1 ris, Politique de la personne 1, s’ouvre par un chapitre intitulé « L’Engagement politique », dont je reproduis quelques extra

2 r définir un front unique, fût-il provisoire. Le chapitre suivant s’intitule : « Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage 

3 delà des prétentions de l’État-nation ? 4. Sur le chapitre du colonialisme — qui est sans doute décisif pour définir le rôle mon

4 éer — exact équivalent des régions préconisées au chapitre IV de ce Rapport. En Belgique, un projet de Constitution révisée est

5  », à la « Nouvelle Jérusalem » des deux derniers chapitres de l’Apocalypse. Cependant, intervient ici une différence fondamental

6 housiasme auquel elle consacre les trois derniers chapitres de son chef-d’œuvre, et dont elle dit qu’il est de tous les sentiment

7 cteur de toute l’œuvre s’exprime dans ce titre du chap.  II de la Panpaedie : « Qu’il est nécessaire d’élever par l’éducation

8 ions précédentes sont concentrées dans le premier chapitre . La dernière figure à la fin du livre. Non seulement les personnalis

9 e venais de présenter au Collège de sociologie le chapitre de L’Amour et l’Occident traitant de « L’amour et la guerre ». Si u

10 eul suffise : dans L’Esprit des lois (Livre XIXe, chap. XXVII), Montesquieu parlant de l’Angleterre l’appelle en l’espace de

11 puis cet État — et ainsi de suite pendant tout le chapitre . Le Moyen Âge ne parle guère que de royaumes et de peuples. Le xvie

12 voir par la police et par l’argent. Et l’on a vu ( chap.  8) que l’État ne connaît d’autres limites que celles que lui imposent

13 ve siècle, Paris, PUF, 1980. 70. Voir plus bas, chapitre 9, la réfutation de cette thèse par B. de Jouvenel, pour ce qui conce

14 se rallier aux vainqueurs. 74. L’essentiel de ce chapitre est repris des pages 101 à 110 de mon livre L’Avenir est notre affai

15 gramme commun : nous en donnons ici les titres de chapitres . Vers la paix en Europe fondée sur l’amitié entre les peuples, les g