47
et des Mickiewicz, jusqu’aux admirables appels de
celui
qui fut sans doute le plus grand lyrique de l’idéal d’union européenn
48
ie des relations entre la culture et l’Europe est
celle
des penseurs politiques imaginatifs. Elle va du roi de Bohême Georges
49
gel, dont l’européocentrisme ne le cède en rien à
celui
de Hegel ; puis à leur suite, Auguste Comte, qui attribue à l’Europe
50
ante. La génération suivante, que l’on a baptisée
celle
des « non-conformistes des années 1930 », celle des jeunes mouvements
51
e celle des « non-conformistes des années 1930 »,
celle
des jeunes mouvements personnalistes français, anglais, belges, holla
52
contres internationales de Genève » est justement
celui
de l’Esprit européen. Un an plus tard, le problème politique numéro u
53
ls européens » est resté nul, sinon même négatif.
Ceux
qui étaient engagés là n’ont pas été remplacés, que je sache, par des
54
es, qu’on peut attendre d’un intellectuel engagé.
Ceux
qui viennent appuyer la cause de la fédération européenne ne sont pas
55
la cause de la fédération européenne ne sont pas
ceux
qui se prévalent de la supériorité culturelle de l’Europe ; mais, au
56
rité culturelle de l’Europe ; mais, au contraire,
ceux
qui reconnaissent que l’Europe porte la plus lourde responsabilité da
57
e lui montrer un autre modèle de civilisation que
celui
de la croissance industrielle conduisant à la guerre atomique, export
58
ès. Les vrais Européens d’aujourd’hui ne sont pas
ceux
qui recommandent qu’on « tire à vue » sur eux dès qu’ils se présenten
59
qu’ils se présentent en Afrique, mais bien plutôt
ceux
qui proposent, avec Barbara Ward et René Dubos, que nous prenions con
60
». Et que le seul problème sérieux du siècle est
celui
de son aménagement. Et que l’Europe seule peut en offrir le modèle, s
61
et ne dépendent ni des pouvoirs de la ville ni de
ceux
de l’Évêque, ni même du Roi, mais ne relèvent que du pape, garant de
62
Université, à partir du déclin du Moyen Âge, sera
celle
d’une longue décadence, aussi nommée nationalisation de l’enseignemen
63
és de Pavie, de Pise et de Padoue ; en Allemagne,
celles
de Göttingen et d’Iéna ; en Espagne, celle de Salamanque ; en Anglete
64
agne, celles de Göttingen et d’Iéna ; en Espagne,
celle
de Salamanque ; en Angleterre, celle d’Oxford ; chez les Turcs, le co
65
en Espagne, celle de Salamanque ; en Angleterre,
celle
d’Oxford ; chez les Turcs, le corps des Ulémas. Ces corps, étant les
66
rande partie du xixe siècle et sera remplacé par
celui
de « Facultés », qui implique l’abandon de toute intention d’interdis
67
sur les parties, et la vertu totalisante qui est
celle
qu’on doit atteindre d’une universitas studii est définitivement évac
68
s universités européennes sont donc les mêmes que
celles
dont dépendent le sauvetage de notre environnement, et celui de notre
69
dépendent le sauvetage de notre environnement, et
celui
de notre économie, la restauration du civisme, la paix elle-même : UE
70
de nos facultés classiques. Voici quelques-uns de
ceux
que, pour ma part, je serais heureux de pouvoir étudier et discuter,
71
ques exemples : — hindouisme : le vrai spirituel,
celui
à qui rien n’appartient, n’appartient plus à rien. Il est le Réalisé,
72
aire, qui sera la fin de l’histoire — du moins de
celle
des civilisations. Contre l’État-nation, expression implacable et pro
73
orale au-dessus de tous les intérêts, fussent-ils
ceux
de la Nation, de l’État, ou même des Sciences. 1. L’esprit européen
74
i le vœu qu’elle se réalise, sous le patronage de
celle
qui en eût été l’inspiratrice et la présidente idéale, Germaine de St
75
tradition centrale de la philosophie européenne :
celle
qui d’Héraclite à Nicolas de Cuse, en passant par Abélard, fonde le r
76
é, à épouser et prolonger cette tradition qui est
celle
de la vitalité de la culture occidentale, et qui conduit en tous doma
77
s Napoléon. (Lecture des journaux interdite, sauf
celle
du Moniteur, obligatoire.) Rien de plus étranger non plus à l’ambitio
78
e qui se développe naturellement dans l’esprit de
celui
qui vit sur un autre sol et respire un autre air ; on se trouvera don
79
r dans ce genre, l’hospitalité fait la fortune de
celui
qui reçoit.48 Ceci encore, dans l’essai sur les traductions : Il n
80
bien ? Le mot de nation serait alors synonyme de
celui
de légion que s’attribue le démon dans l’Évangile52 ». À cette affirm
81
on des idées est, de tous les genres de commerce,
celui
dont les avantages sont les plus certains » — et comme Goethe l’a dit
82
et dont elle dit qu’il est de tous les sentiments
celui
qui rend le plus heureux, parce « qu’il réunit plus qu’aucun autre to
83
milles de la noblesse, de la Schlachta, annonçait
celui
du roi lui-même, Sigismond Auguste, époux d’une Radziwill calviniste,
84
errain du dogme, comme on s’y attendait, mais sur
celui
de l’organisation de l’Europe, ce qui est plus surprenant. Et il oppo
85
eption plus dramatique, plus urgente que n’en ont
ceux
de l’Ouest. L’ouvrage commence par une lamentation sur la misère du t
86
que de Comenius : L’idée centrale est sans doute
celle
de la nature formatrice qui, en se reflétant dans l’esprit humain grâ
87
ui fut et qui est encore, plus qu’on ne le croit,
celle
des grands penseurs de l’Est. Il y a là, de la part de l’opinion dans
88
à l’Est, je vais vous donner un émouvant exemple,
celui
d’Adam Mickiewicz (1789-1855). Né en Pologne alors russe, dans une de
89
cessé d’appeler à son aide l’Europe des peuples —
celle
des gouvernements se bornant à le bannir d’un pays à l’autre du conti
90
me de poème, dans laquelle il élève la plainte de
ceux
de l’Est que l’Ouest abandonne, — le cri prophétique des victimes d’u
91
laire et la clef de voûte de l’édifice futur ; et
celui
sur qui elle tombera, elle l’écrasera et celui qui se heurtera contre
92
et celui sur qui elle tombera, elle l’écrasera et
celui
qui se heurtera contre elle, il tombera et ne se relèvera point. Et d
93
, de dénoncer comme fascistes et nazis bien moins
ceux
qui s’avouèrent tels et l’affichèrent, que ceux qui furent vilipendés
94
s ceux qui s’avouèrent tels et l’affichèrent, que
ceux
qui furent vilipendés, condamnés et emprisonnés pour avoir combattu,
95
par l’auteur. Faute de temps, je m’en tiendrai à
ceux
que je connais le mieux, qui sont les miens, leur exemple valant pour
96
urgences toujours possibles. À ce danger s’ajoute
celui
de la stérilité d’un effort de « dénonciation » qui, au lieu de nous
97
tre, insulte la mémoire et dénature les œuvres de
ceux
qui l’ont combattu les premiers, au face à face, quand il paraissait
98
e contraire de ce qu’il veut y lire aujourd’hui ;
celles
qui sont correctement transcrites ne sont pas de moi ; et deux sont d
99
ération de faillis, de maudits, de réprouvés […],
celle
des années 1930 »59 (op. cit., p. 17), B.-H. Lévy cite en premier lie
100
sait en termes historiques bien définis : c’était
celui
de « la destruction des tyrannies racistes et collectivistes au nom d
101
itions. En fin de numéro, deux notes intitulées «
Ceux
qui ont commencé » émanaient l’une de Mounier (E. M.) sur les mouveme
102
ocrate ; mais c’est la vieille gauche aussi bien,
celle
de Barbusse et de Rolland, qui chante les « cuisses dures d’une dicta
103
uble cadre que leur offrait l’héritage du passé :
celui
de l’Action française où on lutta courageusement contre la démocratie
104
ompromis avec une conception païenne de la cité ;
celui
du Sillon, [où on compromet] des forces généreuses dans de vagues com
105
rand nombre et nous voulons la force personnelle,
celle
que donne la vérité. Notre mesure commune ne sera pas collective, ext
106
’entrecroisent, se chevauchent, se répondent. Là,
ceux
de droite, tenus par leurs sombres thuriféraires, bien connus, les Dr
107
indiscutables et précis dans l’acquiescement que
ceux
qu’il a cités d’Aron et Dandieu, de Mounier ou de moi, textes destiné
108
Esprit . « Mon témoignage sera, si tu veux bien,
celui
d’un jeune français qui a éprouvé sur place la force actuellement iné
109
habitude d’appeler « génération des années 1930 »
celle
qui lança dès 1932 les revues Esprit et L’Ordre nouveau . Cf la th
110
us en plus la langue savante de l’enseignement et
celle
de la liturgie, ainsi que la langue des relations entre « nationalité
111
» : ce rejet de la suprématie de l’empereur et de
celle
du pape, symboles de la christianitas — qui est alors le seul nom de
112
que le concept de nation, qui sert ici à définir
celui
d’État, n’ait fait l’objet d’aucune définition aux pages précédentes
113
En réalité, l’étude de Jean Bodin est bel et bien
celle
de la souveraineté, de « la puissance absolue et perpétuelle d’une ré
114
nt le mieux qu’on puisse dire est « bon peuple »,
celui
qui croit un peu n’importe quoi. Les nations, pour Bossuet, sont « fi
115
profit éventuel, avec l’argent des contribuables,
ceux
qui constituent la nation, et qui n’en ont jamais touché en retour un
116
procuration, selon le scénario qui sera plus tard
celui
de la guerre civile d’Espagne, puis des guerres de Corée, du Vietnam,
117
s d’une catastrophe globale sont plus grandes que
celles
de la paix. Mais nul calcul n’est garanti contre l’erreur quand des f
118
ope, et dans des déclarations plus récentes comme
celle
de Daniel Bell aux USA : « Les gouvernements sont aujourd’hui trop pe
119
. » Il doit respecter la loi de Nature autant que
celles
de Dieu. Enfin, il est lié par ses devoirs envers le peuple qui obéit
120
ap. 8) que l’État ne connaît d’autres limites que
celles
que lui imposent dans le fait la pluralité des États et l’absurde égo
121
ent comme Michel Debré qu’un « bon Européen » est
celui
qui — comme eux — « veut, en fonction d’une réalité fondamentale qui
122
t, en fonction d’une réalité fondamentale qui est
celle
des nations, faire l’Europe des États, l’Europe des patries. » (Disco
123
monde hellénique ait résulté « de l’incapacité de
ceux
à qui la tâche incombait de dépasser l’obstacle de la souveraineté de
124
continentale. Et il compare cette situation avec
celle
de l’Europe au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale : Le princip
125
les citoyens d’un État-nation sont orgueilleux et
ceux
d’une fédération solidaires, mais signifie simplement, objectivement,
126
les « vertus » de la colonne II sont chrétiennes,
celles
de la colonne I idolâtres. 68. Le franco-provençal, parfois appelé
127
un enjeu de nature avant tout nationale… C’est à
celui
qui promet d’être le plus exigeant avec la CEE dans l’intérêt stricte
128
j’avais accepté une tâche absolument impossible,
celle
de résumer un colloque comme celui-ci où le plus important ne saurait
129
s diverses des gouvernements et de leurs experts,
celles
de certaines littératures, pas toutes, mais enfin il y en a beaucoup
130
on nationale comprenant deux espèces de membres :
ceux
qui sont désignés comme « des personnes libres », c’est presque incro
131
monde et où tout le monde peut parler, mais c’est
celui
qui crie le plus fort qui vend le mieux sa marchandise. Il y aura cer
132
st. Il nous a surtout recommandé, et plusieurs de
ceux
que je viens de nommer ont insisté là-dessus, de nous occuper surtout
133
entre la vie sociale et culturelle byzantine, et
celle
de l’Europe occidentale. Ce qui, selon vous, définit l’héritage de By
134
éritage de Byzance est devenu, de toute évidence,
celui
de la Russie, non seulement au Moyen Âge, mais après la révolution d’
135
téraires parfois violentes, parfois comparables à
celles
que Nivat soulignait chez ce qu’on a appelé les dissidents russes — n
136
ature paysanne, à la littérature terrienne, comme
celle
de Ramuz qui s’est fait une langue qu’il voulait absolument purifiée
137
seule, n’est pas la plus centrale du monde, mais
celle
qui doit donner, par ses diversités mêmes et par sa nécessité d’intég
138
és Il existe deux manières d’être responsable.
Celle
de l’homme d’État au pouvoir, dont la charge est de saisir et de crée
139
itique — dans notre cas, l’union de l’Europe — et
celle
de l’homme de pensée militante, qui exige que les moyens préconisés s
140
tante, qui exige que les moyens préconisés soient
ceux
du but et non du seul pouvoir à conserver. Celle qui répond de la pol
141
t ceux du but et non du seul pouvoir à conserver.
Celle
qui répond de la politique des États, et celle qui en réfère aux fins
142
r. Celle qui répond de la politique des États, et
celle
qui en réfère aux fins de l’homme. Je parlerai ici, après les chefs d
143
d’unir ses peuples selon leur vrai génie, qui est
celui
de la diversité, et dans les conditions du xxe siècle, qui sont cell
144
, et dans les conditions du xxe siècle, qui sont
celles
de la communauté, afin d’ouvrir au monde la voie qu’il cherche, la vo
145
ent. Sur cette union, l’Europe joue son destin et
celui
de la paix du monde. Soit donc notoire à tous que nous, Européens, ra
146
t gage d’un grand avenir pour cette génération et
celles
qui la suivront. L’ovation qui suivit la lecture du Message marqua l
147
t, Léon Maccas, délégué grec : « Je salue en vous
celui
dont l’idée se réalise ici ! » (Ce qui est légèrement excessif : je n
148
pas fait, mais par deux ou trois décisions, dont
celle
du baron Haussmann corrigée d’un coup de crayon par Napoléon III. — L
149
s une minute à perdre. — Tout est prématuré, pour
celui
qui ne veut rien. — Chi va piano perd la Corée. — La prudence est le
150
éens, je vous salue d’un vœu qui voudrait résumer
celui
de tous nos peuples aux écoutes de l’avenir, un vœu mêlé d’angoisse e
151
congrès de La Haye) que je voudrais combiner avec
celui
du Serment à récrire cette nuit. Dès minuit, avec Jean-Paul de Dadels
152
l’Europe Les trois années qui suivirent furent
celles
des conclusions, lentement dégagées par l’histoire, des impasses et c
153
contenues dans le statut du Conseil de l’Europe —
celles
-là mêmes qui avaient motivé la grande protestation de l’année cinquan
154
n’est proprement qu’un « exécutif » comparable à
celui
que prévoit le projet de Communauté européenne. La quadrature du cer
155
onales — qui avaient pris soin de lier son sort à
celui
de la CED, comme on vient de le rappeler — devait à son origine d’êtr
156
tes, mais en même temps il s’en allait. Pour tous
ceux
qui avaient mis leur espoir dans l’avenir du Conseil de l’Europe, il
157
ées 1950, faute d’avoir résolu le vrai problème :
celui
de ses finalités politiques au sens large, le Conseil de l’Europe va
158
vu la CEE soutenir discrètement des congrès comme
celui
, tout récent, de Venise, et celui qui se prépare pour l’automne à Rom
159
s congrès comme celui, tout récent, de Venise, et
celui
qui se prépare pour l’automne à Rome. Il y a là des réactions de comp
160
roblème européen à partir de ses données de base,
celles
qui permettent d’embrasser l’unité millénaire des 21 pays de l’Ouest
161
est le domaine politique au sens large, incluant
celui
des droits de l’homme. Mais là s’arrête la comparaison avec l’éveil r
162
e conscience plus impérieuse des vraies urgences,
celles
qu’aggrave aujourd’hui l’appel du but trop souvent différé : l’union
163
, aujourd’hui, je n’aurais pas perdu mon temps ni
celui
de mes lecteurs. P.-S. — Je lis dans le numéro de janvier 1985 du F
164
existent pour l’homme ? Eh bien, tout simplement
celui
de perdre toute liberté, en tant que sujet maître de soi, de perdre s
165
ure, sans aucune finalité, sans aucune règle sauf
celle
de vaincre, de tuer le plus possible d’hommes ou de gagner le plus po
166
u ennuyeuse ou vivre une vie catastrophique comme
celle
qu’on est en train de fabriquer, le choix est fait. Il est facile. D’
167
faisante de Dieu qui ait jamais été donnée, c’est
celle
de saint Jean : « Dieu est amour. » Évidemment ce n’est pas l’amour s
168
aut restaurer : je pense à la région où j’habite,
celle
du lac Léman. Il y a une région lémanique qui est naturelle, dont les
169
nous sommes, à Genève, dans le canton de Vaud et
celui
du Valais, ont des intérêts communs. De tout ce qui concerne les prob
170
s réaliser sous une forme beaucoup plus vaste que
celle
de notre Centre européen de la culture, ce qui me permettrait de me r
171
s Européens, s’ils s’unissent tous, non seulement
ceux
de l’Ouest, mais ceux de l’Est, Russes exclus, savez-vous combien ils
172
nissent tous, non seulement ceux de l’Ouest, mais
ceux
de l’Est, Russes exclus, savez-vous combien ils seraient ? 535 millio
173
vant sa mort. Jean Monnet était l’exemple type de
ceux
qui voulaient baser l’Europe sur l’économie. Lorsqu’il me parlait un