1
b, je tiens à renouveler mes responsabilités dans
cette
affaire, et à débrouiller ce que les journalistes, suivis par la crit
2
[…] Je me défends en attaquant. Je préfère porter
cette
guerre qu’on me fait sur le territoire ennemi. Je fais de la politiqu
3
e la personne, module universel des institutions.
Cette
politique s’oppose au gigantisme américain, soviétique et capitaliste
4
litique établie dès le départ à ce niveau et dans
cette
vue. Le style engage C’est dans Penser avec les mains , écrit
5
contre toute espèce de sanction. Il est clair que
cette
liberté-là, garantie par les lois de l’État, ne sera jamais que servi
6
es autres : Pascal, dont la phrase est brisée par
cette
raison qui brise la raison ; Descartes, dont la limpidité naît d’une
7
ou de je ne sais quelle « mondialité », je notai
cette
définition et la fis circuler mine de rien : « L’Européen ne serait-i
8
le dans la musique wagnérienne la grande fatigue,
cette
maladie fatale de la volonté européenne : toute musique authentique e
9
ntégrer ? Plus même : un moment d’accélération de
cette
dialectique du créateur occidental qui crée toujours contre ce qui l’
10
aite », ou « pacifiste », ou « subversive ». Dans
cette
optique, l’explosion surréaliste ne m’apparaît nullement comme un mom
11
leur Suisse d’avant le secret des banques. C’est
cette
Europe fille des cités grecques, bien plus que ses désirs projetés su
12
opie au xxe siècle. Et je ne cesserai de dresser
cette
image comme celle du modèle directeur de la vraie tradition européenn
13
rincipal d’accroissement. J’accepte sans réserve
cette
position du problème. Pour moi, l’anthropologie évangélique est tout
14
Dieu et vrai homme à la fois ». C’est à partir de
cette
antinomie que les Pères ont pensé la réalité humaine. Entre les conci
15
s’est incarné en elle. Descartes (évidemment pour
cette
raison) : « Celui qui ne croit pas en Dieu ne peut pas faire de physi
16
enser. Le danger du structuralisme n’est pas que
cette
doctrine fasse des millions d’adeptes, et qui décident de ne rien fai
17
, nous sommes en présence d’une fausse nouvelle :
cette
Europe-là ne peut pas « agoniser » puisqu’elle n’a jamais existé, et
18
t à la vraie nature de l’Europe dont ils parlent.
Cette
« Europe » ne serait-elle qu’un marché ? Qu’une communauté économique
19
e à la Scandinavie ? Qu’il soit bien entendu que
cette
chronique parlera de l’Europe vécue, celle des Européens, non des Éta
20
ion d’habitants » (p. 35). On propose aujourd’hui
cette
élection. Est-il comblé ? Il en tremble de rage au contraire, disons
21
l’évolution remarquable qui a conduit l’auteur de
cette
phrase excessive : « Quittons maintenant notre province, je veux dire
22
ssance exhaustive des traditions de l’islam »17. (
Cette
connaissance mutuelle n’aboutit pas au triomphe de l’un des partis, m
23
éritablement : car celui du Monde en dépend18. De
cette
religion simple, les vertus sont naïves : elles se réduisent en somme
24
pris déclaré de leurs identités. Les héritiers de
cette
France jacobine ne conçoivent pas que l’Europe fédérée (ils ne savent
25
git désormais de le transformer ? Marx, auteur de
cette
thèse, n’a transformé le monde qu’à la mesure de ses moyens de philos
26
terdit de faire de la politique à l’École ». D’où
cette
nouvelle définition de la politique : si l’on est pour le nucléaire,
27
hacune d’elle est celui des deux autres, et qu’en
cette
trinité réside l’espoir des Européens et de la Paix. 19. Note de fé
28
e gaullienne, dans le même article, citons encore
cette
description proprement déchirante de l’avenir de la France dans une E
29
anglais n’apporte pas de changement radical dans
cette
situation. En sera-t-il de même quand de nouvelles adhésions se prése
30
». En revanche, en 1960, M. Alain Peyrefitte juge
cette
initiative « prématurée et dangereuse ». En 1961, il déclare à la Cha
31
. Dehousse « qui a rédigé le projet d’élection de
cette
assemblée au suffrage universel », mais il réitère ses conseils de pr
32
: il importe d’abord d’étendre les compétences de
cette
assemblée. C’est précisément ce que le communiqué de Bad-Godesberg a
33
ejet indigné des régions autonomes, conditions de
cette
Europe des régions dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle les «
34
gne pour le référendum sur les régions. C’est sur
cette
grande idée nouvelle qu’il a choisi de livrer la bataille décisive de
35
ais à la rédaction de ses mémoires sur la France,
cette
« Princesse de légendes », cette Iseut que, tel Tristan, il n’aime ja
36
s sur la France, cette « Princesse de légendes »,
cette
Iseut que, tel Tristan, il n’aime jamais autant que lorsqu’il s’en vo
37
sur tous les tableaux, en perdant son référendum.
Cette
hypothèse trouve dans le livre de Jean Mauriac, Mort du général de Ga
38
mémoires, j’expliquerai pourquoi il fallait faire
cette
réforme… Elle était absolument nécessaire. C’était une affaire fondam
39
lamande, allemande, bruxelloise — mais au-delà de
cette
division que le xixe siècle eût imaginé sans peine, il prévoit beauc
40
n horlogère du continent. Une partie seulement de
cette
région, le bassin entre Alpes et Jura occupé par le canton de Genève,
41
comme le territoire d’une communauté humaine : «
Cette
communauté se caractérise par une homogénéité d’ordre historique ou c
42
oursuite d’objectifs et d’intérêts communs. C’est
cette
cohésion, autour d’un certain nombre de critères variables, mais jugé
43
siècle. Je retracerai les étapes principales de
cette
aventure culturelle. Puis j’essaierai de comprendre les raisons — si
44
nécessaire des coutumes et des lois locales. Or,
cette
paix que seule procure l’unité essentielle dans la diversité de l’exi
45
dirions aujourd’hui : culturelles au sens large.
Cette
révolution dans la conception et l’approche du phénomène européen s’e
46
lité de réaliser (il s’agit de réalité objective)
cette
idée de fédération, qui doit s’étendre progressivement à tous les Éta
47
erdiaev, Gabriel Marcel, puis Karl Jaspers. C’est
cette
génération qui va créer la notion d’engagement de l’écrivain ou du cr
48
x soins — tournés en dérision — des technocrates.
Cette
involution de l’intelligentsia européenne me paraît résumée d’une man
49
autre moyen de sauver les éléments essentiels de
cette
culture ? Oui. Mais à la condition de reprendre le problème d’une faç
50
ne que nous sauverons la culture française ; mais
cette
unité de culture n’aura aucun sens et ne sera faite que de mots, si e
51
érale, dans les milieux intellectuels français en
cette
fin des années 1970. 32. L’Europe n’était guère représentée, jusqu
52
les auteurs de thèses — elles se multiplient sur
cette
période — indiquons les numéros 5, 15 et 36 de L’Ordre nouveau , 74
53
sprit de libre recherche, est la négation même de
cette
Université que le Moyen Âge a inventée. » Je viens de citer Georges G
54
itarisme obtus imposé par Napoléon ; le moteur de
cette
involution étant le besoin qu’éprouvent les clercs d’intervenir dans
55
us compréhensif. Les activités intellectuelles de
cette
communauté peuvent être définies à grands traits comme suit : Quant à
56
toit. — bouddhisme : selon l’un des fondateurs de
cette
doctrine en Chine, « la non-demeure est la nature originelle de l’hom
57
n dans l’Histoire, mais par rapport à l’Histoire.
Cette
cité a des mesures (ses remparts) indiquées avec précision, évoquant
58
, mais c’est bien plutôt de Descartes que procède
cette
évolution. Descartes a été le lieu de cette métamorphose de la consci
59
ocède cette évolution. Descartes a été le lieu de
cette
métamorphose de la conscience européenne qui a rendu possible la tech
60
olé. La technique, dès le xviiie siècle, devient
cette
activité de l’homme en soi, indépendante et qui le rend indépendant d
61
i nommée ailleurs pédagogie des catastrophes. 6.
Cette
même attitude, et cette même mentalité névrotique vont rendre possibl
62
gie des catastrophes. 6. Cette même attitude, et
cette
même mentalité névrotique vont rendre possible et bientôt nécessaire
63
e, de la psychiatrie et de la pensée politique en
cette
fin du xviiie siècle.46 Tout cela va se concrétiser, dramatiquement
64
ns nos temps modernes, avoir l’esprit européen ».
Cette
phrase qu’il me semble avoir toujours connue, et qui est en effet par
65
bien. La postérité a eu raison de laisser éclore
cette
petite phrase hors d’un contexte inimportant pour en faire la devise
66
veulent lui conserver l’empire de la pensée.47
Cette
société des hommes de la pensée, qu’elle ait pour champ la philosophi
67
simplement de sensibilité, à épouser et prolonger
cette
tradition qui est celle de la vitalité de la culture occidentale, et
68
i est le principe de toute morale européenne. Or,
cette
morale, et voilà la nouveauté très singulière à cette date de 1809 où
69
e morale, et voilà la nouveauté très singulière à
cette
date de 1809 où le césarisme napoléonien semble triompher, cette mora
70
809 où le césarisme napoléonien semble triompher,
cette
morale doit primer non seulement sur les intérêts privés et personnel
71
réunion quelconque d’hommes, écrit-elle, « quand
cette
réunion, dis-je, s’appelle une nation, tout lui serait permis pour se
72
on que s’attribue le démon dans l’Évangile52 ». À
cette
affirmation de la primauté de la morale sur l’intérêt national qui es
73
ce que cela pourrait bien être : — une tâche pour
cette
génération ! 47. Œuvres complètes, tome XI, De l’Allemagne, p. 404
74
spond la remontée au niveau du travail humain, et
cette
remontée préparant le retour millénaire fusionne en un même tout le d
75
is que Comenius a entrevue dans la perspective de
cette
philosophie ; d’où l’ambition déconcertante de l’idée « pansophique »
76
a trahison : Munich, Budapest, Prague, Poznań… De
cette
méconnaissance de l’Europe véritable, qui est notre fait, de ce refus
77
et toi tu m’as donné un article de gazette. Mais
cette
nation répondra : Quand m’avez-vous appelée ? Et la Liberté répondra
78
votre pierre de l’édifice européen, et voici que
cette
pierre deviendra la pierre angulaire et la clef de voûte de l’édifice
79
ilence de l’Europe : L’Europe se tait… Honte à
cette
Europe silencieuse Et qui n’a pas conquis sa liberté ! Lâches, le
80
. cit., p. 17), B.-H. Lévy cite en premier lieu «
cette
nausée, ce dégoût, qui prend à la gorge le peuple des petits devant d
81
. C’est à nous qu’il incombe aujourd’hui d’opérer
cette
synthèse concrète qui résoudra en création le vieux conflit de l’indi
82
nt fait que réactualiser en termes du xxe siècle
cette
tradition centrale de l’Occident, au nom de laquelle ils n’ont cessé
83
es ? Nous trouvons une certaine attitude humaine.
Cette
attitude, qu’on appelle capitaliste, est, en réalité, pour qui va au
84
es silences. Ignorance ou mauvaise foi — toujours
cette
cruelle incertitude —, le fait est que ce B.-H. Lévy, qui me traite à
85
e très peu ou rien des problèmes et des hommes de
cette
époque, en déduise que nous adhérions plus ou moins consciemment aux
86
ce actuellement inévitable des nationalismes ». À
cette
« nécessité » la France doit opposer sa mission spécifique, qui est d
87
avec un SA qui suit mes cours, je lui reproche «
cette
manie de porter des bottes sans aller à cheval, ces uniformes, ces po
88
ivé pour savoir que condamner l’individualisme, «
cette
maladie de l’individu », c’est condamner simplement l’incivisme de l’
89
sé en nations sous le nom de langues. On retrouve
cette
quadripartition des nationes jusqu’au xviie siècle, quand Mazarin fo
90
’hui des États. Dante sera le témoin consterné de
cette
profonde révolution païenne. Dans son traité De Monarchia, qui date d
91
olable, inaliénable et pour tout dire : sacré, de
cette
usurpation par les royaumes des pouvoirs suprêmes jusque-là détenus s
92
défaite subie par Soubise à Rossbach au sommet de
cette
ascension : 1757. C’est que « l’État, malheureusement, s’écrit mieux
93
x livres de La République, dès l’année 1576. Dans
cette
somme admirable qu’est L’Essor de la philosophie politique au xvie s
94
particulier, et ne la recevoir que de Dieu ». Or
cette
puissance ou souveraineté peut, selon Jean Bodin et ses disciples (ju
95
rreur, et « formes corrompues ». Mais, dira-t-on,
cette
souveraineté donnée pour absolue n’est-elle donc incitée, régulée, pr
96
e l’appelle en l’espace de 8 lignes peuple libre,
cette
nation (deux fois), puis cet État — et ainsi de suite pendant tout le
97
ui en disent plus que les définitions, comme dans
cette
phrase de Rousseau : « Grandeur des nations, étendue des États : prem
98
de dictature, qu’il exercera jusqu’en 1795 ; — à
cette
date, création d’un Directoire de 12 membres — lequel à son tour sera
99
souveraineté une et indivisible qui se manifeste
cette
fois vers l’intérieur : elle consiste dès lors à ne reconnaître aucun
100
e général Foy, qui se battit à Jemappes, glorifie
cette
identification de la nation et de l’armée : « La conscription est le
101
nouveau bond en avant du PNB. 7. Où nous mène
cette
évolution ? Le stade suprême de la sacralisation de l’État-nation
102
somme d’imperceptibles abandons individuels. Or,
cette
somme insensée de pouvoirs dont le citoyen s’est laissé dessaisir par
103
« Élections européennes », en 1979, j’ajoutais à
cette
critique fondamentale une énumération plus détaillée des déficits acc
104
déplacement. Elle a surtout vu la construction de
cette
Souveraineté sans limites ni règles, dont nos ancêtres n’avaient pas
105
le Souverain, c’est la devise du xviiie siècle.
Cette
liberté consiste pour le Souverain à n’être plus tenu par des règles
106
oche d’une communauté continentale. Et il compare
cette
situation avec celle de l’Europe au lendemain de la Deuxième Guerre m
107
ontact81 — Toynbee posait la question décisive :
Cette
seconde tentative — pour bâtir un édifice politique qui nous permettr
108
sera jamais accomplie par les dévots pétrifiés de
cette
idole : la souveraineté nationale. Plus de trente ans plus tard, et
109
70. Voir plus bas, chapitre 9, la réfutation de
cette
thèse par B. de Jouvenel, pour ce qui concerne les prédécesseurs de L
110
e ses compatriotes, lorsqu’au début de février de
cette
année, interrogé sur l’élection du Parlement européen, « il avait eu
111
, « il avait eu un sourire avant de remarquer : —
Cette
élection n’est guère plus importante qu’une cantonale » (Le Monde, 6
112
ne, mais décisive et bien réelle, donc nationale.
Cette
unanimité des passions partisanes qui ne s’obtient que dans les grand
113
souveraineté de l’Europe fédérée ? Il résulte de
cette
situation que les prises de position des partis « nationaux » et des
114
de mars : L’Europe de la qualité de la vie : de
cette
contrée, la plus polluée du monde, nous voulons faire la championne d
115
uest-allemands et des écologistes luxembourgeois.
Cette
absence est due au refus de l’alliance d’accueillir en son sein des c
116
absolue ». Seule une reine incontestable a su, en
cette
matière, se montrer généreuse, intelligente, et véritablement europée
117
u Je me suis aperçu un peu tard, c’est-à-dire
cette
nuit et ce matin même, que j’avais accepté une tâche absolument impos
118
longuement interrogés sur la manière de désigner
cette
chose, ce « machin » aurait dit un général que vous connaissez. Il y
119
un forum culturel, sur la sécurité en Europe. De
cette
discussion, de ces thèmes, nous ont parlé avec beaucoup de pertinence
120
suite que j’ai toujours eu quelque méfiance pour
cette
approche du problème. Les intellectuels vont d’instinct vers ce qui p
121
les uns ou les autres. Mais avant d’en revenir à
cette
journée, je ne voudrais surtout pas oublier de mettre en valeur un in
122
emplaçant l’Église par le Parti — et je crois que
cette
distinction entre deux types d’Europe va très loin, d’autant plus loi
123
humanité. Nous avons eu l’impression qu’autour de
cette
table, quelque chose se nouait, qui pouvait, en même temps, peut-être
124
hnique. Je prends le DDT comme exemple typique de
cette
ambivalence de notre science. Au début, le DDT a sauvé des récoltes i
125
— les objets de leur piraterie ! Je propose donc
cette
seconde conclusion : la culture européenne n’est pas la plus belle, n
126
aussi. Conformément à ses mesures fondamentales,
cette
culture commune devrait nous imposer des systèmes de prudence, je dir
127
nt hollandais prononcé sous le dais majestueux de
cette
même salle des Chevaliers — le Ridderzaal — qui fut le siège de notre
128
us formidable adversaire. Entre ce grand péril et
cette
grande espérance, la vocation de l’Europe se définit clairement. Ell
129
que nous voulons l’union de notre continent. Sur
cette
union, l’Europe joue son destin et celui de la paix du monde. Soit do
130
les hommes et les gouvernements qui travaillent à
cette
œuvre de salut public, suprême chance de la paix et gage d’un grand a
131
chance de la paix et gage d’un grand avenir pour
cette
génération et celles qui la suivront. L’ovation qui suivit la lectur
132
nsultative, et nous l’avions voulue législative ;
cette
assemblée était formée de délégués représentant les parlements, non p
133
se réaliser…) En fait, il ne va rien se passer à
cette
première session, que des échanges de congratulations et de conseils
134
btenir — fût-ce par un coup d’État européen — que
cette
Assemblée soit élue. 3. L’année de la grande contestation La de
135
s faire élire. Un raisonnement très simple appuie
cette
suggestion. On ne fera pas l’Europe sans informer ses peuples, et du
136
s le concert international, si elle s’enlise dans
cette
division qui l’empêche aujourd’hui de peser efficacement sur les déci
137
uropéens réunis à Strasbourg ne font pas l’Europe
cette
année, qu’y seront-ils donc venus faire, sinon éteindre ce qui nous r
138
voudrais combiner avec celui du Serment à récrire
cette
nuit. Dès minuit, avec Jean-Paul de Dadelsen, toujours aussi disponib
139
cter les frontières, restera le symbole joyeux de
cette
étape de la lutte pour une Europe des peuples et non pas des États. J
140
res de la CEE… Mais surtout, ce que je retiens de
cette
Marche sur Strasbourg, c’est qu’elle serait aujourd’hui simplement im
141
lle chargée d’élaborer un avant-projet de traité.
Cette
commission devait terminer ses travaux le 26 février 1953, ce qu’elle
142
, qu’il était censé « chapeauter » avec la CECA.
Cette
belle initiative, si bien conduite par les membres des assemblées et
143
urs d’adieu à l’Assemblée de Strasbourg, retenons
cette
phrase étonnante : « Laissons maintenant agir les Fous — ne voyez-vou
144
quelque chose qui n’était pas sans relation avec
cette
parole de Spaak. Et en effet, en date du 23 août 1950, je trouve ce b
145
ynbee.w Des groupes d’études prirent la suite de
cette
table ronde, à Strasbourg, en mars 1956, chargés de tirer les conclus
146
opéens de l’importance des valeurs culturelles. À
cette
fin, ils ont invité le Comité des ministres du Conseil de l’Europe à
147
tion de leurs ministres réunis à Berlin en mai de
cette
année. Que dit ce document ? En substance, les ministres « invitent l
148
vène, etc.101 Le programme de travail établi par
cette
première Conférence, très activement poussé par le secrétariat au CE,
149
rise de conscience que j’appelle ? Vers quoi tend
cette
prise de conscience ? Qui va prendre l’initiative d’en tirer d’immédi
150
’origine géorgienne, qui fut le maître d’œuvre de
cette
opération hautement risquée et réalisée sans la moindre bavure. 92.
151
ert, et je me suis mis, pour essayer de compenser
cette
erreur d’aiguillage au départ, à écrire des poèmes. Alors c’est deven
152
n beau titre. J’ai été tellement enthousiasmé par
cette
lecture (surtout quand j’ai appris que Montherlant jouait au goal — m
153
l’individu atomisé. Nous avions repris un peu de
cette
critique-là, tout en étant très antimarxistes pour le reste. Nous avo
154
rôle dans le développement politique français, à
cette
époque. Puis nous avons développé des théories politiques constructiv
155
isé maintenant un peu partout. Nous avons dénoncé
cette
nouvelle tyrannie moderne qui consiste dans le fait que nos sociétés
156
nt absolument liés. Je n’en ai jamais démordu, de
cette
théorie-là qui est fondamentale pour tous mes livres : l’homme est li
157
mands. Alors que nous étions en train d’organiser
cette
Ligue du Gothard avec des gens que nous avions pris à droite et à gau
158
tait en première page, et le titre en était : « À
cette
heure où Paris exsangue voile sa face de nuages et se tait. » Je me d
159
ai toujours été pour les vacances payées. » Après
cette
insolence, on a bu un verre ensemble puis il m’a dit : « Alors vous a
160
l’espoir. Vous me demanderez si j’ai l’espoir que
cette
fédération européenne se réalisera. J’en ai à certains égards. Je ne
161
on est actif et si on peut mesurer les progrès de
cette
action. Par exemple, je suis frappé de voir comment presque tous les
162
choses comme la culture. Eh bien, on lui attribue
cette
phrase, je ne sais pas s’il l’a écrite, mais elle a été souvent citée
163
, que beaucoup de ministres viennent maintenant à
cette
idée des valeurs et des finalités communes de la culture. Pour être p
164
il faut le reconnaître. J’en suis venu à résumer
cette
idée dans mon dernier livre, à l’avant-dernière page je crois, en une